Ilest le capitaine d’une équipe qui a réalisé une première partie de saison décevante. Un paradoxe, tant Artur Abreu a, comme toujours, réalisé des prestations impressionnantes. Alors que l’Union Titus reprend face au Swift en cette 16e journée, le milieu offensif aborde avec franchise le bilan décevant de son club, ses objectifs, et un []
À chaque match, nous produisons de bonnes séquences, ce qui me dire que notre futur n’est pas aussi sombre que d’aucuns veulent le prétendre. Il convient de continuer à travailler et de ne pas céder à la panique. Pas évident, je sais, mais commençons par ne plus distribuer de tels cadeaux" M. M.
Leporte-parole militaire des Forces armées de la RDC (FARDC) au Nord-Kivu, colonel Olivier Hamuli, a appelé mercredi la population de Goma suite au calme aux tirs à l'arme lourde entendus mardi Xcx > Les Fardc appellent la popul. à ne pas céder à la panique. Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher.
Netremblez pas et ne cédez pas à la panique devant vos ennemis ! Car l'Éternel votre Dieu marche lui-même avec vous il vous sauvera !". Le manque de courage, la peur sont des facteurs paralysants. Ils nous empêchent de nous
Leministre Callichurn a une nouvelle fois, réitéré son appel à la population de ne pas céder au ‘panic buying’. « Ce n’est pas le moment pour céder à la panique. Si nous arrivons à une situation de crise, nous prendrons des mesures dans l’intérêt des consommateurs », fait comprendre le ministre Callichurn. Le ministre
Ilne faut pas céder à la psychose, à la peur et à la paranoïa, pour la simple raison que ces trois éléments fragilisent le système immunitaire. Alors que le coronavirus, comme bien d’autres maladies, s’attaquent au système immunitaire », a déclaré le préfet. Quiconque se nourrit de rumeurs, de peur, d’inquiétudes, interpelle-t-il, se fragilise. Il faut donc préserver ses
hOmE. Paris, Istanbul, Abidjan et maintenant Bruxelles. Partout, l'objectif des terroristes est le même semer la panique et l'insécurité. Et plus les attaques se rapprochent, plus il est difficile de braver l'angoisse. "La vie continue ! Allez on y va !" Le conducteur de métro claque la porte de sa cabine et démarre. Vingt quatre heures après les attentats de Bruxelles, les habitants de la capitale belge tentaient de reprendre pied. Même chose à Paris, il y a quelque mois ou, à Abidjan, il y a quelques jours. Mais évidemment la peur est un sentiment tenace explique Borwin Bandelow, président de la société pour la recherche sur la peur "lorsqu'un danger apparait comme n'étant pas maitrisable et surtout quand il est nouveau, il inquiète beaucoup plus les gens qu'un danger connu. La probabilité statistique de mourir lors d'un attentat terroriste est surestimée en comparaison avec les autres périls qui nous guettent au quotidien." Le chercheur rappelle par exemple qu'en Allemagne, personnes meurent chaque année dans un accident de la route et pourtant personne ne se dit, en montant le matin dans sa voiture, qu'il pourrait éventuellement être la prochaine victime. Il faudrait que cela puisse fonctionner pareil pour le terrorisme, explique Borwin Bandelow "il faut garder à l'esprit que ne pas craindre les attaques est notre meilleure arme dans la lutte contre le terrorisme. Il faut donc essayer de ne pas changer notre vie. Continuer à prendre l'avion, se rendre au stade pour voir des matchs de foot. Le terrorisme se laisse bien mieux combattre de cette manière. Se recroqueviller chez soi n'est pas la solution." Après l'attaque de Grand Bassam, les autorités ivoiriennes ont appelé à "vaincre la peur et ne pas céder à la panique". Le spécialiste de la peur n'a malheureusement pas de recette magique pour lutter contre l'anxiété. Dans le cas où les terroristes continueraient à semer la mort, une autre phase pourrait cependant intervenir, estime Borwin Bandelow "si vous prenez Bagdad par exemple, où une bombe explose pratiquement quotidiennement, les gens se sont habitués et continuent d'aller au marché, de faire leurs courses. Il pourrait se passer la même chose en Allemagne - au bout d'un moment on devient un peu blasé. Mais pour l'instant, c'est encore l'incertitude qui domine." Cela n'empêchera pas toutefois à une manifestation comme l'Euro 2016 de se tenir l'été prochain en France. Paris et l'UEFA ont écarté aujourd'hui tout report ou rencontre à huis clos pour ne pas offrir une victoire aux terroristes.
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Publié le 08/02/2013 à 0732 Très remontée Catherine Lemorton contre les supports de panique ! Ne pas s'affoler, ne pas arrêter la pilule, consulter un professionnel de santé compétent et prendre tranquillement un rendez-vous avec son généraliste ou spécialiste si inquiétude. Tels sont en substance les conseils aux femmes relayés par cette pharmacienne, députée de la 1e circonscription de la Haute-Garonne, présidente de la commission des Affaires sociales de l'Assemblée qui auditionnera prochainement des directeurs de centre régionaux de pharmacovigilance. La présidente nationale du Planning familial a évoqué un vent de panique» provoquée par la polémique autour des pilules de 3e et 4e génération… Il ne faut pas arrêter la pilule. Nous ne voulons pas l'an prochain d'un pic d'IVG bien plus traumatisant pour les femmes que de prendre la pilule de 3e génération. Quand les femmes s'interrogent, elles peuvent s'informer en consultant un professionnel de santé comme le pharmacien qui peut répondre aux premières interrogations quelle est la génération de la pilule que je prends ? Ou tout autre professionnel de santé, médecins, sages-femmes susceptibles de répondre. Ou encore les associations comme le Planning. Ensuite, s'il y a un doute ou une inquiétude, nous disons aux femmes prenez tranquillement, j'insiste sur le terme tranquillement», rendez-vous avec votre médecin généraliste ou gynécologue. Mais surtout pas de panique ! Justement, on vous sent très remontée contre les fauteurs de panique… Il ne faut pas céder à la panique. On n'est pas dans un scandale sanitaire du type médiator ! La ministre Marisol Touraine l'a bien indiqué dès le 11 janvier avec un message très clair il y a des signaux d'alerte même très faible, a-t-elle dit en substance, alors ma responsabilité c'est de mettre tout sur la table et de placer ces médicaments sous surveillance. Si on connaît le service médical rendu pour les pilules de première et deuxième génération, les pilules de 3e génération comportent 2,5 fois plus de risques. Pour celles qui en ont été victimes, c'est un drame individuel, mais en terme de santé publique, c'est faible par rapport aux millions de femmes qui prennent la pilule. Les précautions sont cependant nécessaires… C'est l'occasion de rappeler que la pilule est un médicament pas un bonbon. Et puis Diane 35 a été prescrit en dehors de ses indications premières ! Il y a des effets secondaires signalés dans les notices. Les hormones œstroprogestatives présentent un risque de tromboembolie notamment pour les femmes qui fument, ont du cholestérol, sont en surpoids, ont de la tension artérielle. La pilule est le moyen de contraception le plus pratique pour les femmes mais ce n'est pas le seul. On peut aussi rappeler que le préservatif protège de tout… Appels en hausse au Planning familial 31 A Toulouse, au-delà du médecin généraliste, des organismes et associations sont susceptibles de répondre aux inquiétudes et plus généralement aux interrogations des femmes sur leur contraception. La permanence téléphonique régionale contraception IVG est assurée par une équipe expérimentée de quatre sages-femmes et une assistante sociale spécialisée à l'hôpital Joseph-Ducuing. On y relève que les appels ont effectivement été en hausse il y a quelques semaines mais que la situation s'est stabilisée aujourd'hui. Même constat au Planning familial 31 Nous avons eu une hausse des appels sur ce sujet des pilules, relève Marie-Stella Cruz-Mangel, présidente de l'association départementale du Planning. Avec des questions sur leur dangerosité, leur arrêt éventuel, etc. Notre travail alors informer, rassurer. Mais aujourd'hui, on est plutôt sur d'autres sujets…» Il est vrai que le Planning familial ne manque hélas ! pas de fronts sur lesquels il faut encore aujourd'hui mener bataille Notre rôle, c'est d'informer, d'accueillir et d'orienter les femmes, anonymement et gratuitement, sur tous les sujets qui concernent l'éducation à la vie affective et sexuelle, la contraception, l'IVG, les violences», rappelle opportunément la présidente. En revanche, contrairement à d'autres Planning en France, le Planning familial 31 n'est pas médicalisé», précise-t-elle. Pour consulter un médecin, les femmes peuvent donc s'adresser à leur généraliste, mais également se rendre au Centre départemental de planification et d'éducation familiale CDPEF où les consultations médicales sont gratuites. Il s'agit d'un service du conseil général, dont le siège est dans le quartier Saint-Cyprien, qui réunit une équipe de médecins, gynécologues, sages-femmes des professionnels de santé au service des femmes. Si le coup de chaud» semble dans le rétroviseur, pas question pour autant de baisser la garde Ce qui nous inquiète, explique une sage-femme de la Permanence téléphonique régionale, c'est l'éventualité de voir des femmes arrêter la pilule sans raison médicale réelle et sans autre moyen de contraception». Dans cette permanence d'accueil, d'écoute et de conseil animée par une équipe d'orthogénie, on est particulièrement sensible à la question. D'où ce credo rappelé par les sages-femmes Pour nous, il est important que l'information circule. Plus une information raisonnée et valide va circuler, mieux c'est pour les femmes». Pour toutes les causes de toutes les femmes. En pratique Permanence téléphonique régionale contraception-IVG. Hôpital Joseph-Ducuing 0800801070 ou 056177 5077 Centre départemental de planification et d'éducation familiale service du conseil général, 3, rue du Pont-vieux à Toulouse 0562132377. le CDPEF dispose d'une trentaine d'antennes de consultations sur Toulouse et la périphérie. Planning familial 31, 23 rue Moiroud quartier Marengo à Toulouse0561255417
Emploi MÊME s'il est devenu inévitable de comparer la crise actuelle à celle des années 1930, nous sommes aujourd'hui bien mieux armés pour lutter contre une crise. Les banques centrales ont retenu les leçons de la Grande Dépression en n'hésitant pas à intervenir pour éviter les crises de liquidités. Le FMI a permis d'éviter la faillite de l'Islande et de plusieurs pays d'Europe de l'Est. Quant à l'OMC, elle dénonce, dans un document soumis au G20, le retour d'un protectionnisme qui risque de freiner la sortie de crise. Cette sortie de crise, justement, personne ne peut aujourd'hui en prévoir la date avec certitude. Le FMI évoque le premier semestre 2010, l'économiste Nouriel Roubini, l'un des Cassandre de la récession, la fin de la même année. Et certains espèrent déjà que la légère reprise des ventes et la stabilisation des prix dans l'immobilier constituent les premiers signes de la reprise. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement En attendant, cette crise offre l'opportunité de repenser notre modèle de croissance. J'adhère pleinement à l'adage selon lequel il ne faut pas gâcher une crise ». Car l'avenir est à la croissance durable » et à l'économie verte, qui permettent tout à la fois créations d'emplois et économies d'énergie. En janvier dernier, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, réclamait un New Deal vert » et demandait aux chefs d'État de consacrer au minimum un tiers de leurs dépenses de relance et 1 % du PIB mondial à la lutte contre le changement climatique, à la préservation des ressources naturelles et à la préparation de l'agriculture du futur. Il semble avoir été entendu. Alors que l'Europe s'apprête à lancer des initiatives dans ce domaine à l'issue du G20, le plan de relance de Barack Obama prévoit déjà la création de 2 millions d'emplois dans ce secteur. La France semble également être montée dans le bon wagon. Un exemple parmi d'autres la Caisse des dépôts et consignations va financer un programme expérimental d'appui aux écoquartiers ». Bernard Ramanantsoa, directeur général d'HEC Paris Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
l'essentiel À compter de ce lundi, le port du masque n'est plus obligatoire dans les lieux clos, comme les entreprises, les écoles, les services publics ou encore les magasins... Mais faut-il pour autant abandonner l'abandonner tout le temps ? Éclairage de Cyrille Delpierre, épidémiologiste à l'Inserm de Toulouse. Depuis ce lundi 14 mars, la France est démasquée. Parmi l'allègement des restrictions sanitaires visant à combattre l'épidémie de Covid-19, on compte notamment la fin du pass vaccinal, mais aussi et surtout la fin du port du masque obligatoire dans la plupart des lieux clos. Exception faite pour les transports en commun bus, métro, avion, train ou les établissements de santé, qui imposent encore le port de cette protection faciale. Mais faut-il pour autant ôter son masque partout et tout le temps ? Pour Cyrille Delpierre, épidémiologiste à l'Inserm de Toulouse, il s'agit surtout de faire preuve de logique "Dans des bureaux ou plus largement des espaces confinés et peu aérés, il vaut mieux garder le masque, surtout au vu de la transmission actuelle du virus". Espaces saturés "Les plus de 80 ans et les personnes à risque face au Covid-19 devraient continuer à se protéger. conseille le chercheur. De manière générale, il vaut mieux garder le masque dans tout espace où l'air peut vite se retrouver saturé." Comme le rappelait ce matin l'épidémiologiste Arnaud Fontanet au micro de France Inter, il en va désormais de la responsabilité de chacun "C'est une décision individuelle qui dépend de votre propre fragilité." Cyrille Deliperre craint par ailleurs des inégalités dans l'appréciation des risques d'infection "Tout le monde n'évalue pas de la même manière les situations à risque face au Covid-19. Il y a pourtant une réalité épidémiologique qui montre bien qu'enlever le masque peut relever, dans certains cas, d'une prise de risque. Par exemple, lors de réunions d'entreprise où les gens parlent et échangent, la transmission de gouttelettes respiratoires peut être importante, et ainsi favoriser les contaminations." Concrètement, si vous vous trouvez en présence de personnes à risque dans un endroit clos et peu aéré bureau, cinéma, boutique, salle de concert..., n'hésitez pas à mettre un masque pour éviter de les contaminer. À l'heure où le nombre de nouvelles contaminations s'élevait à 70 000 ce samedi 12 mars, soit 10 000 de plus que la semaine précédente, la progression du variant montre bien que le virus est toujours là. Mais il ne faut pas céder à la panique "Nous ne sommes plus au même stade qu'il y a un an, la plupart de la population est vaccinée", rassure le scientifique.
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