jeanserf frĂšre de barbara; cold war comment jouer contre les bots; ghazghkull thraka old model; carte fidĂ©litĂ© truffaut wallet; Ù†ÛŒÙ…Ű§ ÛŒÙˆŰŽÛŒŰŹ ÚŻÙ†ŰŹÙˆŰ±; planche 200x40 brico dĂ©pĂŽt; villa saint gilles les bains; through the darkness drama cast poissonĂ©tang & bassin : domec aquaculture 79 -----POSE D'ETE D'AOUT !-----POINT DE VENTE LOCAL OUVERT-----+ Dispo : Au Lundi 22 Aout ! +-> POISSONS DE BASSIN ! KOI (PETIT) Pisciculteur notre production de carpes koi est le rĂ©sultat de koi femelles croisĂ©es europĂ©ennes / japonaises et de koi mĂąles japonais. KOI (MOYEN) Pisciculteur , notre Re Cherche petit poisson carnassiĂ© (carnivore) daget a Ă©crit: Si c'est pour un aquarium en eau froide, tu peut mettre une perche soleil. C'est un cousin de la perche trĂšs colorĂ©e qui mesure pas plus de 10cm dans sont milieu naturel. -le poisson est classĂ© comme nuisible et n'Ă  pas le droit d'ĂȘtre transportĂ© vivant. listedes mĂ©decins expert pour mise sous tutelle 37 offre d'emploi evry courcouronnes Começe Agora! navette la clusaz crĂȘt du merle / vente 2201-2020 La pisciculture de poisson d’étang HEYMANN Georges (57) est Ă  vendre pour cause de retraite :- 25 ha en eau Ă  Albestroff dont un Ă©tang de 18 h et un autre de 6H + bassins de stockage, les Ă©tangs sont actuellement alevinĂ©s en carpes de 10 Ă  15 kg- Centre d’allotement Ă  FĂ©nĂ©trange alimentĂ© par forage avec bĂątiment et hangar et 3 LesĂ©tangs de la Barreyre se situent Ă  une heure de Bordeaux. L'ocĂ©an n'est pas loin (4 km), idĂ©al pour un sĂ©jour de dĂ©couverte et de pĂȘche en famille ! Sur l’étang de la Barreyre rĂ©servĂ© Ă  la pĂȘche de la carpe (spĂ©cimens), 4 postes double sont disponibles, avec 2 cannes par pĂȘcheur. L’environnement autour est calme et sauvage uH5Kb8t. Vous cherchez une liste de plantes oxygĂ©nantes qui vivent dans l'eau, pour avoir un bassin Ă©quilibrĂ© ? Si oui, savez-vous comment trouver des plantes oxygĂ©nantes et oĂč les commander ? Aujourd’hui, on vous explique pourquoi et comment mettre des plantes oxygĂ©nantes dans votre bassin. Comme on peut le supposer, ces plantes aquatiques poussent en-dessous du niveau de l’eau, soit sous la surface. Ces plantes sont qualifiĂ©es comme telles, car elles libĂšrent de l’oxygĂšne dans l’eau du bassin ou de l’étang. Bien Ă©videmment, cet apport en oxygĂšne est vital pour les poissons. Est-ce qu'il faut des plantes oxygĂ©nantes dans un bassin ? Pour faire court, la rĂ©ponse est oui. Les plantes oxygĂ©nantes sont littĂ©ralement indispensables si vous possĂ©dez un bassin de jardin ou un Ă©tang. Comme nous l’avons notĂ© prĂ©cĂ©demment, elles poussent sous le niveau de l’eau, et sont absolument nĂ©cessaires pour maintenir le bon Ă©quilibre du bassin. D’un autre cĂŽtĂ©, elles contribuent largement Ă  amĂ©liorer et optimiser le cycle de l’azote. En d’autres termes, elles participent Ă  l’assainissement d’une eau de bassin. Cela en assimilant les excĂšs de matiĂšres organiques de celle-ci. Les rĂŽles des plantes oxygĂ©nantes dans un bassin Les plantes aquatiques accomplissent un rĂŽle doublement important dans l’écosystĂšme du bassin. Elles s’occupent donc de produire de l’oxygĂšne, tout en absorbant les impuretĂ©s du bassin. Cette derniĂšre fonction aide Ă  garder l’étang clair et propre. Enfin, la plupart de ces plantes aquatiques filtrent l’eau, et limitent la propagation des algues indĂ©sirables. En l'occurrence, elles le font en les concurrençant au niveau de la consommation de nutriments. Ça peut vous intĂ©resser nous avons un article qui explique comment tuer les algues d’un bassin ou d’un Ă©tang. Le cycle de l’azote en quelques mots Dans le contexte d’un bassin ou d’un Ă©tang, le cycle azotĂ© est un paramĂštre important Ă  considĂ©rer. Il s’agit d’un cycle dĂ©crivant les diffĂ©rentes Ă©tapes et modifications subis par l’azote, sous ses diffĂ©rentes formes. En l’occurrence l’azote organique, les nitrates, les nitrites, l’ammoniac et le diazote. En d’autres termes, les plantes aux capacitĂ©s filtrantes se chargent d’assimiler l’excĂšs de matiĂšre organique d’un bassin. Durant ce cycle de l’azote, l’eau du bassin sera toxique pour les poissons. C’est pendant cette pĂ©riode que l'ammoniac issu du sol se transforme en nitrites, avant de se dĂ©grader en nitrates. C’est lĂ  que les plantes interviennent, en assimilant les nitrates et produisent de l’oxygĂšne. Enfin, le cycle de l’azote est l’un des aspects Ă  considĂ©rer avant de mettre des poissons dans un nouveau bassin. PhotosynthĂšse et oxygĂ©nation Les plantes produisent de l’oxygĂšne grĂące Ă  la rĂ©action connue sous le terme photosynthĂšse. Qu’est-ce que la photosynthĂšse ? Pour l’illustrer plus simplement, revenons un instant sur les bancs de l’école et redĂ©couvrons ce qu’est ce phĂ©nomĂšne. De maniĂšre simplifiĂ©e, la photosynthĂšse consiste Ă  synthĂ©tiser de la matiĂšre organique Ă  partir de l’eau du sol, et du dioxyde de carbone de l’air. Cette procĂ©dure utilise l’énergie fournie par le soleil et se dĂ©roule dans les cellules qui contiennent de la chlorophylle. Elle aura pour rĂ©sultat la production d’oxygĂšne, et la rĂ©jection de celui-ci dans l’atmosphĂšre. Dans le cas d’un bassin ou d’un Ă©tang, il s’agit donc de l’utilisation de l’énergie solaire pour synthĂ©tiser des glucides et libĂ©rer de l’oxygĂšne dans l’eau. Quels sont les avantages des plantes oxygĂ©nantes ? Les plantes oxygĂ©nantes rĂ©unissent un panel d’avantages intĂ©ressants et efficaces Ă  la fois. Il est donc normal qu’elles soient trĂšs apprĂ©ciĂ©es dans le monde du bassin et des Ă©tangs. Et pour cause, elles occupent un rĂŽle majeur dans l’équilibre de ce type d’écosystĂšmes. Les avantages des plantes oxygĂ©nantes Autant pour l’esthĂ©tique que pour la pratique, les plantes oxygĂ©nantes sont pratiquement incontournables quand on a un bassin. Ci-dessous, une liste non exhaustive de ce qu’apportent les plantes aquatiques dans un point d’eau. Indispensables pour les bactĂ©ries Apportent de l'oxygĂšne dans l'eau BĂ©nĂ©fique aux ĂȘtres vivants du bassin AccĂ©lĂšre la sĂ©dimentation des matiĂšres en suspension. Support pour la ponte des poissons Refuge pour la faune et la flore du bassin En rĂ©sumĂ©, ces plantes totalement ou partiellement submergĂ©es produisent de l’oxygĂšne pendant la journĂ©e. En parallĂšle, elles fournissent un abri naturel Ă  la vie aquatique. Cela concerne notamment les tritons, les alevins et autres amphibiens. Attention Ă  ne pas surcharger votre bassin en plantes oxygĂ©nantes Les plantes oxygĂ©nantes sont vitales pour maintenir l’équilibre d’un bassin de jardin ou d’un Ă©tang. Cela dit, une quantitĂ© trop importante de plantes oxygĂ©nantes n’est pas saine pour le bassin. Il est donc conseillĂ© de contrĂŽler le dĂ©veloppement de celles-ci et ce, plusieurs fois dans l’annĂ©e. Lorsque c’est nĂ©cessaire, il ne faudra d’ailleurs pas hĂ©siter Ă  en supprimer. En l'occurrence, de nombreuses plantes oxygĂ©nantes sont cĂ©lĂšbres pour leur grande vitesse de prolifĂ©ration. Il faudra Ă©galement se rappeler que, la nuit, elles vont consommer de l’oxygĂšne. Du coup, il faut Ă©viter que plus de 50% de la surface du bassin ne soit couvert de plantes oxygĂ©nantes. Pour mieux vous orienter, vous pouvez consulter notre article qui explique comment analyser l’eau du bassin. Liste des plantes oxygĂ©nantes les plus connues Pour faciliter votre choix de plantes oxygĂ©nantes, nous vous conseillons de choisir parmi les plantes indigĂšnes listĂ©es ci-dessous. Elles sont toutes assez faciles Ă  planter, et constituent un trĂšs bon dĂ©part dans l’installation d’un bassin. ElodĂ©e Les Ă©lodĂ©es sont des plantes aquatiques flottantes et complĂštement immergĂ©es, trĂšs prisĂ©es pour agrĂ©menter les aquariums. Plus particuliĂšrement, l’élodĂ©e du Canada fait partie de la famille des HydrocharitacĂ©es. Elle est Ă©galement connue sous l’appellation peste d’eau ». Cette plante oxygĂ©nante est originaire de l’AmĂ©rique du Nord, et est trĂšs utilisĂ©e dans la phytoĂ©puration. Elle peut se rĂ©vĂ©ler trĂšs envahissante, mais offrira Ă©galement un prĂ©cieux abri pour les alevins et autres invertĂ©brĂ©s aquatique. Callitriche CaractĂ©ristiques des points d’eau douce, les callitriches font partie de la famille des Callitrichaceae. C’est une plante aquatique qu’on trouve Ă  la surface de l’eau, tout comme on peut la retrouver en immersion. Parmi les plus communes, la callitriche des marais est connue pour ses propriĂ©tĂ©s oxygĂ©nantes. En outre, elle peut tout Ă  fait servir d’abri pour accueillir la ponte des poissons ovipares. Comme certaines plantes oxygĂ©nantes, la callitriche peut se montrer persistante. Elle peut mĂȘme devenir particuliĂšrement envahissante au soleil. Cornifle Ceratophyllum demersum D’apparence touffue et plumeuse, le Ceratophyllum demersum est connu sous son sobriquet Cornifle immergĂ©. C’est une plante presque totalement dĂ©pourvue de racines, et trĂšs apprĂ©ciĂ©e en aquariophilie. ImmergĂ©e en permanence, le Cornifle immergĂ© donne l’impression de flotter dans l’eau. Cette plante aquatique se nourrit des mĂȘmes nutriments que les algues, ce qui est trĂšs efficace pour empĂȘcher le dĂ©veloppement de celles-ci. Au niveau de l’entretien, laissez les tiges de couleur foncĂ©e. Par contre, vous pouvez retirer les tiges de couleur jaune ou claire. Le cornifle immergĂ© est apprĂ©ciĂ© des aquariophiles et jardiniers amateurs, notamment pour sa rĂ©sistance. Facile d’entretien et peu sujette aux maladies, cette plante aquatique s’installera sans souci dans les points d’eau. Hottonia Palustris violette d'eau La violette d’eau ou Hottonia Palustris est connue sous de nombreux surnoms. Ainsi, certains la connaĂźtront comme la Hottonie des marais ou encore la Millefeuille d’eau. Il s’agit d’une plante aquatique qui aime pousser dans les mares et les Ă©tangs forestiers. La Hottonie des marais est une plante excellente pour oxygĂ©ner le bassin de jardin, avec des fleurs de primevĂšre violet rosĂ© apparaissant au-dessus de l'eau de mai Ă  juin. Pour sa part, cette plante est assez exigeante. Elle prĂ©fĂšre donc les eaux calmes, fraĂźches et non calcaires. Enfin, il faut une profondeur de 60 cm pour que la violette d’eau se dĂ©veloppe correctement. Hippuris Vulgaris ou la pesse d'eau La plante Hippuris Vulgaris est connue plus communĂ©ment comme la pesse d’eau. C’est une plante anti-polluante, appartenant Ă  la famille des Plantaginaceae et qu’on trouve en AmĂ©rique du Nord, en Asie ou encore en Europe. Dans certaines rĂ©gions, on l’appelle Ă©galement la Queue de cheval-oxygĂ©nante ». TrĂšs prisĂ©e dans la phytoĂ©puration, la pesse d’eau est une plante oxygĂ©nante qui absorbe nitrates et phosphates. En parallĂšle, elle constitue un refuge trĂšs adaptĂ© Ă  la faune aquatique. Fontinalis antipyretica ou fontinale commune Similaire Ă  la mousse de Java, la Fontinalis antipyretica se retrouve souvent sur les berges des torrents et riviĂšres. RĂ©sistante et peu exigeante, on la connaĂźt Ă©galement comme la Mousse des fontaines ou fontinale commune. La Fontinalis antipyretica est une mousse oxygĂ©nante trĂšs rĂ©sistante. Elle peut sĂ©cher au soleil, et retrouver toute sa verdure dĂšs qu’elle est immergĂ©e. En parallĂšle, elle offre un abri aux alevins et larves d’insectes durant les pĂ©riodes de reproduction. Myriophyllum spicatum Le Myriophylle en Ă©pis, ou Myriophyllum spicatum, est une plante aquatique avec de longues tiges flottantes. C'est une plante aux origines anglaises qui a un feuillage touffu et plumeux vert olive. De petites fleurs jaunes et rouges apparaissent au-dessus de la surface de l'eau entre mai et aoĂ»t. L’idĂ©al est de prĂ©voir une profondeur minimum de 30 cm d’eau pour les accueillir. Au maximum, on prĂ©fĂšrera une profondeur de 90 cm. Enfin, il ne faut pas la confondre avec d’autres myriophilles qui ne sont pas indigĂšnes, Ă  l’instar du Myriophyllum verticillatum. Potamogeton toutes les variĂ©tĂ©s crispus Les Potamogeton ou Potamots sont des plantes aquatiques dont les fleurs sont regroupĂ©es en Ă©pis. Leurs feuilles sont submergĂ©es en partie, et flottantes en partie. La famille des Potamogetonaceae comptent des membres connus pour leurs propriĂ©tĂ©s filtrantes Entre autres, le Potamot crĂ©pu ou Potamogeton crispus est une plante submergĂ©e oxygĂ©nante. Elle a la particularitĂ© de pousser rapidement, et assez facilement. Les Potamots servent souvent de cachettes et d’abris Ă  la faune aquatique environnante. Ranunculus aquatilis ou Renoncule d’eau De son nom scientifique Ranunculus aquatilis, on connaĂźt cette plante aquatique sous de nombreux surnoms. Ainsi, on l’appelle la Grenouillette, la renoncule d’eau ou encore la renoncule aquatique. Capable de croĂźtre sous l’eau comme en surface, on rencontre cette plante oxygĂ©nante dans les mares et cours d’eau Ă  faible courant. En termes d’oxygĂ©nation, elle est souvent considĂ©rĂ©e comme Ă©tant plus intĂ©ressante que l’élodĂ©e du Canada. Sagittaria Assez atypiques dans leur apparence, les sagittaires sont ces plantes aquatiques, qu’on connaĂźt Ă©galement comme Ă©tant les flĂ©chiĂšres. Également appelĂ©es flĂšches d'eau, elles se caractĂ©risent par des propriĂ©tĂ©s filtrantes et oxygĂ©nantes. Plus particuliĂšrement, les Sagittaria latifolia sont des plantes connues pour leur rĂ©sistance. En l'occurrence, elles peuvent supporter la salinitĂ© tout comme les eaux usĂ©es. En plus d’ĂȘtre dĂ©corative, la flĂšche d’eau sait s’adapter aux fluctuations du niveau de l’eau. Vallisneria spiralis Ces plantes aquatiques sont plus communĂ©ment appelĂ©es Vallisneria spiralis, soit vallisnĂ©rie spiralĂ©e. Les herbiers qu’elles forment sont gĂ©nĂ©ralement riches en biodiversitĂ©, et se caractĂ©risent par un fort potentiel d’oxygĂ©nation. On retrouve souvent la vallisnĂ©rie spiralĂ©e en aquarium comme en bassin. NĂ©anmoins, il faut prendre en compte sa croissance rapide. Est-ce que les plantes oxygĂ©nantes sont suffisantes pour les poissons ? La rĂ©ponse est assez courte, c’est non 🙂 Les plantes produisent bien de l’oxygĂšne tout au long de la journĂ©e, mais elles en consomment au cours de la nuit. C’est pour cette raison que nous conseillons d’utiliser une pompe Ă  air, en plus des plantes oxygĂ©nantes. Pompe Ă  air et plantes oxygĂ©nantes le combo gagnant ! Cette alternative permettra de bien oxygĂ©ner votre point d’eau, sans faire de compromis sur la santĂ© de celui-ci. L’idĂ©e Ă©tant d’optimiser l’apport en oxygĂšne du bassin l’utilisation combinĂ©e d’un aĂ©rateur et de plantes oxygĂ©nantes fournit l’oxygĂšne dissous en abondance. En parallĂšle, cette solution offrira un habitat et des cachettes pour les escargots, les poissons et autres habitants du point d’eau. Conclusion Ce petit dossier vous donne donc une liste assez large de plantes oxygĂ©nantes pour votre bassin. Le plus important sera de contrĂŽler rĂ©guliĂšrement les diffĂ©rents paramĂštres de l’eau et du bassin. Cela vous aidera Ă  entretenir ceux-ci plus facilement, et plus efficacement. N’oubliez pas de considĂ©rer les meilleures pĂ©riodes pour planter en milieu aquatique. Ce sera pratique pour dĂ©terminer les besoins et nĂ©cessitĂ©s du bassin. Si vous avez des interrogations, n’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter ! Notre Ă©quipe sera ravie de vous accompagner et de vous orienter ! Vous pouvez Ă©galement nous laisser un commentaire, nous nous ferons un plaisir de vous rĂ©pondre đŸ€— Enfin, nous terminons cette liste avec une sĂ©lection de plantes oxygĂ©nantes et d’accessoires pratiques pour les bassins. TUTO sur le rĂŽle des oxygĂ©nantes dans le bassin INDISPENSABLES- Elles poussent entiĂšrement dans l'eau, sous l'eau et sont primordial et nĂ©cessaire pour l'Ă©quilibre du bassin. UTILESElles apportent de l'oxygĂšne, Ă©lĂ©ment indispensable pour les bactĂ©ries qui transforment la matiĂšre organique feuilles mortes, dĂ©chets... en matiĂšre minĂ©rale, matiĂšre qui deviendra ainsi, assimilable par les autres plantes du bassins. FACILESUne fois installĂ©es, elles se dĂ©veloppent aisĂ©ment. sous l'eau jusqu'Ă  - 40 cm Petites rosettes de feuilles flottantes disposĂ©es en Ă©toile. Le... sous l'eau jusqu'Ă  - 40 cm IdĂ©ale pour les petits bassins ! Elle a l'aspect d'une pelouse... Syn. Queue de cheval sous l'eau jusqu'Ă  - 40 cmLes pousses... sous l'eau jusqu'Ă  - 30 cm DĂ©licate plante oxygĂ©nante, avec de jolies petites fleurs blanc... sous l'eau jusqu'Ă  - 10 cm Une bonne plante oxygĂ©nante vigoureuse avec ses tiges rouge et... sous l'eau jusqu'Ă  - 20 cm Une plante oxygĂ©nante vigoureuse avec ses tiges vert tendre qui... sous l'eau jusqu'Ă  - 1,20 m Excellente plante oxygĂ©nante. Elle vit entiĂšrement sous l'eau... sous l'eau jusqu'Ă  -1,50 m Le potamot luisant est une bonne plante oxygĂ©nante avec des... sous l'eau jusqu'Ă  - 1,50 m Bonne plante oxygĂ©nante qui monte ses tiges jusqu'Ă  la surface... sous l'eau jusqu'Ă  - 1,20 m Gracieuse plante oxygĂ©nante avec ses feuilles ondulantes presque... sous l'eau jusqu'Ă  1,20 m Une oxygĂ©nante vigoureuse avec d'attrayantes feuilles flottantes... sous l'eau jusqu'Ă  -60 cm Une bonne oxygĂ©nante sans souci, qui est parfaite pour les petits... Affiche 1 - 12 de 13 items LES POISSONS BLANCS l' ABLETTE DESCRIPTION L'ablette est un petit poisson. La morphologie de son corps laisse apparaĂźtre sur son dos des reflets "gris-bleu" et sur le ventre et les flancs des couleurs argentĂ©es, ses nageoires sont gĂ©nĂ©ralement "gris-pĂąles". Une des caractĂ©ristique de l'ablette est sa bouche. En effet elle est Ă  la fois oblique et orientĂ©e vers la surface, ainsi l'ablette peut se nourrir ainsi Ă  la tombĂ©e du jour on peut parfois apercevoir des ronds sur l'eau, l'ablette happe les insectes Ă  la surface. La nageoire anale est plus large que la nageoire dorsale. On peut rencontrer enormĂ©ment de sortes d'ablettes; la morphologie du poisson est trĂšs variable on peut ainsi observer des spĂ©cimens dont la taille varie de 12 Ă  25cm, pour un poids qui se situe aux alentours de 20 Ă  50 grs toutefois des individus allant jusqu'Ă  200 grs on dĂ©ja Ă©tĂ© capturĂ©s!.BIOLOGIE Le plus souvent on rencontre l'ablette nageant en vĂ©ritables bancs jusqu'Ă  100 poissons. Ce poisson blanc vit dans les eaux claires et stagnantes il n'est pas rare d'en voir pourtant en canal. Entre le mois d'Avril et Juin, c'est la pĂ©riode de fraie. Le mĂąle prĂ©sente des tubercules nuptiaux sur le dos et les flancs, et les nageoires sont orangĂ©es. La ponte s'effectue prĂšs des rives au calme. Les oeufs 1000 Ă  2000 par femelle adhĂšrent aux plantes et incubent pendant 2 Ă  3 ET DISTRIBUTION Aujourd'hui on rencontre l'ablette quasiment partout en France; sauf dansles mares trop boueuses et les torrents trop rapides et trop froid. Dans les Ă©tangs, les canaux, les lacs et les riviĂšres on la voit jouer dans les calmes, les remous, en bordure des courant Ă  la recherche de petits insectes et des larves. Par beau temps, elle se tient trĂšs prĂšs de la surface; dĂšs que le temps se rafraichit, elle descend entre deux eaux et avec les eaux froides d'hiver elle se tient postĂ©e prĂšs du fond. le BARBEAU DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos lĂ©gĂšrement bombĂ© est brun-vert, les flancs sont dorĂ©s, le ventre blanc. La caudale, l'anale et les pelviennes sont orangĂ©es. La tĂȘte est longue, la bouche infĂšre est bordĂ©e d'Ă©paisses lĂšvres charnues et portent 4 barbillons sur la lĂšvre supĂ©rieure. les Ă©cailles sont de taille moyenne 55 Ă  65 le long de la ligne latĂ©rale. La nageoire dorsale porte 7 Ă  11 rayons, le plus long est ossifiĂ© et dentelĂ© sur son bord postĂ©rieur. Taille de 30 Ă  100cm Poids Max. 12 Le barbeau fluviatile frĂ©quente les cours d'eau clairs et oxygĂ©nĂ©s Ă  fond sablo-graveleux. Il vit en bancs au fond de l'eau dans les zones de fort courant. La fraie se dĂ©roule en mai-juin dans les eaux peu profondes. Les oeufs, 3000 Ă  5000 par femelle incubent pendant 10 Ă  15 jours. Il est omnivore et se nourrit en fouillant le ET DISTRIBUTION Le barbeau fluviatile est largement rĂ©pandu, il est prĂ©sent dans les bassins de la Seine, de la Loire, de la Garonne, du Rhin et du RhĂŽne Valenciennes, 1848 ; Gervais,1897 ; Roule, 1925 ; Dottrens, 1951. Il serait absent des lacs savoyards Blanchard, 1866 ; Moreau, 1881, du FinistĂšre, d'Ille et Vilaine Spillmann, 1961 et des cours d'eau normands. Il n'est pas signalĂ© dans la Somme et le Pas de Se pĂȘche au coup Ă  ligne flottante et Ă  la plombĂ©e. Bonne combativitĂ©. Le BLAGEON DESCRIPTION le blageon a un corps allongĂ©, un dos brun Ă  reflets gris-bleu, des flancs argentĂ©s, un ventre blanc, des nageoires jaune-brun ; la ligne latĂ©rale est bordĂ©e d'une pigmentation orange. Une bande longitudinale noire violacĂ©e visible surtout chez les mĂąles est situĂ©e au dessus de la ligne latĂ©rale, de l'Ɠil jusqu'Ă  la nageoire caudale. La bouche est infĂšre, le museau mousse. Taille de 10 Ă  25 cm. Il existe des variations morphologiques de l'espĂšce selon la situation gĂ©ographique d'Aubenton et al, 1971 - Le se caractĂ©rise par une couleur argentĂ©e, un dos rectiligne, des nageoires pectorales Ă©troites et les lobes de la nageoire caudale sont aiguĂ«s. - Le a une pigmentation trĂšs accentuĂ©e dos sombre, bande noire marquĂ©e sur les flancs et est plus fusiforme. - Le possĂšde un museau court large et Ă©pais par rapport au type prĂ©cĂ©dent alors que la pigmentation en diffĂšre Le blageon, frĂ©quente les eaux courantes Ă  fond de graviers. C'est un poisson grĂ©gaire. La pĂ©riode de reproduction se situe de fin mars Ă  dĂ©but mai, les couleurs des reproducteurs sont alors avivĂ©s et le mĂąle porte des tubercules nuptiaux sur la tĂȘte et les opercules. La ponte 5000 Ă  7000 ovules/femelle s'effectue sur les ET DESCRIPTION L'espĂšce Leuciscus soufia au sens large serait autochtone dans les bassins du Rhin, du RhĂŽne et des fleuves cĂŽtiers de l'est mĂ©ditĂ©rrannĂ©en Spillmann, 1961. Il est signalĂ© dans le Doubs, la SaĂŽne, l'Ouche Blanchard, 1866 ; Gensoul, 1908 ; Verneaux, 1973, la Seille, le IthĂŽne, l'ArdĂšche, la Durance GrĂ©goire, 1983, dans les lacs d'Annecy et du Bourget et dans l'HĂ©rault Gervais, 1897 ; Gensoul, 1908. Sa prĂ©sence a Ă©tĂ© constatĂ©e dans le bassin de l'Aube. Les variations des types morphologiques de l'espĂšces se font suivant un arc allant de l'Italie Ă  la BaviĂšre en passant par les Alpes Spillmann, 1961. Ainsi le L. s. soufia est cantonnĂ© au fleuve Var, le L. s. agassizi Ă  la vallĂ©e du RhĂŽne, de l'Argens, le Gapeau et l'HĂ©rault Kiener, 1985 et le L. s. multicellus est prĂ©sent dans la Bevera Alpes-maritimes.PÊCHE Il se pĂȘche au coup et Ă  la mouche comme la vandoise. Il est amusant Ă  capturer en raison de sa vivacitĂ© et de sa dĂ©fense. la BOUVIERE DESCRIPTION Le corps est haut et comprimĂ© latĂ©ralement; le dos est gris-vert, les flancs argentĂ©s avec une bande bleue de la caudale au milieu du flanc, le ventre blanc-rose. Les Ă©cailles sont grandes 34 Ă  38 dans une ligne longitudinale. La ligne latĂ©rale est incomplĂšte. Taille de 5 Ă  8 cm jusqu'Ă  12 La bouviĂšre vit en bancs dans les eaux lentes peuplĂ©es de Mollusques Bivalves du Genre Unjo et Anodonta. En pĂ©riode de fraie avril-juin, le mĂąle est teintĂ© de rouge sur la gorge, la poitrine et le ventre; et de vert-bleu sur le dos. Il se choisit alors un territoire qui contient une moule, la femelle dĂ©pose ses ovules une quarantaine dans la cavitĂ© pallĂ©ale du Bivalve grĂące Ă  un trĂšs long ovipositeur. Le mĂąle libĂšre alors Sa semence Ă  proximitĂ© du Mollusque, le siphon inhalant de ce dernier entraĂźne les spermatozoĂŻdes avec l'eau filtrĂ©e. Les ovules sont alors fĂ©condĂ©s. L'incubation dure 2 Ă  3 semaines puis les alevins abandonnent la moule qui les abritait. ORIGINE ET DISTRIBUTION Elle Ă©tait signalĂ©e au siĂšcle dernier dans la Seine, la Marne, la Moselle, la SaĂąne Valenciennes, 1848 ; Gehin, 1868 ; Gensoul, 1908. Elle aurait gagnĂ© le bassin de la Loire par le canal du Nivernais Roy, 1952. Spillmann 1961 et GrĂ©goire 1983 la considĂ©rait comme absente au sud d'une ligne allant de la Charente au massif central Des captures ont eu lieu en Camargue en 1980, l'espĂšce se serait Ă©tendue vers le sud par le RhĂŽne et les canaux de Provence Kiener, 1985. Son aire de rĂ©partition apparaĂźt actuellement comme trĂšs fragmentĂ©e. La rĂ©partition de la bouviĂšre est largement conditionnĂ©e par la prĂ©sence des Mollusques qui abritent la ponte. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE La bouviĂšre se prend parfois en pĂȘchant les gardons , les ablettes ou les poissons de friture dans les eaux calmes et les canaux. Elle mord surtout Ă  l'esche carnĂ©e de trĂšs petite taille. la BREME DESCRIPTION Le corps est Ă©levĂ© et comprimĂ© latĂ©ralement. La bouche est petite et dĂ©pourvue de barbillon. L'Ɠil est relativement petit par rapport Ă  la longueur du museau caractĂšre distinctif de la brĂšme bordeliĂšre. On dĂ©nombre plus de 10 Ă©cailles entre la ligne latĂ©rale et l'insertion de la nageoire dorsale. La nageoire anale est trĂšs longue. La coloration du corps est homogĂšne, le dos est vert bronze et les flancs clairs, les nageoires sont grises. Taille 30/40 cm, elle peut atteindre 70 cm. Poids 0,5 Ă  2 kgs jusqu'Ă  6 kgsBIOLOGIE La brĂšme est un poisson grĂ©gaire vivant dans les eaux calmes des cours d'eau et des Ă©tangs de plaine. Sa reproduction est printaniĂšre lorsque la tempĂ©rature de l'eau est voisine de 18°C. La fĂ©conditĂ© est moyenne de 30000 Ă  40000 ovules par kilo de femelle. La ponte a lieu dans les herbiers mais les oeufs peuvent ĂȘtre dĂ©posĂ©s sur des supports minĂ©raux galets et graviers. Le rĂ©gime alimentaire est zooplanctonophage chez les alevins puis benthophage chez les ET DISTRIBUTION Cette espĂšce autochtone, Ă©tait relativement rare dans le midi de la France Blanchard, 1866 ; Roule, 1925, elle semble actuellement largement rĂ©partie sur l'ensemble du Elle se pĂȘche au coup ligne lĂ©gĂšre en mordant Ă  de nombreuses esches vĂ©gĂ©tales et animales. Elle craint le bruit, l'agitation et est souvent longue Ă  engamer. DĂ©fense peu violente. la CARPE DESCRIPTION Le corps est allongĂ© et plus ou moins haut, la carpe est gĂ©nĂ©ralement brune sur le dos, dorĂ©e sur les flancs et jaune sur l'abdomen. Les Ă©cailles sont grandes 33 Ă  40 le long de la ligne latĂ©rale. La bouche protractile est munie de 4 barbillons 2 longs et 2 courts. Les carpes dites "miroirs" ont une Ă©caillure incomplĂšte, les carpes "cuir" en sont dĂ©pourvues. Taille de 25 Ă  100 cm. Poids 27kgs pour La Carpe vit dans les eaux lentes ou stagnantes Ă  fond sablo-vaseux et riche en vĂ©gĂ©tation. La reproduction a lieu de juin Ă  juillet dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. Le mĂąle prĂ©sente alors des tubercules nuptiaux. Les oeufs l00000/kg de femelle incubent pendant 3 Ă  8 jours. La carpe est surtout active Ă  partir du ET DISTRIBUTION Originaire de l'Asie mineure, Gervais 1897 situe son introduction sous François 1er 16Ăšme siĂšcle alors que Gadeau de Kerville 1897 signale dĂ©jĂ  Sa prĂ©sence au 13Ăšme siĂšcle; elle fut en fait vraisemblablement introduite par les Romains durant l'occupation de la Gaule Pellegrin, 1943 ; Spillmann, 1961; d'Aubenton et Spillmarin, 1976; GrĂ©goire, 1983. La pisciculture de la carpe trĂšs rĂ©pandue au moyen-Ăąge, a permis la sĂ©lection de nouvelles souches Vallois 1901. Elle est largement rĂ©pandue sur le territoire Ă  l'exception des zones de montagne Alpes, PyrĂ©nĂ©es et de la cĂŽte Nord Bretagne. PÊCHE La carpe fait l'objet d'une pisciculture importante depuis longtemps. Elle est trĂšs recherchĂ©e par les pĂȘcheurs au coup. C'est l'un des poissons d'eau douce les plus puissants au bout d'une canne. Poisson trĂšs mĂ©fiant. C'est devenu de plus en plus l'affaire de spĂ©cialistes les carpistes. Sa pĂȘche nĂ©cessite une longue expĂ©rience et des principes rigoureux. Les dĂ©butants sont souvent déçus. le CARASSIN DESCRIPTION Le corps est haut et comprimĂ© latĂ©ralement. Le dos est brun-vert, les flancs et le ventre brun-jaune. La nageoire caudale est convexe, son premier rayon est mince et serratulĂ©. Les Ă©cailles sont grandes 31 Ă  36 le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 20 Ă  50 Le carassin vit dans les Ă©tangs et les lacs peu profonds et riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction se situe en mai-juin dans les eaux peu profondes Ă  vĂ©gĂ©tation dense. Les oeufs 130 000 Ă  250 000 par femelle adhĂ©rent aux plantes. L'incubation dure de 4 Ă  8 jours. Le carassin s'enfouie dans la vase lorsque le plan d'eau s'assĂšche ou pour passer l' ET DISTRIBUTION Originaire d'Europe centrale et occidentale, il n'est autochtone en France que dans le Nord-est Spillmann, 1961. Il Ă©tait signalĂ© dans l'Aube Ray, 1851 l'Aisne Moreau, 1881 et dans l'Yonne Roy, 1952. Son aire de rĂ©partition semble s'Ă©tendre vers le IntĂ©ressante pĂȘche au coup dans les piĂšces d'eau oĂč il est prĂ©sent. TrĂšs combatif. Esches vers de vase, asticots, boulettes de mie de pain. le CHABOT DESCRIPTION Le corps en forme de massue a l'Ă©caillure peu dĂ©veloppĂ©e. Le dos et les flancs sont gris-brun avec des barres transversales foncĂ©es, les nageoires pelviennes, pectorales et caudale portent des bandes transversales, les nageoires dorsale et anale des bandes longitudinales. La tĂȘte est large, aplatie, les yeux sont hauts; il n'a pas de vessie natatoire. L'opercule porte un aiguillon et la ligne latĂ©rale se termine Ă  la nageoire caudale qui est arrondie. Les nageoires pectorales bien dĂ©veloppĂ©es ont les rayons infĂ©rieurs renforcĂ©s. Le chabot possĂšde deux nageoires dorsales, la seconde 13 Ă  19 rayons branchus est plus grande que la premiĂšre 5 Ă  9 Ă©pines. Taille de 10 Ă  15 Le chabot, espĂšce d'accompagnement de la truite, frĂ©quente le fond des cours d'eau rapides et des lacs clairs peu profonds et trĂšs bien oxygĂ©nĂ©s Ă  fond sableux ou graveleux. Durant la journĂ©e il se cache parmi les racines et les pierres. La reproduction a lieu de mars Ă  mai, le mĂąle prĂ©pare un nid, la femelle y pond de 100 Ă  500 ovules. L'incubation qui dure 20-25 jours est surveillĂ©e par le mĂąle. Carnassier, il se nourrit de larves et d'invertĂ©brĂ©s ET DISTRIBUTION Il serait prĂ©sent dans toute la France Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983.PÊCHE Sa capture Ă  la ligne est rare. Il engame toujours profondĂ©ment. Il est victime du braconnage Ă  la fourchette. le CHEVESNE DESCRIPTION Le corps est fuselĂ©, de section presque ronde, le front est large et plat. Le dos est brun-vert, les flancs sont dorĂ©- argentĂ©, la face ventrale est blanche; les nageoires pelviennes et la nageoire anale sont rouges. La bouche est large, les Ă©cailles sont grandes 44 Ă  46 le long de la ligne latĂ©rale; la dorsale porte 11 Ă  12 rayons. Taille de 30 Ă  80 cm. Poids jusqu'Ă  4,5 Le chevaine frĂ©quente les eaux courantes, il est plus rare dans les lacs. La pĂ©riode de reproduction s'Ă©tend d'avril Ă  juin, elle a lieu parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux lentes. Le mĂąle arbore alors des tubercules nuptiaux. Les oeufs de 50 000 Ă  200 000 par femelle incubent 6 Ă  8 jours accrochĂ©s aux pierres et aux plantes. La maturitĂ© est atteinte Ă  l'Ăąge de 3 ans chez les mĂąles et de 4 ans chez les femelles. Les vieux individus sont ET DISTRIBUTION Le chevaine est prĂ©sent dans toute la France, Ă  l'exception du FinistĂšre oĂč il n'est pas Il se pĂȘche au coup, Ă  la mouche artificielle, au lancer. Sa dĂ©fense est brĂšve mais violente. Quoique trĂšs mĂ©fiant il semble vouloir modre Ă  tout ce qui est comestible l' EPINOCHE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le museau pointu. Le dos est gris-bleu, les flancs gris-mĂ©tallique, le ventre blanc et les nageoires diaphanes. En parade nuptiale le mĂąle a le dos vert-bleu, la gorge et la poitrine rouges, les nageoires dorsale et anale foncĂ©es. Le corps ne possĂšde pas d'Ă©cailles mais il est protĂ©gĂ© par une rangĂ©e de plaques osseuses le long de la ligne latĂ©rale. En avant de la dorsale, le dos porte 2 Ă  5 Ă©pines mobiles en gĂ©nĂ©ral 3 ; les pelviennes sont remplacĂ©es par des Ă©pines. Il existe diffĂ©rentes formes d'Ă©pinoches rĂ©parties selon la latitude et diffĂ©rentiĂ©es par l'aspect de leur cuirasse d'Aubenton, 1976 la forme Trachura possĂšde une cuirasse latĂ©rale complĂšte, la forme Hologymnura n'a pas de plaques latĂ©rales et les formes Semi-armata et Gymnura sont intermĂ©diaires au deux premiĂšres Bertin, 1925. Il existe des formes d'eau saumĂątre anadromes et des formes dulçaquicoles sĂ©dentaires. Taille de 4 Ă  8 cm 10 Ă  12 cm pour les formes marinesBIOLOGIE La reproduction a lieu de mars Ă  juin, les formes anadromes remontent alors les cours d'eau pour frayer en eau douce. Le mĂąle construit un nid sur le fond Ă  l'aide de fibres vĂ©gĂ©tales qu'il lie entres elles avec un produit secrĂ©tĂ© par ces reins. Ensuite, il attire successivement plusieurs femelles dans le nid, il les incite Ă  pondre puis il les chasse. Les oeufs 100 Ă  400 par femelle sont veillĂ©s par le mĂąle. L'incubation dure 4 Ă 10 ET DISTRIBUTION L'Ă©pinoche est autochtone en France. Bertin 1925 puis Spillmann 1961 considĂ©rait que son aire de rĂ©partition couvrait tout l'hexagone Ă  l'exception des rĂ©gions montagneuses et des pĂ©nĂ©plaines. Son aire semble actuellement s'Ă©tendre au Massif Armoricain et aux Prise occasionnelle avec des lignes montĂ©es avec de trĂšs petits hameçons. le GARDON DESCRIPTION Le corps est aplati latĂ©ralement, le dos plus ou moins haut est vert-bleu, les flancs argentĂ©s ont quelques reflets dorĂ©s; le ventre est blanc-rouge, les nageoires pelviennes et anale sont rouges. La bouche est Ă©troite, les Ă©cailles sont grandes 42 Ă  45 le long de la ligne latĂ©rale, les yeux sont rouges. Taille de 15 Ă  30 cm jusqu'Ă  45 cm. Poids 200 grs jusqu'Ă  2,4 Le gardon est rĂ©pandu dans les eaux stagnantes et lentes, c'est une espĂšce trĂšs rĂ©sistante Ă  la pollution des eaux. En pĂ©riode de reproduction Avril-juin, les mĂąles se parent de tubercules nuptiaux. Les ovules 50 000 Ă  100 000 par femelle sont pondus dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. L'incubation dure 1 Ă  2 semaines. Les larves et les adultes vivent en bancs parmi la ET DISTRIBUTION Le gardon est autochtone en France Ă  l'exclusion des Alpes-maritimes Spillmann, 1961 oĂč il est cependant C'est le poisson type de la pĂȘche au coup. Sa pĂȘche est possible en toute saison. Il est mĂ©fiant. Il est nĂ©cessaire d'utiliser des lignes fines et bien Ă©quilibrĂ©es. Il mord Ă  la plupart des esches animales et carnĂ©es. le GOUJON DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est vert-bleu, les flancs sont plus clairs avec une rangĂ©e longitudinale de tĂąches bleues et violettes. La nageoire caudale et la nageoire anale sont ornĂ©es de tĂąches noires. La mĂąchoire supĂ©rieure porte 2 courts barbillons, la tĂȘte est longue, les yeux sont grands. Il y a de 40 Ă  42 Ă©cailles le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 10 Ă  25 cm. Poids max. 175 Le goujon vit prĂšs des rives dans les cours d'eau rapides sur des fonds limoneux. On le trouve de plus en plus souvent dans des eaux calmes et riches en matiĂšres organiques y compris les lacs La reproduction s'effectue en mai-juin parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux courantes. Le mĂąle arbore alors un tubercule nuptial sur la tĂȘte. Les oeufs de 1000 Ă  3000 par femelle incubent pendant 2 Ă  3 semaines. Les goujons vivent en bancs au fond de l' ET DISTRIBUTION D'aprĂšs Spillmann 1961, le Goujon, espĂšce autochtone, est largement rĂ©pandu dans toutes les eaux suffisamment claires et fraĂźches; Brunet 1972 le situe entre 42 et 62 degrĂ©s de Latitude Nord isotherme de juillet entre 15 et 27°C. Il a Ă©tĂ© introduit dans le lac d'Annecy Vivier, 1939.PÊCHE Il se pĂȘche au coup. Autrefois la base mĂȘme de toute friture, il devient plus rare et reste un poisson intĂ©ressant Ă  pĂȘcher. la GREMILLE DESCRIPTION La GrĂ©mille a un dos bombĂ©, un front large et un museau mousse. Le dos et les flancs sont vert-gris parsemĂ©s de tĂąches noires ; les nageoires caudale et dorsale portent des macules sombres alignĂ©es. L'opercule est terminĂ© par une Ă©pine dure, le prĂ©opercule est finement dentelĂ©. La partie antĂ©rieure de la nageoire dorsale est soutenue par 12 Ă  16 rayons Ă©pineux et la partie postĂ©rieure par il Ă  16 rayons branchus. Le corps est souvent recouvert de mucus Ă©pais. Taille de 10 Ă  30 cmBIOLOGIE La grĂ©mille vit gĂ©nĂ©ralement en bancs dans les eaux profondes des grands cours d'eau, des lacs et des lagunes. La pĂ©riode de reproduction dĂ©bute en Avril-mai, les ovules 40 000 Ă  100000 par femelle sont pondus en rubans, prĂ©s des rives, sur les pierres et la vĂ©gĂ©tation. L'incubation dure de 10 Ă  12 ET DISTRIBUTION Originaire d'Europe centrale et orientale la grĂ©mille est d'abord cantonnĂ©e aux dĂ©partements de l'est de la France. Elle gagne dĂ©s le dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle le bassin de la Seine Seine, Aube, Yonne et de la Loire Vallot, 1837 ; Valenciennes, 1848 ; Ray, 1851; Marchand, 1897. A la faveur des canaux son aire de rĂ©partition s'Ă©tend Moselle, Orne, Nied, Meurthe, Seille, Sarre, Meuse, Chiers, Somme, Rhin, Doubs, et RhĂŽne Blanchard, 1866 ; Gehin, 1868. En 1925, elle est encore inconnue dans le Sud-Ouest Chevey, 1925 alors que Spillmann 1961 la signale en Bretagne, dans le Puy de dĂŽme, l'Allier, le Cher, la Haute-Vienne, et le Tarn oĂč elle a Ă©tĂ© introduite. Yvernault 1972 signale sa prĂ©sence en Charente-Maritime. Kiener 1985 la cite dans la Durance, l'Arc, et les canaux d'Aix en Elle se capture sur des lignes destinĂ©es au gardon et au goujon. La grĂ©mille ne mord que sur des esches animales et se nourrit essentiellement au fond. le HOTU DESCRIPTION Le Hotu est un poisson Ă©lancĂ©, qui se caractĂ©rise par sa bouche rectiligne en position infĂšre chez l'adulte. Le museau est proĂ©minent, la lĂšvre infĂ©rieure est cartilagineuse. La coloration du corps est homogĂšne, gris-bleu et brillante. Les nageoires sont souvent orangĂ©es. Taille La taille est variable suivant les milieux, elle dĂ©passe rarement 45 Ă  50 cm, pour une durĂ©e de vie de 15 ans environ dans les riviĂšres françaises Nelva-Pasqual, 1985. Poids 200 grs Ă  1,8 Le hotu est un poisson grĂ©gaire qui affectionne les eaux courantes au fond de petits galets et graviers. Son comportement est essentiellement benthique. Son alimentation, est constituĂ©e principalement de diatomĂ©es raclĂ©es sur les substrats. La reproduction a lieu au printemps, elle semble ĂȘtre dĂ©clenchĂ©e par des tempĂ©ratures supĂ©rieurs Ă  8 Ă  9°C. La fĂ©conditĂ© est voisine de 40 000 ovules par kilo de femelle. Les oeufs sont dĂ©posĂ©s en masse sur le substrat sans aucune protection. La durĂ©e de l'incubation peut varier de 5 jours pour une tempĂ©rature de 17°C Ă  23 jours pour une tempĂ©rature de 10° ET DISTRIBUTION La rĂ©partition et la colonisation du rĂ©seau hydrographique par le hotu ont Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©tudiĂ©es par Nelva-Pasqual 1985 qui a mis en Ă©vidence l'importance de la crĂ©ation des canaux au siĂšcle dernier. Actuellement cette espĂšce est prĂ©sente dans le bassin du Rhin, du RhĂŽne, de la Seine et de la Loire. Elle semble absente des cours d'eau bretons et normands ainsi que ceux du bassin de la Garonne et de l'Adour. Le hotu est trĂšs sensible au phĂ©nomĂšne de pollution ce qui peut expliquer sa rĂ©gression dans plusieurs rĂ©gions oĂč il avait eu tendance Ă  se dĂ©velopper d'une façon Il se pĂȘche au coup. C'est un poisson imprĂ©visible et il difficile de prĂ©voir s'il va mordre. La ligne doit ĂȘtre rĂ©glĂ©e pour que l'hameçon traĂźne au fond. Il mord parfois Ă  la cuiller tournante de petite taille. l'IDE MELANOTE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos lĂ©gĂšrement bombĂ© est vert-foncĂ©, les flancs sont plus clairs et argentĂ©s, et le ventre blanc. Les nageoires pectorales, pelviennes, et anale sont rosĂ©es. La bouche est Ă©troite, l'Ɠil est jaune, et les Ă©cailles sont petites 55 Ă  61 le long de la ligne latĂ©rale. L'Ide mĂ©lanote peut ĂȘtre confondue avec des gardons de grande taille. Taille de 30 Ă  L'Ide mĂ©lanote frĂ©quente les eaux courantes ou stagnantes, fraĂźches, claires et peu profondes. En pĂ©riode de fraie Avril-Juin, Les ides, qui vivent en bancs, remontent le cours du fleuve pour frayer. Les ovules, 40 000 Ă  100 000par femelle sont pondus en eau peu profonde parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation. L'incubation dure 2 Ă  3 semaines, Les jeunes passeront ensuite un an dans les zones lentes du ET DISTRIBUTION L'Ide mĂ©lanote est rĂ©pandue dans les grands cours d'eau et les lacs de l'Europe centrale et orientale. En 1930, elle n'est pas considĂ©rĂ©e comme faisant partie de la faune Française, on ne la trouve qu'en pisciculture Anonyme, 1930, bien qu'elle soit signalĂ©e occasionnellement dans le Rhin, la Moselle, l'ILL coll. non datĂ© et la Somme Blanchard, 1866 ; Gehin, 1868 ; Gervais et Boulart, 1897. Gensoul en 1915 l'introduit dans la SaĂŽne. Spillmann 1961, situait son aire de rĂ©partition aux dĂ©partements du Nord et de l'Est de la France. GrĂ©goire 1983, signale sa prĂ©sence en Loire-Atlantique. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE Prise rare sur des lignes pour la carpe. la LOTE FRANCHE DESCRIPTION Le corps est cylindrique, le dos et les flancs sont gris-brun avec des marbrures sombres ; le ventre est blanc; les nageoires dorsale et caudale ont des rangĂ©es de points noirs. La tĂȘte est aplatie dorso-ventralement, la bouche est infĂšre avec 6 barbillons sur la lĂšvre supĂ©rieure, la narine antĂ©rieure est tubulaire. Taille de 8 Ă  18 La loche franche est une espĂšce d'accompagnement de la truite. Poisson sĂ©dentaire benthique, et Ă  activitĂ© essentiellement nocturne, elle vit prĂ©s des rives dans les cours d'eau et les lacs clairs Ă  fond graveleux. La reproduction a lieu en avril-mai parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation des eaux courantes. Les deux sexes arborent alors un tubercule nuptial sur la face interne des nageoires pelviennes. Les oeufs 500 000 Ă  800 000par femelle adhĂšrent aux pierres et sont gardĂ©s par le ET DISTRIBUTION En 1961, elle ne semblait pas frĂ©quenter les fleuves cĂŽtiers mĂ©diterranĂ©ens Spillmann, 1961 ; aujourd'hui elle semble plus largement Comme pour la loche de riviĂšre, sa capture est rare. Elle sert comme vif. le ROTENGLE DESCRIPTION Le corps est comprimĂ© latĂ©ralement, le dos bombĂ© est brun-vert, les flancs sont cuivrĂ©s, le ventre argentĂ©. Les nageoires dorsale, anale, et pelviennes sont rouges. La nageoire dorsale prend naissance en arriĂšre des pelviennes. La bouche est Ă©troite et oblique. Les Ă©cailles sont grandes 40 Ă  43 le long de la ligne latĂ©rale. Ses yeux Ă  reflets dorĂ©s le distingue du gardon. Taille de 15 Ă  45 cm. Poids 300 grs Ă  1,8 kgsBIOLOGIE Le rotengle vit dans les eaux calmes Ă  fond boueux. La reproduction a lieu d'avril Ă  juin parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation qui borde le rivage. Les oeufs 90000 Ă  200 000 par femelle incubent pendant 8 Ă  15 jours. Les rotengles nagent souvent en bancs prĂ©s de la ET DISTRIBUTION Autochtone en France, Spillmann 1961 le signalait comme absent du sud-est il semble maintenant y avoir colonisĂ© les retenues hydroĂ©lectriques Ă  la suite de Le rotengle, parfois confondu avec le gardon, se prend parfois en pĂȘchant ce dernier. C'est un poisson mĂ©fiant d'eaux calmes. A la diffĂ©rence du gardon, il se nourrit entre deux eaux et en surface. Il se pĂȘche au coup Ă  la ligne flottante, au Buldo en Ă©tang et Ă  la mouche avec de petites mouches Ă  ablettes. la TANCHE DESCRIPTION Le corps est trapu, le dos vert-brun, les flancs plus clairs ont des reflets cuivrĂ©s, le ventre est blanc-jaune. Un petit barbillon est disposĂ© de chaque cĂŽtĂ© de la bouche. Les Ă©cailles, profondĂ©ment incrustĂ©es dans l'Ă©piderme, sont petites 95 Ă  110 le long de la ligne latĂ©rale. Les nageoires sont arrondies, chez les mĂąles les nageoires pelviennes plus longues ont un deuxiĂšme rayon plus Ă©pais. Chez les femelles les pelviennes n'atteignent pas l'orifice uro-gĂ©nital. Taille de 20 Ă  65 cm Poids 200/400 grs jusqu'Ă  4 La tanche frĂ©quente les cours d'eau lents et les Ă©tangs peu profonds Ă  la vĂ©gĂ©tation abondante. la pĂ©riode de reproduction est situĂ©e entre les mois de mai et de juillet. Les oeufs 250 000 Ă  800 000 par femelle, fixĂ©s Ă  la vĂ©gĂ©tation, incubent 5 Ă  8 jours selon la tempĂ©rature. A l'Ă©closion, les alevins dotĂ©s d'un organe adhĂ©sif sur la tĂȘte se fixent sur les plantes jusqu'Ă  la rĂ©sorption du sac vitellin. C'est un poisson solitaire et actif Ă  la tombĂ©e de la ET DISTRIBUTION La tanche, espĂšce autochtone, est rĂ©pandue dans toute la France ; elle serait moins commune dans la Loire Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961 et absente des Alpes maritimes Kiener, 1985. Elle fut introduite dans les lacs PyrĂ©nĂ©ens entre 1956 et 1957 Chimitz, 1960. le TOXOSTOME DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos vert-noir, les flancs argentĂ©s et le ventre blanc. Les nageoires pectorales, pelviennes et anale sont oranges, les nageoires dorsale et caudale sombres. Le museau est court et mousse, la bouche infĂšre et arquĂ©e possĂšde une lĂšvre infĂ©rieure cornĂ©e. On dĂ©nombre 50 Ă  57 Ă©cailles le long de la ligne latĂ©rale. Taille de 15 Ă  En pĂ©riode de fraie mars-mai le Toxostome prĂ©sente une bande longitudinale sombre allant de la tĂȘte Ă  la queue moins visible en pĂ©riode normale. La reproduction a lieu sur les graviers et les pierres dans les eaux rapides. Les adultes prĂȘts Ă  frayer remontent les petits affluents Ă  la recherche des zones Ă  fort courant. Il se nourrit de petits invertĂ©brĂ©s et d'algues qu'il broute sur les ET DISTRIBUTION Le Toxostome est autochtone des bassins du RhĂŽne, de la Garonne et de l'Adour Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. Il colonise le bassin de la Loire Ă  la mĂȘme Ă©poque que le Hotu Gensoul, 1908 ; Roy, 1952. La pullulation de ce dernier aurait entraĂźnĂ© la rarĂ©faction du Toxostome dans la SaĂŽne Paris, 1932. le VAIRON DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est gris-vert avec des raies transversales foncĂ©es, les flancs sont argentĂ©s, le ventre blanc. Les Ă©cailles sont petites 80 Ă  90 dans une ligne longitudinale. La ligne latĂ©rale est gĂ©nĂ©ralement interrompue dans la partie postĂ©rieure. Taille de 7 Ă  14 cm. BIOLOGIE Le vairon, espĂšce d'accompagnement de la truite, frĂ©quente les cours d'eau et les lacs clairs oxygĂ©nĂ©s Ă  fond graveleux. La pĂ©riode de reproduction s'Ă©tend de mai Ă  juillet. Le mĂąle prend alors une teinte plus sombre, un ventre rouge, et il se pare ainsi que la femelle de tubercules nuptiaux. Ils se reproduisent en bancs sur les pierres et les graviers 200 Ă  1 000 ovules par femelle. L'incubation dure 5 Ă  10 jours et la maturitĂ© est atteinte Ă  l'Ăąge de 2 Ă  3 ans. Le vairon se nourrit d'invertĂ©brĂ©s benthiques et de vĂ©gĂ©taux. ORIGINE ET DISTRIBUTION Autochtone dans toute la France, Spillmann 1961 considĂ©rait qu'il Ă©tait moins frĂ©quent dans le bassin mĂ©diterranĂ©en, ce qui ne semble pas ĂȘtre confirmĂ©e Ă  la suite de cet Il est trĂšs recherchĂ© par les pĂȘcheurs de truite pour servir d'esche. Il se pĂȘche au coup trĂšs facilement. la VANDOISE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est sombre Ă  reflets vert-bleu, les flancs jaune-argentĂ©, le ventre blanc. Les nageoires pelviennes et pectorales sont jaune-orangĂ©; les Ă©cailles sont grandes 47 Ă  55 le long de la ligne latĂ©rale. La nageoire dorsale porte 10 Ă  11 rayons. Il existe diffĂ©rents "types morphologiques" ainsi dans le sud-ouest, il existe une variĂ©tĂ© particuliĂšre la "Vandoise rostrĂ©e" Leuciscus leuciscus burdigalensis. Sa silhouette est plus Ă©lancĂ©e, le museau est pointu, et les lĂšvres Ă©paisses. Taille de 15 Ă  30cm. Poids 150 Ă  200 grs jusqu'Ă  1 La vandoise commune Leuciscus leuciscus se rencontre essentiellement dans les cours d'eau rapides Ă  fond sablonneux ou graveleux. La reproduction a lieu de mars Ă  mai parmi les pierres et la vĂ©gĂ©tation. Les mĂąles sont alors ornĂ©s de petits tubercules nuptiaux sur tout le corps. Les oeufs 15 000 Ă  30 000 par femelle adhĂšrent au substrat. La vandoise est un poisson grĂ©gaire qui nage prĂšs de la ET DISTRIBUTION Elle est commune dans la plupart des rĂ©gions françaises et plus rare dans le sud-ouest et le sud-est Blanchard, 1866 ; Roule, 1904 ; Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. PrĂ©sente dans la Durance au dĂ©but du siĂšcle Caillol, 1913, elle n' y est plus signalĂ©e. La vandoise rostrĂ©e L. l. burdigalensis est mĂ©ridionale, elle semble remplacer la vandoise commune dans les bassins de la Garonne Dordogne et Gironde comprises, et de l'Adour Moreau, 1881; Roule, 1925 ; Boisset, 1948 ; Spillmann, 1961; GrĂ©goire, 1983. Dans ces rĂ©gions, les deux sous espĂšces sont souvent confondues. La vandoise rostrĂ©e est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE Elle se pĂȘche au coup et Ă  la mouche. Amusant Ă  capturer pour sa vivacitĂ© et sa dĂ©fense qui s'apparente Ă  celle des salmonidĂ©s. LES CARNASSIERS le BLACK BASS DESCRIPTION Le black-bass Ă  grande bouche a une forme allongĂ©e et trapue. La nageoire dorsale est presque complĂštement sĂ©parĂ©e en deux. parties distinctes. Les nageoires pelviennes sont insĂ©rĂ©es Ă  l'aplomb des nageoires pectorales La bouche est grande, la mĂąchoire supĂ©rieure dĂ©passe le bord postĂ©rieur de l'Ɠil. L'opercule est recouvert d'Ă©cailles, son bord libre se termine par une pointe molle. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est vert bronze, le ventre est blanc. Taille Elle peut atteindre 30 Ă  80 Il frĂ©quente les milieux aquatiques de plaine, riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction a lieu au printemps lorsque la tempĂ©rature de l'eau atteint environ 15 Ă 18°C. La fĂ©condation et l'incubation des oeufs se dĂ©roulent sur un nid prĂ©parĂ© par un des parents le mĂąle, et qui en assure seul une protection farouche. Cette pĂ©riode de protection s'Ă©tend encore pendant 2 Ă  3 semaines aprĂšs l'Ă©closion. La fĂ©conditĂ© est moyenne de 4000 Ă  plus de 10000 ovules par kg de femelle. La pĂ©riode d'incubation est variable suivant la tempĂ©rature de 85 Ă  105 degrĂ©s/jours Wurtz-Arlet, 1952. La croissance est plus ou moins rapide suivant les conditions thermiques, elle peut ĂȘtre trĂšs importante dĂšs la premiĂšre annĂ©e Allardi, 1973. Le rĂ©gime alimentaire, aprĂšs un stade zooplanctonophage devient strictement carnassier et ichtyophage. ORIGINE ET DISTRIBUTION Originaire du continent nord amĂ©ricain le black-bass Ă  grande bouche a Ă©tĂ© introduit en Grande-Bretagne en 1878-1879 Anonyme, 1898, puis en 1883 aux Pays-Bas et en Allemagne. Sa reproduction en France est rĂ©ussie pour la premiĂšre fois en 1890 Bertrand, 1890 dans un Ă©tang de la rĂ©gion de Versailles. Il est ensuite transfĂ©rĂ© dans les Ă©tangs en Sologne Wurtz-Arlet, 1952. La rĂ©partition actuelle est trĂšs morcelĂ©e et sensiblement mĂ©ridionale. Il ne semble pas que ce poisson soit en phase d'expansion. PÊCHE Il se pĂȘche avec des leurres de toutes sortes au lancer comme Ă  la mouche. Il s'alimente surtout en surface ou Ă  faible profondeur. Le black-bass chasse Ă  l'affĂ»t. Si il est en activitĂ© du printemps Ă  l'automne, c'est surtout en Ă©tĂ© qu'il est le plus mordant. TrĂšs agressif il reste toujours mĂ©fiant, lunatique comme tout carnassier. Il est cĂ©lĂšbre pour sa dĂ©fense. Ne jamais le pĂȘcher sous 22/100e le BROCHET DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, le dos est brun-vert, les flancs plus clairs possĂšdent des bandes transversales, et le ventre est blanc-jaune. Les nageoires portent des macules sombres. Les jeunes ont souvent une teinte vert-pĂąle. La nageoire dorsale est trĂšs en arriĂšre. La tĂȘte et le museau sont larges et aplatis, la mĂąchoire infĂ©rieure est proĂ©minente. La langue , l'os palatin et les deux mĂąchoires possĂšdent de trĂšs fortes dents. Taille de 50 Ă  150 cm. BIOLOGIE Le brochet prĂ©fĂšre les eaux claires Ă  fond graveleux et aux berges riches en vĂ©gĂ©tation. La reproduction se dĂ©roule de fĂ©vrier Ă  mai, les ovules 30000 Ă  60000 par femelle sont pondus en eau peu profonde parmi la vĂ©gĂ©tation ou dans l'herbe des prairies inondĂ©es. L'incubation dure de 2 Ă  4 semaines. Les alevins possĂšdent pendant 2 Ă  3 semaines un organe adhĂ©sif sur la tĂȘte qui leur permet de se fixer Ă  la vĂ©gĂ©tation. La maturitĂ© est atteinte gĂ©nĂ©ralement Ă  l'Ăąge de 3 Ă  4 ET DISTRIBUTION Le brochet est une espĂšce indigĂšne de nos douces. Dans la premiĂšre moitiĂ© du 20Ăšme, il est commun dans la France entiĂšre Ă  l'exception toutefois des PyrĂ©nĂ©es orientales, du Var, des Alpes maritimes, et des fleuves cĂŽtiers mĂ©diterranĂ©ens Moreau, 1881; Spillmann, 1961; Morruzzi, 1975 ; GrĂ©goire, 1983. Il a Ă©tĂ© introduit dans les Vosges lacs de Longemer, Retoumemer, Gerardemer et rĂ©introduit en 1934 dans le lac d'Annecy Hubault, 1955. AprĂšs la premiĂšre guerre mondiale, la pĂȘche abusive des brochetons et les Ă©pidĂ©mies provoquent une nette rĂ©gression du brochet Brou, 1953 ; Chimits, 1956 Spillmann, 1961 ; s'en suivirent alors les premiers rempoissonnements en vue du repeuplement et du dĂ©veloppement de la pĂȘche sportive Chimits, 1947b. Son aire de rĂ©partition s'Ă©tend ainsi progressivement aux dĂ©partements mĂ©diterranĂ©ens. Bien que le brochet soit prĂ©sent sur l'ensemble du territoire, la disparition plus ou moins complĂšte de ses zones de reproduction zones inondables, prairies humides... mettent en danger la survie de l'espĂšce. Le brochet est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prise dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88.PÊCHE La pĂȘche au vif est certainement la plus rĂ©pandue mais ce carnassier cĂ©lĂšbre peut-ĂȘtre Ă©galement capturĂ© au "poisson mort maniĂ©", au lancer et Ă  la mouche streamer la PERCHE DESCRIPTION Le corps est haut, le dos est gris-vert, les flancs plus clairs portent 6 Ă  9 bandes transversales sombres et le ventre est blanc-rouge. En gĂ©nĂ©ral le mĂąle a des couleurs plus vives. Les nageoires pelviennes et anale sont rouges. Les deux nageoires dorsales sont sĂ©parĂ©es, la premiĂšre porte une tĂąche noire et 13 Ă  16 rayons Ă©pineux, la seconde 1 Ă  2 rayons Ă©pineux et 13 Ă  16 rayons branchus. Le bord antĂ©rieur de l'opercule forme un aiguillon. Taille de 20 Ă  50 cm. Poids 200/300 grs jusqu'Ă  4,8 La perche est susceptible d'ĂȘtre rencontrĂ©e dans toutes les eaux libres et stagnantes Ă  une altitude infĂ©rieure Ă  1000 m. La fraie Ă  lieu d'avril Ă  juin, les ovules 1,5 Ă  2 mm sont dĂ©posĂ©s en longs rubans gĂ©latineux dans la vĂ©gĂ©tation des eaux peu profondes. L'incubation dure de 15 Ă  20 jours. Les jeunes vivent en bancs alors que les adultes sont plutĂŽt ET DISTRIBUTION La perche est autochtone dans le nord de la France, elle s'est Ă©tendue ensuite vers le sud et l'ouest Ă  la faveur des canaux elle a notamment colonisĂ© l'HĂ©rault par le canal du midi Moreau, 1881 puis le bassin de la Garonne Spillmann, 1961. Elle semble actuellement absente du C'est l'un des poissons les plus recherchĂ©s en eau douce. La perche commune se pĂȘche au coup et au lancer. Il est frĂ©quent de rĂ©aliser des captures groupĂ©es du fait qu'elle vit en bancs. Elle mord Ă©galement bien Ă  la mouche petits streamers verts, noirs et oranges. le SANDRE DESCRIPTION Le corps est Ă©lancĂ© et la tĂȘte allongĂ©e. La bouche est assez largement fendue et prĂ©sente une dentition fortement dĂ©veloppĂ©e. Les deux nageoires dorsales sont sĂ©parĂ©es par un faible espace, elles prĂ©sentent des taches noires en bandes horizontales. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est gris verdĂątre pour la partie dorsale, avec des bandes verticales foncĂ©es. Le ventre est blanc. Taille 30/60 cm ; rare 1,30 m Poids jusqu'Ă  15 Le sandre frĂ©quente les grands cours d'eau ainsi que les eaux calmes lacs, Ă©tangs et rĂ©servoirs. Sa reproduction a lieu du mois d'avril au mois de juin, lorsque la tempĂ©rature de l'eau est voisine de 15°C. La ponte a lieu sur un nid, protĂ©gĂ© pendant la pĂ©riode d'incubation 10 Ă  15 jours, par le mĂąle. La fĂ©conditĂ© est Ă©levĂ©e environ 200 000 ovules par kilo de femelle. Le rĂ©gime alimentaire est essentiellement ichtyophage, la taille des proies ingĂ©rĂ©es est limitĂ©e par la relative Ă©troitesse de l' ET DISTRIBUTION Le sandre est originaire de l'Europe centrale Lac Balaton, Hongrie, Sa premiĂšre capture dans le Rhin est signalĂ©e en 1888 Armengaud, 1962. En 1912, il passe dans le canal de la Marne au Rhin. Il est signalĂ© dans le Doubs en 1915 et dans la SaĂŽne en 1920. Il atteint l'Ă©tang de VaccarĂšs en 1930. La maĂźtrise de la reproduction et du transport des pontes frayĂšres et boite Korchus Ă  partir de la pisciculture de SylvĂ©rĂ©al sont Ă  l'origine de son extension, par les sociĂ©tĂ©s de pĂȘche, Ă  l'ensemble du rĂ©seau Du fait de la rarĂ©faction du brochet, il devient un carnassier de plus en plus recherchĂ©. Mais les techniques de pĂȘche du sandre ne sont pas Ă©quivalentes Ă  celles employĂ©es pour le brochet. Il prĂ©fĂšre des vifs de petites tailles et il mord aux poissons morts reposant sur le fond. Il ne coupe pas le nylon avec sa dentition et permet l'usage de lignes sans avançons d'acier. DĂ©fense peu vigoureuse. le SILURE DESCRIPTION Le corps est allongĂ©, aplati latĂ©ralement dans sa partie postĂ©rieure. La tĂȘte, forte et large, est aplatie dorso-ventralement. La bouche largement ouverte est munie de 6 barbillons, 2 trĂšs dĂ©veloppĂ©s au dessus de la bouche, 4 plus petits en dessous. L'Ɠil est trĂšs petit. Il n'existe qu'une seule nageoire dorsale courte sans Ă©pine. La nageoire anale est trĂšs longue Ă  peine sĂ©parĂ©e de la caudale. La peau est nue, la coloration est assez variable souvent brun marbrĂ© sur le dos et les flancs. Le ventre est souvent plus clair. Taille Elle peut dĂ©passer 5 mĂštres actuellement 2,20 m en France. Poids jusqu'Ă  300 Le silure glane est le plus grand des carnassiers d'eau douce en France. Sa reproduction se dĂ©roule du mois de mai au mois de juin lorsque la tempĂ©rature de l'eau est proche de 20°C. La ponte a lieu dans un nid ouvert situĂ© prĂšs des berges, souvent dans les racines des arbres rivulaires. Le nid est protĂ©gĂ© pendant toute la pĂ©riode d'incubation par le mĂąle, qui abandonne sa protection lorsque les alevins nagent depuis environ 48 heures. La fĂ©conditĂ© est relativement peu Ă©levĂ©e voisine de 30000 ovules par kilo de femelle. Son rĂ©gime alimentaire est de type omnivore Ă©crevisse, batracien, poisson, oiseau, petit mammifĂšre et souvent ET DISTRIBUTION Longtemps considĂ©rĂ© comme autochtone, il Ă©tait signalĂ© dans le bassin du Rhin et exceptionnel dans celui du Doubs Ogerien, 1863 ; Moreau, 1881 ; Roule, 1925 Spillmann, 1961; Allardi, 1984. Des recherches rĂ©centes ont montrĂ© que le silure a Ă©tĂ© introduit dans le bassin du Doubs en 1857 par Benhot, Ă  partir de sujets Ă©levĂ©s Ă  la pisciculture de Huningue. Depuis la fin des annĂ©es soixante il a Ă©tĂ© introduit dans un affluent de la Seine d'oĂč il a pu coloniser le rĂ©seau de la SaĂŽne et du RhĂŽne. Des introductions volontaires sont Ă  l'origine de son extension Elle attire de plus en plus de pratiquants tout en restant une affaire de spĂ©cialistes, tant les techniques et le matĂ©riel utilisĂ©s sont spĂ©cifiques. Les cannes sont puissantes et Ă©quipĂ©es de gros moulinets Ă  tambour fixe avec du nylon 50/100 Ă  60/100 ou de tresses. Le silure est gĂ©nĂ©ralement pĂȘchĂ© d'une barque avec du vif de belle taille, au paquet de vers, Ă  la grande cuiller ondulante ou aux leurres souples gĂ©ants. Le silure se tient dans des zones profondes et calmes en automne et en hiver et sur des zones plus courantes avec des herbiers le reste de l'annĂ©e. Le combat est gĂ©nĂ©ralement trĂšs long 1 h. LES SALMONIDES la TRUITE ARC EN CIEL DESCRIPTION La truite arc-en-ciel a un corps fusiforme. La tĂȘte est relativement petite, la bouche est peu fendue, le maxillaire ne dĂ©passant pas le bord extĂ©rieur de l'Ɠil. le corps prĂ©sente sur les flancs une bande irisĂ©e caractĂ©ristique. Les nageoires dorsale et anale prĂ©sentent des ponctuations noires absentes chez la truite commune. La coloration gĂ©nĂ©rale du corps est trĂšs variable suivant les types de milieux et l'Ă©tat physiologique. En milieu lacustre ou marin le corps devient complĂštement argentĂ©, les individus reçoivent alors le nom de "truite Kamloops ou de truite Steelhead" Scott et Crossman, 1974. Taille Elle est variable suivant le cycle biologique. Les formes migratrices lacustres ou marines peuvent atteindre des tailles voisines de 80 cm. Les formes sĂ©dentaires sont plus La biologie de cette espĂšce a Ă©tĂ© particuliĂšrement Ă©tudiĂ©e, compte tenu de l'importance Ă©conomique qu'elle reprĂ©sente salmoniculture. Cependant son Ă©cologie reste encore peu connue dans notre pays, en particulier le succĂšs de sa reproduction naturelle est rarement signalĂ©. Dans son pays d'origine la reproduction est plus tardive que celle de la truite commune tempĂ©rature de 10 Ă  15°C. Les facteurs qui dĂ©clenchent le phĂ©nomĂšne migratoire Ă  l'intĂ©rieur d'une population ne sont Ă©galement pas ET DISTRIBUTION La truite arc-en-ciel est originaire de la cĂŽte ouest des États-Unis, les premiers essais d'introduction en France datent de 1884. Ces opĂ©rations ont Ă©tĂ© renforcĂ©es depuis la maĂźtrise de l'alimentation artificielle de cette espĂšce, technique qui a provoquĂ© le dĂ©veloppement rapide de son Ă©levage. Des travaux rĂ©cents Smith et Stearley, 1989 ont montrĂ© l'appartenance de la truite arc-en-ciel au genre Oncorhynchus, qui regroupe les salmonidĂ©s migrateurs ou non de la cĂŽte ouest des États-Unis, le genre Salmo Ă©tant rĂ©servĂ© aux salmonidĂ©s de la cĂŽte est. La rĂšgle de l'antĂ©rioritĂ© a fait attribuer le nom de mikiss Ă  la truite arc-en-ciel, ce nom ayant Ă©tĂ© attribuĂ© antĂ©rieurement Ă  la truite du Kamchatka. UtilisĂ©e pour le repeuplement, cette espĂšce est rĂ©pandue sur l'ensemble du territoire. la TRUITE FARIO DESCRIPTION La truite est une espĂšce trĂšs polymorphe dont les variations accompagnent souvent les changements d'habitats qu'est susceptible d'accomplir cette espĂšce. Le corps est fusiforme et Ă©lancĂ©, la tĂȘte est relativement grosse et la bouche est largement fendue, le maxillaire supĂ©rieur dĂ©passant nettement le bord postĂ©rieur de l'Ɠil. Le pĂ©dicule caudal est plus Ă©levĂ© que chez le saumon. Les mĂąchoires sont armĂ©es d'une rangĂ©e de dents coniques. La coloration de la robe et le patron des ponctuations varient avec l'Ăąge et le milieu de vie des individus. Il existe chez certaines truites une tendance naturelle Ă  se dĂ©placer vers des secteurs oĂč le volume d'eau est important Lac ou grande riviĂšre, lĂ , les individus perdent complĂštement leur robe tachetĂ©e pour prendre une parure trĂšs homogĂšne avec le dos souvent gris bleu et le ventre blanc. On retrouve cette coloration aussi bien chez la truite de mer que chez la truite de lac. Taille Elle est variable suivant le cycle biologique, les formes sĂ©dentaires Ă©tant plus petites 30 Ă  40 cm, les formes migratrices pouvant atteindre 1 La biologie de la truite rappelle par de nombreux aspects celle du saumon comportement de ponte, occupation du territoire, migration... Ces derniĂšres annĂ©es les formes migratrices ont plus particuliĂšrement Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©es qu'il s'agisse de la truite de mer Fournel et al, 1985 ; Richard, 1986 ou de la truite de lac qui reprĂ©sentent une ressource importante. La migration en mer de la truite est beaucoup plus limitĂ©e dans l'espace que celle du saumon atlantique et il n'est pas rare de voir une truite se reproduire aprĂšs son premier Ă©tĂ© en mer type "finnock".ORIGINE ET DISTRIBUTION La truite est largement rĂ©pandue sur l'ensemble du territoire. Elle frĂ©quente aussi bien les cours d'eau de haute altitude que les lacs. En plaine le facteur le plus limitant de sa rĂ©partition est la tempĂ©rature plus que la qualitĂ© des eaux espĂšce d'eau fraĂźche. La truite de mer a bĂ©nĂ©ficiĂ© des programmes dĂ©veloppĂ©s pour le saumon atlantique et l'ouverture d'axes nouveaux profite particuliĂšrement Ă  cette espĂšce fleuves cĂŽtiers de la Manche Orne, Touques, Bresles. On a longtemps cru que la mer MĂ©diterranĂ©e Ă©tait trop salĂ©e pour abriter des salmonidĂ©s, il semble que depuis quelques annĂ©es la capture de truite y soit de plus en plus frĂ©quente Fabre et al, 1974. La truite Ă  grosses taches n'est pas prĂ©sente sur le continent, elle ne se rencontre qu'en Corse. Cette espĂšce est susceptible de bĂ©nĂ©ficier de mesures de protection prises dans le cadre d'un arrĂȘtĂ© de biotope arrĂȘtĂ© du 8/12/88. l' OMBLE DE FONTAINE Le saumon de fontaine, omble de fontaine ou truite mouchetĂ©e Salvelinus fontinalis est un poisson originaire d'AmĂ©rique du Nord qui a Ă©tĂ© introduit dans de nombreux pays tempĂ©rĂ©s. C'est un poisson d'eau vive, douce ou anadrome exigeant en oxygĂšne dissous. Les populations anadromes sont appelĂ©s truites bleu, en rĂ©fĂ©rence Ă  leurs coloration plus argentĂ©e qui contraste avec celle entiĂšrement d'eau douce. Souvent elles sont simplement appelĂ©e truite de mer ce qui prĂȘte Ă  confusion avec toutes les espĂšces de truites anadromes qui sont toutes respectivement appelĂ©es truites de mer dans leur environnement respectif .... La saison dĂ©marre !! VOILE DE PAPILLON Prix, Disponible et Images. Ces rĂšgles de vigilance vous permettront de contrĂŽler tout les points d'attention que vous devez Ă©tudier avant l'acquisition d'un Ă©tang. variĂ©tĂ©s poissons d'Ă©tang, la stĂ© rĂ©lot frĂšres vende du gardon, tanche, brochet, carpe ,black bass, sandre, goujon, perche Ă  la pisciculture de missillac. Commander . 31,0 km de Varennes sur Allier. Nous sommes Ă©quipĂ©s de camions spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s pour livrer les poissons de nos producteurs dans la France entiĂšre et Ă  l'Ă©tranger. esturgeon, esturgeons, esturgeon pour bassin de jardin et Ă©tang, vente d'esturgeon, esturgeons toutes espĂšces et tailles, caviar d'esturgeons. La perche soleil se caractĂ©rise par un corps haut et latĂ©ralement fortement aplati. Principes; Praticable; Agenda; ÉvĂ©nements. Consept aquarium. Choisissez le contrat d'entretien adaptĂ© Ă  vos exigences, pour votre domicile ou votre bureau, dans la mĂ©tropole lilloise et dans la rĂ©gion Nord-Pas-de-Calais Fabrication d'aquarium sur . KOI PETIT Pisciculteur notre production de carpes koi est le rĂ©sultat de koi femelles croisĂ©es europĂ©ennes / japonaises et de koi mĂąles japonais. La bourse en ligne regroupe les offres esturgeons FishFish de . Principes; Praticable; Agenda; ÉvĂ©nements. Entretien d'aquarium Ă  domicile . Notre production englobe 15 espĂšces de poisson et pour certaines d'entre elles 2 Ă  3 
 vente en ligne carpes, tanches, brochets, sandres, black bass etc
 livraison possible dans toute la france sous 24/48h. Forgot account? ESTURGEON Gros poisson qui remonte de la mer dans les grands fleuves. Afficher le N° Mobile 06 01 07 50 39. pisciculture Pisciculture Du Moulin . Poissons d'eau douce. L'achigan Ă  petite bouche Micropterus dolomiuei . Esturgeons* Baeri 20-25 cm RĂ©fĂ©rence ESTU-001 14,50 € Ajouter au panier Plus de dĂ©tails Animaux en stock. Exploitation piscicole Laon. Poissons et alevins en vente. Ledegem Hier. Les ventes dĂ©butent courant novembre et se prolongent jusqu'Ă  fĂ©vrier voire mars, selon la mĂ©tĂ©o et les stocks disponibles. Nous sommes Ă©quipĂ©s de camions spĂ©cialement amĂ©nagĂ©s pour livrer les poissons de nos producteurs dans la France entiĂšre et Ă  l'Ă©tranger. Du plus courant gardons, brochets en passant par la tanche, le sandre et le black-bass
 jusqu'Ă  de gros spĂ©cimen de carpes, amours blancs, koï
 Vente Aliment poissons Pellet carpes Devis Gratuit ! SpĂ©cialisĂ© dans les poissons ornementaux Le mandarinfish est originaire du Pacifique s'Ă©tendant Ă  peu prĂšs des Ăźles ryukyu en australie du sud. 62270 Monchel sur Canche. À partir du 1/04/2022, nous consulter pour les Prix "ÉtĂ©" des espĂšces disponibles. Elle peut mesurer jusqu'Ă  20cm. Arrivage de poissons et de plantes chaque semaine en import directe. Nous vendons Ă©galement nos truites et truitelles vivantes aussi bien au dĂ©tail qu'en gros ou demi-gros. nous contacter Consulter nos tarifs PubliĂ© dans Poissons Nous situer Achetez en ligne des esturgeons ou optez pour la remise en main propre. Notre Ă©quipe rĂ©alise la pĂȘche, organise le repoissonnement et apporte conseils et savoir-faire pour la bonne gestion des Ă©tangs. Les poissons que nous vous proposons en lignes sont issus de notre Ă©levage. Log In. Acheter en ligne vos poissons pour votre aquarium ou bassin/Ă©tang d'eau douce sur la boutique Aquachange c'est l'assurance de rĂ©ceptionner des individus en parfaite santĂ© grĂące au savoir faire que ça soit dans le soin, l'acclimatation, la sĂ©lection des poissons ainsi qu'au nivea. Carpe koi, carpe amour blanc carpe herbivore, tanche verte et tanche de mongolie, comĂšte rouge, comĂšte jaune, shubunkin. tous poissons pour les viviers en la pĂȘche de ligne la carpe, le carassin croisĂ©, l'ide mĂ©lanote en le tanche entiĂšrement l'an livrable. Une ide est un excellent poisson pour le bassin de jardin. Forts de trois . Il faut savoir que les poissons d'Ă©levage sont blindĂ©s de chimiques divers, et autres antibiotiques, pour Ă©viter les pertes, puis ils arrivent chez vous, et se chopent la moindre infection ou parasite qui traĂźne, et donc vous devez leur balancer remĂšdes divers, cercle vicieux. Tous les poissons d'ornement d'eau froide et chaude sont effectivement stockĂ©s avec nous. Product/service. Create new account. J'ai invitĂ© le comitĂ© d'organisation du TĂ©lĂ©thon Ă  venir installer une buvette. Les petits esturgeons de moins de 20cm doivent ĂȘtre nourris toutes les 3 heures, sinon ils peuvent mourir. Poissons disponibles toutes l'annĂ©e. TerminĂ©es les chaleurs estivales, avec l'automne la saison des vidanges d'Ă©tangs, des pĂȘches et des trie va dĂ©buter. mathieu Ledegem. Floraquatic a sĂ©lectionnĂ© pour vous un grand choix de poissons d'eau douce Barbus, Betta, Botia, Danio, Discus, Gourami, Guppy, Killies, Molly, Platy, TĂ©tras, Xipho, CichlidĂ©s africains et carpe nos poissons sont disponibles et livrĂ©s sous 24H en envoi sĂ©curisĂ© pour l'expĂ©dition de d'animaux vivants. Vente en ligne de poisson vivant. Livraison en 24 heures. ETS Quentin proposent aussi . 4 dĂ©crivez le caractĂšre » que vous souhaitez pour votre entreprise, l'image que vous souhaitez que vos clients voient, telles que des conditions d'hygiĂšne de la plus haute qualitĂ©, des ventes de poisson vivant avec nettoyage et habillage du poisson selon les prĂ©fĂ©rences du client. le gardon, la brĂšme, le carassin, le brochet, la perche, la carpe herbivore, le rotengle, etc. 13 sept. 2017 - achat de poissons d'Ă©tang . 62134 Monchy-Cayeux. poissons pisciculture Notre production englobe 15 espĂšces de poisson et pour certaines d'entre elles 2 Ă  3 tailles diffĂ©rentes. Prestation de pĂȘche Une pĂȘche d'Ă©tang demande une technicitĂ©, un matĂ©riel spĂ©cifique et du personnel qualifiĂ©. Le Royaume Des Mayas . See more of Bestoffres, nourriture pour poissons d' aquarium on Facebook. Vous aurez ainsi une autonomie de plus de 12 heures pour vous rendre Ă  votre Ă©tang . Mr Dujardin 49 ans, Hainaut. producteur vente de poissons d'Ă©tang - carpes , tanches . Pour le repeuplement, Ă  destination des sociĂ©tĂ©s de pĂȘche, des professionnels et des particuliers, la pisciculture vous propose ActivitĂ© tout d'abord locale, nous exportons aujourd'hui en Europe Allemagne, Italie, Suisse,
. PETITE QUANTITE commande infĂ©rieure Ă  250 € TTC N'hĂ©sitez pas Ă  nous contacter par tĂ©lĂ©phone ou mail. Il s'agit de poissons ordinaires de toutes tailles, il n'y a pas de koi + de 300 poissons en tout. La Pisciculture et l'Ă©levage des poisson dans l'eau,cultivateur des papayer. Non classĂ© Les poissons d'Ă©tang sont disponibles . SpĂ©cialiste de la vente et la livraison de poissons de bassin et Ă©tang Ă  prix compĂ©titifs!!! Visite technique de la pisciculture. Carpes KoĂŻ. Dans le cas d'achat Ă  la ferme aquacole, il est possible de transporter le poisson dans vos propres rĂ©cipients . Lors de la pĂ©riode hivernale, nous rĂ©alisons des vidanges de plans d'eau pour les particuliers ou des collectivitĂ©s. Les poissons vivants sont vendus Ă  l'Aquaferme d'Ă©tang de Saint Pierre du Palais mais pour certaines quantitĂ©s une livraison peut-ĂȘtre effectuĂ©es dans des cuves alimentĂ©es en oxygĂšne. PostĂ© le 13 septembre 2017 par pisciculture Poissons d'Ă©tang de repeuplement. Nous pouvons vous conditionner les poissons d'Ă©tang dans des sacs plastiques Ă©tanches, gonflĂ©s Ă  l'oxygĂšne. Conservation 3 ans La DLC ou DDM s'applique Ă  compter de la date de fabrication Agriculture. Cette vaste superficie, comprend un grand Ă©tang [
] CatĂ©gories. Que vous en veuillez 3 ou 50, tout est possible. Exploitation . Nous vous proposons ici diffĂ©rentes tailles et diffĂ©rentes quantitĂ©s. Nos ventes se font au dĂ©tail directement Ă  la pisciculture sur rendez-vous. La ferme aquacole d'Anjou Ă©lĂšve des poissons de repeuplement disponibles sur place ou en ligne. 3 espĂšces locales pouvant atteindre des poids de 20kg ou plus. Vente en ligne poissons d'Ă©tangs et d'ornement. Il est primordial afin de gĂ©rer correctement la population piscicole de votre Ă©tang de tenir compte de vos attentes, des possibilitĂ©s, et bien sur de votre bourse. La Pisciculture de Voulpaix prĂšs de Vervins dans l'Aisne 02 Ă©levage de poissons blancs, Ă©levage de truites, vente de poissons vivants, Ă©tang de pĂȘche, pĂȘche Ă  la truite, location d'Ă©tang. Nous vous proposons en vente directe du producteur des poissons de diffĂ©rentes espĂšces. 2. Le ramassage est possible sur rendez-vous. Les Ă©tablissements Quentin vous permet de proposer Ă  l'achat des vifs tous au long de l'annĂ©e, du gardons aux goujons en passant par les vifs Ă  silures. Pisciculture Couturier Pouligny Saint Pierre Indre 36, poissons d'eau douce, poissons d'ornement, Repeuplement, Entretien d'Ă©tang, Conseils, Vente aux professionnels et particuliers - Nos poissons d'Ă©tang Nos poissons d'Ă©tang Cliquez sur les images pour voir le descriptif dĂ©taillĂ© de chaque poisson. Avec prĂšs de 25 ans d'expĂ©rience, la pisciculture de la Gaingaudrie est reconnue pour son savoir-faire et la qualitĂ© de ses prestations en terme de gestion d'Ă©tangs dans la rĂ©gion. De splendidus synchiropus les poissons un mandarin des poissons de mer les plus colorĂ©s. Liens; La passe. La commercialisation et la livraison de poissons d'Ă©tang vivants Du produteur. RĂ©servation obligatoire. Connexion. Connexion Create an account. Exploitation . Elle a Ă©tĂ© introduite il y a 50 ans en Belgique. Poissons de repeuplement Etang. Nous appelons le client dĂšs la vidange de l'Ă©tang, les poissons sont stockĂ©s trĂšs peu de temps et prĂ©sentent des capacitĂ©s de bonne reprise idĂ©ales. Une offre diversifiĂ©e et adaptĂ©e pour votre aquarium ou votre bassin. Nos vers, larves, asticots, vers de farine, vers de vase, teigne ou pinkies fera le bonheur des pĂȘcheurs Ă  la truite et Ă  la carpe. Samedi 6 et dimanche 7 dĂ©cembre, vente de poisson Ă  l'Ă©tang de GuĂ©-ChaussĂ©e, Ă  partir de 9 h 30, et . Pet Service. Le 24 mai 2022, Francis a reçu la plaque officielle du rĂ©seau Bienvenue Ă  la . CatĂ©gories. Plus prĂ©cisĂ©ment les tarifs des . Ledegem Hier. Ventes en ligne de carpes koĂŻ, poissons rouges et multicolores, shubunkins, carpes herbivores, aliments pour poissons de bassin et aliments spĂ©cial koi avec spiruline. Il est donc conseillĂ© d'installer un distributeur de nourriture pour les petits spĂ©cimens. Vente poissons vivants Laon. Conclusion. Notre mĂ©tier produire du poisson pour le repeuplement et la consommation. Aqua-Microfaune. LES FRAIS DE PORTS SONT OFFERTS A PARTIR DE 400 EUROS D'ACHAT Connexion Your Account . De la pĂȘche des Ă©tangs, du triage et du calibrage des poissons vivants dans notre pĂȘcherie du Roset, jusqu'Ă  la commercialisation et la livraison du poisson vivant pour le repeuplement ou destinĂ© Ă  l'alimentation humaine.. Les coopĂ©rateurs en liaison Ă©troite avec leur coopĂ©rative produisent une . Libre de droits Download preview Le splendidus de le synchiropus mandarinfish ou de dragonet mandarin est un petit aux couleurs vives, membre de la famille dragonet qui est populaire dans le commerce de l'aquarium d'eau de mer. Vente de truites et poissons d'Ă©tangs Nous proposons la vente de poissons aux particuliers, grossistes, sociĂ©tĂ©s de pĂȘche et restaurateurs et assurons des livraisons toutes distances, mĂȘme aux alentours de Cherbourg. 62161 ETRUN. Les rĂ©sultats des pĂȘches d'Ă©tangs sont variables d'annĂ©e en annĂ©e, nous vous conseillons d'aleviner plus souvent et en . Entre Particulier Maison Camon, Erreur 4201 France Tv Direct, Comment Activer Mon Espace Professionnel ImpĂŽts, Ă©quipement De Protection Individuelle, Quel Est Le Meilleur Camping Car Pour 2 Personnes, SituĂ©e au coeur du village de Manthes, dans le nord de la DrĂŽme, depuis prĂšs de 50 ans dĂ©jĂ , la Pisciculture des Sources est un Ă©levage de salmonidĂ©s truites et ombles rĂ©putĂ© par la qualitĂ© de ses eaux limpides, par sa trĂšs haute exigence en matiĂšre de sanitaire et le travail de ses propres souches, grĂące Ă  un savoir-faire incontestable depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations. Une vente au dĂ©tail sur le site de production, ainsi que par le biais de magasins revendeurs, permet aux plus fins gourmets de dĂ©couvrir les poissons frais ou produits dĂ©rivĂ©s que la pisciculture dĂ©veloppe. Aussi, par le biais de ses vĂ©hicules dĂ©diĂ©s Ă  cet effet, la pisciculture s’est spĂ©cialisĂ©e dans la livraison de ses poissons vivants dans toutes les piscicultures, riviĂšres ou lacs d’Europe. Nous vous proposons une Visite GuidĂ©e afin de mieux nous dĂ©couvrir...

vente de poisson vivant pour étang nord