Complètementclassés rouges (officiellement non recommandés) sont le Mali, le Niger, le Soudan du Sud et la Somalie. Quels sont les 10 pays les plus Quels sont les pays les moins dangereux du monde ?
Nouvellemédaille d’or pour Alexandre Léauté aux championnats du monde de paracyclisme à Baie Comeau au Canada, le long du fleuve
Legolfe de Guinée: la mer «la plus dangereuse du monde». Par Nicolas Barotte. Publié le 25/01/2021 à 19:05, Mis à jour le 26/01/2021 à 17:40. Un vaisseau anti-piraterie des Forces Navales
Ilne dépasse pas les 30 cm de long, et son poids oscille entre 400g et 1800g. C'est un animal semi-nocturne, il dort la majeure partie de la journée et chasse la nuit venue sur un territoire de 3 à 10 ha, d'où son besoin de se déplacer de jardin en
LaPrincesse de Clèves est un roman écrit par Madame de la Fayette, publié en 1678, de manière anonyme. L’histoire s’intéresse à mademoiselle de Chartres, jeune femme d’une grande beauté qui fera face aux dangers de la cour du Roi du XVIIème siècle. Tiraillée entre son amour pour son amant et ses devoirs conjugaux, elle finira sa vie exilée de tous, contrite de ses fautes
Lefrelon géant japonais est un insecte volant qui mesure près de 8 cm de long, ce qui en fait le plus gros frelon du monde. Son corps est orange avec des antennes brunes et des taches jaunâtres. La piqûre de cet insecte est très intense et dangereuse, elle provoque la destruction des tissus de l'épiderme et peut même entraîner la mort, c'est pourquoi cet insecte
y1wHls. C’est l’heure de notre rendez-vous annuel. Comme chaque année, au mois d’octobre, nous dressons la liste des pays les plus sûrs du monde. Pour cela, nous nous basons sur le Global Peace Index. Comme nous l’expliquions lors de nos articles des années précédentes, le Global Peace Index s’attelle chaque année à la lourde tâche consistant à classer les pays du monde en fonction de leur pacifisme, en dressant son rapport de l’indice de paix mondial ». Le but ? Montrer l’impact bénéfique d’une paix active dans le monde. Plutôt honorable, non ? » Pour rappel encore, le calcul de l’indice de paix mondial se base sur 23 indicateurs, qui sont répartis en trois thèmes généraux le niveau de sûreté et de sécurité dans la société taux d’homicides, craintes de violences…, l’étendue des conflits intérieurs et extérieurs décès lors de conflits intérieurs, impact du terrorisme, pertes militaires hors du territoire…, et le degré de militarisation nombre de personnel militaire pour habitants, montant de la participation à l’ONU pour le maintien de la paix, dépenses militaires, ventes/achats d’armes…. » À travers cet article, notre but n’est pas de démontrer qu’il est possible, d’un point de vue sécuritaire, de voyager partout. Bien au contraire, nous restons très à cheval sur la sécurité à l’étranger, en recommandant autant que nous le pouvons à nos voyageurs de toujours consulter le site du Gouvernement avant de partir. C’est aussi pour cette raison que nous ne présenterons que les 15 premiers pays où il fait le meilleur » vivre dans le monde. Nº15 Le Bhoutan Le Bhoutan avait disparu du classement en 2018, alors qu’il en occupait la 13ème place en 2017 et 2016. Et ce n’est que justice pour ce petit pays peu connu des voyageurs ! Un voyage au coeur de ses traditions et de ses majestueux paysages se prépare, indéniablement, puisque aucune demande de visa individuel n’est acceptée par le département du tourisme bhoutanais. Il faut donc passer par une agence de voyage agréée. De plus, visiter le Bhoutan coûte cher. Le Bhoutan se mérite donc, mais quel incroyable cadeau à se faire à soi-même ! Le Paro Taktsang, Bhoutan photo Sam Power Nº14 La Finlande Classée 15ème en 2018, après avoir disparu du classement le temps d’une année, la Finlande compte bien retrouver sa 6ème place de 2015. Voyager en Finlande, c’est accepter l’appel de la nature dans son plus simple appareil. La beauté pure, la nature sauvage, les grands espaces, et les extrêmes, voilà ce que promet la Finlande. Adeptes du plein air, votre pays coup de coeur est peut-être celui-ci ! Soyez donc prêts à tomber amoureux au point de vouloir y rester. Paysage de Laponie, Finlande photo Ethan Hu Nº13 L’Australie L’Australie a toujours figuré dans ce classement des pays les plus sûrs du monde. Ce n’est pas une légende ou une nouveauté, l’Australie est facile à visiter » ; accueillant, dépaysant, sécuritaire, immense et surprenant. On pourrait passer des années à arpenter les routes de l’île-continent sans jamais se lasser, ce qui en fait une destination de choix pour les jeunes voyageurs des quatre coins du monde, et on le comprend aisément. Sydney, Australie photo Jamie Davies À lire aussi ???? Organiser son road trip en Australie???? 3 jours à Sydney que faire, que voir ? Nº12 L’Irlande Fidèle au poste également l’Irlande. Le pays de la douceur de vivre. Ses belles lumières au fil des saisons, la gentillesse et l’accueil de son peuple, ses paysages empreints de poésie… L’Irlande mérite une découverte en profondeur, des ruelles cachées du Dublin à la découverte de ses plus petits villages, dans la lenteur et la contemplation, acceptant les aléas de la météo qui sait se faire très capricieuse, parfois. Comté de Donegal, Irlande photo Heather Mount Nº11 La Suisse De nombreux Européens n’ont jamais visité la Suisse et pourtant, elle a tant à offrir. Le calme de ses montagnes, la beauté de ses villages, et la richesse culturelle de ses villes en font une destination à privilégier pour ceux qui ne souhaitent pas faire 12h d’avion pour changer d’air. Trilingue, la Suisse saura dépayser plus d’un voyageur et bien entendu, donnera le vertige, même aux randonneurs les plus expérimentés. Tout comme l’Irlande, la Suisse a toujours figuré dans ce classement ; rien d’étonnant, il est l’un des pays où l’on a la meilleure qualité de vie, selon de nombreux médias, et ce depuis des années. Le Lac d’Oeschinen dans les Alpes bernoises, Suisse photo Pascal Debrunner Nº10 La République tchèque Voici encore un pays qui ne se lasse pas d’apparaître dans le classement des pays les plus sûrs du monde, année après année. La République tchèque est d’une richesse insoupçonnée ; ceux qui ont visité Prague en auront sans doute eu un excellent aperçu. Mais il faut également sortir de la capitale pour découvrir les autres charmes de ce petit état d’Europe centrale, et notamment ses autres villes, très peu visitées mais pourtant d’une richesse patrimoniale à couper le souffle. Česky Krumlov, République tchèque photo Micaela Parente Nº9 Le Japon Le Japon, c’est le dépaysement absolu. C’est plonger dans l’inconnu, découvrir une culture à l’opposé de la nôtre, c’est réaliser que les Japonais ne mangent pas que des sushis, c’est se perdre et se trouver, c’est sortir de sa zone de confort et se laisser aller à la découverte, la vraie. Réputé sécuritaire, le Japon aspire ses visiteurs pour un voyage dans le temps, un voyage des sens, un voyage où l’on peut s’abandonner totalement. Kyoto, Japon photo Sorasak À lire aussi ???? 3 jours à Tokyo que faire, que voir ? Nº8 La Slovénie Nous aimerions beaucoup trouver une bonne raison au fait que la Slovénie soit assez peu connue des voyageurs. Mais nous ne trouvons pas la nature y est absolument sublime et diversifiée, ses villes recèlent des beautés d’architecture assez étonnantes, et les intérêts culturel et culinaire y sont réels. Pour ne rien gâcher, le pays figure dans le classement depuis des années, faisant de lui une destination des plus sécuritaires, à la fois slave et méditerranéenne, à la fois étonnante et charmante. À découvrir absolument. Les chutes de Slap Virje, Slovénie photo Marcin Szmigiel Nº7 Singapour Pour la deuxième année consécutive, Singapour tient place au sein du classement des pays les plus sûrs du monde. Si la cité-état est réputée pour son excellente qualité de vie depuis longtemps pour les expatriés, elle peut désormais se vanter d’être officiellement absolument sécuritaire. Singapour mérite plus qu’une escale, pour la singularité de ce qu’elle a à offrir aux visiteurs une destination aux carrefours des cultures et des traditions, assurément moderne, et au coeur d’une nature époustouflante. Une belle promesse pour un voyage haut en couleurs. Gardens by the Bay, Singapour photo Duy Nguyen À lire aussi ???? 3 jours à Singapour que faire, que voir ? Nº6 Le Canada Le Canada peut difficilement décevoir ses visiteurs. L’immensité de son territoire fait qu’il satisfait tous les types de voyageurs les citadins, les férus de plein air, les amateurs de road trip, les allergiques aux foules, les curieux d’histoire. On y parle anglais et français, ainsi que de nombreux dialectes autochtones, on y trouve des amplitudes thermiques assez déboussolantes, des animaux sauvages aussi adorables que terrifiants, des paysages et randonnées inoubliables, et des villes vibrantes et résolument tournées vers des modes de vie écologiques et durables. Moraine Lake, Canada photo David Wirzba À lire aussi ???? Visiter le Canada en hiver, mode d’emploi???? 3 jours à Montréal en été que faire, que voir ????? 3 jours à Vancouver que faire, que voir ????? 3 jours à Toronto que faire, que voir ? Nº5 Le Danemark Le Danemark, c’est le voyage sécuritaire, écologique, gourmand, zen et positif c’est le berceau du hygge » par excellence. Pays idéal pour les amateurs de vélo, il l’est aussi pour les amoureux de nature, les urbains branchés, les épicuriens auto-proclamés, ceux qui souhaitent découvrir la douceur de vivre et la vie en couleur. Le seul risque à aller au Danemark, c’est de ne juste pas rentrer. Aarhus, Danemark photo Steffen Muldbjerg Nº4 L’Autriche Cette année encore, nous ne pouvons que recopier ce que l’on disait de l’Autriche en 2017, car rien ne saurait être plus juste Si le pays se distingue en Europe grâce à son inégalable patrimoine architectural et musical, il n’y a pas que les fantômes de Mozart et Sissi qui errent à Vienne. L’Autriche, c’est également une nature à couper le souffle, faisant le paradis inconditionnel des amateurs de plein air. Pour simple aperçu, la fameuse route alpine du Grossglockner dans le Parc national des Hohe Tauern, les paysages de carte postale du Tyrol, l’ascension du Pinzgauer Spaziergang dans les Dolomites, ou encore le lac de Hallstatt, il n’y a que l’embarras du choix dans ce surprenant pays ! » Hallstatt, Autriche photo Joss Woodhead Nº3 Le Portugal Haaaa, le Portugal ! LA destination tendance des dernières années, où l’on sait vivre pleinement, à cheval entre la modernité de Lisbonne et les traditions des villages oubliés, dans ses parcs, sur ses plages ou au bord de ses falaises, dans ses vallées, ses oliveraies ou au coeur de ses vignobles… Le Portugal a énormément à offrir culinairement, culturellement, historiquement, naturellement, le tout avec le sourire et beaucoup d’amour pour un pays d’une richesse et d’une générosité insoupçonnés. Porto, Portugal photo Nick Karvounis Nº2 La Nouvelle-Zélande Ce n’est un secret pour personne, la Nouvelle-Zélande est un pays très sécuritaire. On y voyage avec une légèreté déconcertante, tant on s’y sent bien et tant la découverte est quotidienne et déconcertante. Il est l’un des pays préférés des voyageurs autour du monde, sans aucun doute pour son tourisme d’aventure, sa culture ancestrale, ses plages de rêve, ses montagnes étourdissantes, ses bons vins et la gentillesse de ses habitants. Roys Peak, Nouvelle-Zélande photo Aaron Sebastian À lire aussi ???? Idée de 3 semaines en Nouvelle-Zélande Nº1 L’Islande L’indétrônable Islande est toujours à la première place de ce classement, inlassablement, depuis 2015. L’an dernier, nous expliquions que peu peuplé, avec le respect de la nature comme priorité numéro 1, ce pays insulaire isolé, à presque mi-chemin entre l’Europe et l’Amérique et à l’entrée de l’Arctique, suscite le rêve et l’aventure pour de nombreux voyageurs. Volcans, geysers, glaciers, sources d’eau chaude, champs de lave, chutes d’eau, aurores boréales, tempêtes de neige, impossible de vivre en Islande un séjour ennuyeux » ; c’est sans doute ce qui justifie l’engouement touristique pour le pays. La chute de Seljalandsfoss, Islande photo Robert Lukeman Crédit photo à la une Don Ross III
Officier de gendarmerie spécialisé dans le domaine des préventions, Joseph Derbal est l’un des trois militaires affectés pour tout le département au sujet de la prévention à destination des plus jeunes. Mercredi 24 août, il était présent devant une dizaine d’enfants de 8 à 10 ans à la Maison de l’Enfance de Carhaix. Auparavant nous faisions de la prévention collective, maintenant nous intervenons quand un problème est connu. Nos missions sont d’aider, de prévenir et de protéger et notre rôle est de trouver des solutions alternatives à la prison », explique le gendarme. Le monde des Bisounours n’existe pas »À travers de vidéos éducatives et de nombreux témoignages, ce gendarme de métier a su capter le jeune auditoire. Il a en outre attiré l’attention des enfants face aux dangers des réseaux sociaux, en particulier au sujet des prédateurs sévissant sur la toile. Le monde des Bisounours n’existe pas », une heure, les enfants se sont exprimés librement sur de nombreux sujets annexes comme l’égalité entre filles et garçons attention aux stéréotypes, que ce soit sur les métiers, les loisirs ou les études. Il y a encore des efforts à faire » question du harcèlementUne attention toute particulière a été apportée au cyber-harcèlement. Depuis deux ans, après la covid, 80 à 90 % des problèmes que nous avons à régler sont dus aux réseaux sociaux, indique Joseph Derbal. Le harcèlement, qu’il soit physique, verbal ou moral, est un acte qui fait mal et est répété plus de deux fois. Dans tous les cas, il faut demander protection auprès d’un adulte, que ce soit vos parents, un professeur ou un éducateur, renseigne-t-il aux enfants. Et si vous êtes témoins de harcèlement autour de vous, là aussi il faut en parler aux adultes car si je ne fais rien pour aider je suis complice devant la loi pour non assistance à personne en danger. Qu’on soit victime ou témoin, il faut en parler » insiste-t-il. Il n’y a pas d’âge pour la responsabilité »Le gendarme a clairement expliqué ce qu’encourent les fautifs Légalement parlant, vis-à -vis de la loi, il n’y a pas d’âge pour la responsabilité. Au-dessous de 13 ans, l’enfant n’est pas passible de prison, mais il faut savoir qu’on est punissable à partir de 10 ans. Au-delà de 13 ans, c’est la prison pour mineurs ».En fin de présentation, chaque enfant a reçu un Diplôme Gendy », personnage officiel de la Gendarmerie nationale et spécialement conçu pour informer et protéger les enfants de 8 à 10 ans en matière de sécurité routière, d’environnement, de toxicomanie, de violences scolaires et physiques.
Yannick Noah a beau dire Aux arbres citoyens », il a oublié de préciser qu’il ne fallait pas se jeter sur n’importe quel arbre venu. Eh oui parce que certains sont autant toxiques qu’un ex alors attention mes petites pommes. Une bonne raison de raser tous les arbres de la planète. Heureusement, grâce à mon doctorat en végétation subéquatoriale, je vais pouvoir vous mettre en garde contre les ruses de la nature pour nous attirer dans ses filets. Voilà donc les arbres dont il faut se méfier comme des fausses promos pendant les soldes. Ils ne nous auront pas. 1. Le Mancenillier Aussi appelé arbre de la mort », cet arbre très présent en Martinique est toxique de partout, aussi bien son écorce que ses fruits ou ses feuilles. C’est bien simple, les autorités recommandent de ne pas s’abriter dessous, peu importe qu’il pleuve ou que cela soit la seule zone d’ombre dispo, pour ne rien risquer. Vous voyez le topo. Un seul contact peut provoquer de graves brûlures, voire être mortel. Toutes les toxines de l’arbre n’ont même pas encore été identifiées. Bref, pire arbre de la planète. 2. L'azalée ou rhododendron Le mec a beau avoir un nom de bg, ce n’est qu’une façade. D’ailleurs, il a deux noms, ça aussi c’est louche. Et on a raison de se méfier, car le miel de fleurs de certains rhododendrons provoquerait des troubles intestinaux et mentaux de type hallucinations et diarrhées. D’autres types de rhododendrons peuvent eux provoquer des vomissements, des troubles digestifs divers, des troubles nerveux, respiratoires et cardiovasculaires. Des personnes sympathiques en somme. 3. L'If Déjà , il essaie de nous faire croire qu’il parle anglais. Stop en fait, pas à nous. Ensuite, il faut savoir que l’if est très toxique car tout son être contient des alcaloïdes, des toxines mortelles. La seule partie non toxique de l’if est la pulpe rouge du fruit autour de la graine, mais cette dernière étant, elle aussi, un véritable poison, moi, je ne tenterai pas de petite dégustation. 4. Le robinier faux acacia Encore un qui se fait passer pour ce qu’il n’est pas… Par contre, il est toxique, ça, c’est sûr vu qu’il contient de la phasine, de la robine et de la robinine, des lectines toxiques pour l’homme. Si les fleurs sont comestibles notamment en miel ou en sirop, tout le reste de l’arbre est toxique en ingestion. Donc n’allez pas faire un croc dans le tronc s’il vous plaît. 5. Le houx Cet arbre a beau respirer l’esprit de Noël, il vit plutôt pour nous faire souffrir. Déjà , il faut voir comment ses feuilles piquent, on n’a pas idée d’attaquer physiquement les gens avec une telle violence enfin. Et puis son feuillage et ses fruits contiennent des alcaloïdes qui, consommés en trop grande quantité, peuvent provoquer des vomissements, des troubles digestifs, des troubles neurologiques, voire la mort. Houx secours mdr. 6. La cytise À ne pas confondre avec la cystite qui est aussi une saloperie de la nature, mais d’un autre genre. La cytise, même si elle a l’air toute mimi avec ses belles fleurs jaunes, cache des toxines très puissantes. Ses fruits peuvent notamment être mortels en cas d’ingestion. Donc pas de blague. 7. La laurier-rose Ah c’est un bel arbre bien instagrammable hein. Dommage qu’on ne puisse plus le poster en story une fois mort parce que oui, désolée de casser l’ambiance, mais cet arbre nous veut du mal. Il contient en effet des substances toxiques comme l’oléandrine et la moindre absorption de feuille, de fleurs ou de fruits provoque d’abord des troubles digestifs, puis des dysfonctionnements cardiaques jusqu’à la mort. Et la mort bah c’est pas si chouettos. 8. Le ricin commun Autant l’huile contenue dans les graines est incroyable pour les cheveux et les ongles, autant le reste de l’arbre n’aura que des effets négatifs sur votre corps. Les graines et les coques de cet arbrisseau contiennent de la ricine, un redoutable poison l’ingestion de trois graines pour enfants et huit pour les adultes suffit à être mortelle. Et ça serait bête de crever alors que vous avez une aussi belle chevelure… 9. Le gympie gympie Le Dendrocnide moroides, ou gympie gympie, a beau avoir un nom comique, ce petit arbuste ne plaisante pas du tout. C’est même la plante urticante la plus virulente de son espèce. Le moindre contact avec une feuille ou une tige peut provoquer des brûlures qui durent des mois, voire des années. Le gympie gympie est d’ailleurs connu pour avoir poussé un homme au suicide. Une belle cochonnerie. 10. L'arbre bombardier L’Hura crepitans, aussi appelé pet du diable », est utilisé dans des communautés isolées d’Amérique pour fabriquer des flèches empoisonnées. Sa sève réussi à elle seule à paralyser momentanément des animaux et la moindre ingestion de ses graines peut provoquer tachycardie, troubles de la vision, confusion mentale, convulsions et décès. Cet arbre est d’autant plus badant que pour disséminer ses graines, il va les faire exploser au contact de l’eau, les propulsant ainsi jusqu’à une vingtaine de mètres à une vitesse pouvant atteindre les 50 km/h. Et matez son écorce ! Diabolique, d’où son surnom.
Amériques Alors qu’il est retenu en otage en 2000, un aristocrate britannique s’est inventé un jardin-monde pour survivre. Aujourd’hui, il le cultive. Tom Hart Dyke pose dans son jardin du château de Lullingstone, près d'Eynsford, dans le Kent, au sud-est de Londres. GUILHEM ALANDRY POUR LE MONDE » Le jardin possède près de 10 000 variétés de plantes tropicales. Guilhem Alandry Une Epithelantha micromeris », originaire du Mexique. La jardin abrite des plantes provenant du monde entier et rapportées au gré des voyages du jardinier. Guilhem Alandry pour Le Monde » Un Dioscorea elephantipes », originaire d'Afrique du Sud. Juste avant sa captivité, Tom, jardinier diplômé, s’apprêtait à terminer en Amérique centrale un grand tour initiatique lorsqu’il avait rencontré son compagnon d'infortune, Paul, dans l’une des pensions recommandées par leur guide. Guilhem Alandry pour Le Monde » Un Aeonium arboreum “velour” ». Depuis son ouverture au public en 2005, ce Jardin-Monde » World Garden, qu’il cultive avec quelques bénévoles, continue de s’enrichir. Une serre aux cactus a été inaugurée en 2008, puis une autre consacrée aux plantes tropicales fragiles. L’ensemble – près de 10 000 variétés au total – est devenu assez important pour que le prince Charles et son épouse, Camilla, lui consacrent une longue visite en 2014. Guilhem Alandry pour Le Monde » Dans la serre des plantes tropicales. Pendant sa captivité, Tom se précipitait dès que possible vers son cahier de notes, que ses geôliers lui avaient laissé, pour concevoir ce qui deviendrait ce jardin. Guilhem Alandry pour Le Monde » La jardinier a pris soin de reconstituer les flores des massifs montagneux du monde entier. Il les a installés dans une mappemonde végétale, selon l'origine géographique des plantes. L'écriteau sert au public, auquel le jardin est ouvert. Guilhem Alandry pour Le Monde » Tom Hart Dyke se définit comme chasseur de plantes ». Son voyage en 2000 avait été financé en partie par une bourse de la Société royale d'horticulture du Royaume-Uni. Guilhem Alandry pour Le Monde » Dans le jardin, un faux baobab de Madagascar, en fil de fer. Guilhem Alandry par Le Monde » Une exposition d'épouvantails, dans le jardin. Guilhem Alandry pour Le Monde » Pour faire face aux frais d’entretien, son grand-père avait dû vendre des parcelles du domaine, ainsi que des parties habitables du château et de son corps de garde. Guy, le père de Tom, ancien ingénieur en sylviculture du Commonwealth, avait ouvert au public en 1976 les pièces historiques du château, entretenues par son épouse, Sarah. Guilhem Alandry pour Le Monde » Les rêves les plus fous peuvent prendre forme dans les circonstances les plus dramatiques. Et finir par se réaliser, avec un peu de chance. Si les guérilleros des FARC Forces armées révolutionnaires de Colombie avaient su qui était vraiment Thomas Hart Dyke, l’un des deux jeunes otages britanniques qu’ils avaient capturés dans la jungle du bouchon de Darien », à la limite entre le Panama et la Colombie, ils auraient sans doute agi plus cruellement à son égard. En cette année 2000, Internet n’était pas arrivé jusqu’à leur zone de forêt et de marécages, où des groupes de paramilitaires colombiens s’étaient lancés à leur poursuite. Aucun des combattants ne s’est douté qu’ils détenaient un rejeton de l’aristocratie anglaise, élevé au château de Lullingstone, dans le comté du Kent sud-est de Londres, propriété de la même famille depuis… dix-neuf générations. Que l’un de ses ancêtres, sir William, avait été député aux Communes pendant quarante-cinq ans et secrétaire chargé du Trésor dans le cabinet de Benjamin Disraeli 1804-1881. Ou que la soie de la robe de la reine Elizabeth II, à son couronnement, venait tout droit des mûriers de Lullingstone. Pour la plupart illettrés et sans autre culture que celle des armes, les guérilleros, fils et filles de pauvres paysans, étaient convaincus que les deux gaillards blonds étaient des espions de la CIA ou des trafiquants de cocaïne. Des accusations répétées aux deux Britanniques au long de leurs neuf mois de captivité. Chasseur de plantes » Mais que venaient donc faire Tom Hart Dyke, 24 ans, et son compagnon d’infortune, Paul Winder, 29 ans, sac au dos et Lonely Planet en main, dans cette zone de tous les dangers ? L’attrait d’une dernière et grande aventure avant de se ranger, l’illusion aussi que les belligérants ne pourraient s’en prendre à de jeunes routards. Nous étions inconscients », reconnaît Tom. Jardinier diplômé, il s’apprêtait à terminer en Amérique centrale un grand tour initiatique lorsqu’il avait rencontré Paul dans l’une des pensions recommandées par leur guide. Le périple de Tom, chasseur de plantes », comme il se définit toujours, avait été financé , notamment, par une bourse de la Société royale d’horticulture du Royaume-Uni. A charge pour lui de dénicher en Asie du Sud-Est des espèces rares et d’en rapporter des semences. A l’instar des naturalistes d’autrefois, dont sa grand-mère Mary lui avait décrit les péripéties – du pionnier John Tradescant l’Ancien à Joseph Banks, qui participa au premier voyage autour du monde de James Cook 1768-1771 –, il avait été grisé par sa découverte du Saint-Graal des orchidées – Paphiopedilum sanderianum », dit-il. Il l’avait débusquée à Bornéo, en haut d’une des falaises de la réserve malaise de Sarawak. D’autres trouvailles avaient suivi en Indonésie et en Australie, d’où il avait expédié les graines promises. Il avait alors estimé que son grand tour se devait d’inclure, pour finir, les merveilles botaniques de la Californie, du Mexique et des pays d’Amérique centrale, quitte à renoncer au Pérou étant donné l’état de ses finances. Le reste de ses fonds devait lui permettre de se payer sept semaines de cours d’espagnol au Guatemala. Un paradis d’espèces endémiques Paul Winder avait, lui aussi, la bougeotte, mais pour d’autres raisons. Il n’aimait pas son travail dans une banque d’affaires de la City de Londres. Il s’était déjà offert de longues escapades dans les Alpes, puis en Afrique, lors d’une traversée solitaire du continent, à partir du Sahara. Il estimait y avoir rencontré encore trop de routards. C’est lui qui avait repéré dans ses lectures le bouchon de Darien », seule zone que la route panaméricaine, de l’Alaska à la Terre de Feu, ne franchit pas – ni aucune autre voie d’ailleurs. Un bout d’isthme dans lequel des conquistadors aussi intrépides que l’Espagnol Vasco Nuñez de Balboa ou le Britannique Francis Drake s’étaient à peine risqués. A ses yeux, l’un des derniers bastions quasi vierges de la planète, peuplé seulement de quelques Amérindiens. Tom, d’abord réticent, s’était peu à peu laissé gagner par l’enthousiasme de son compatriote. Un constat emporta sa décision s’il avait pu admirer jusque-là beaucoup d’espèces rares, il n’avait pas encore découvert de plantes non répertoriées. Or, la forêt tropicale du Darien était réputée pour être un paradis d’espèces endémiques, parmi lesquelles il avait des chances de débusquer son titre de gloire. Tous deux savaient pertinemment – c’était écrit dans leur guide – que trois missionnaires américains auprès des Indiens Kuna avaient été enlevés quelques années plus tôt, dans le hameau de Pucuro, du côté panaméen de la frontière. La guérilla colombienne avait réclamé une rançon de 5 millions de dollars, jamais payée. Les missionnaires étaient portés disparus. Mais les routards avaient aussi appris que deux Américains avaient, quelques mois avant eux, réussi la traversée du Darien, accompagnés par deux guides locaux. A Pucuro, ils avaient recruté les mêmes accompagnateurs que ces Américains, avec lesquels ils avaient échangé des courriels à Panama City. La capture de Tom et Paul par les FARC eut lieu à mi-parcours, le 16 mars 2000. La guérilla a laissé fuir les guides. Un jardin Testament Vous serez fusillés dans quelques heures. » Pour épargner Paul, nul en espagnol », Tom ne traduisait pas toujours cette sentence et ses variantes, répétées à intervalles réguliers par les FARC, de bivouac en bivouac dans la jungle, à l’approche réelle ou supposée des paramilitaires. Ces menaces, quand elles devenaient trop insistantes, suscitaient chez les deux otages des réactions opposées, hormis la prière. Paul, les jambes un moment dévorées par d’horribles vers, chercha des moyens de se suicider. Tom, lui, se précipitait dès que possible vers son cahier de notes, que ses geôliers lui avaient laissé. Il avait entrepris d’y concevoir un jardin du monde ». Son testament. Ou le projet de sa vie s’il s’en sortait vivant. Sur une parcelle des 48 hectares de Lullingstone, il dessinerait un immense planisphère et chaque continent serait planté d’espèces autochtones, voire rares, trouvées lors de ses pérégrinations. Il a passé des heures à imaginer, durant leurs marches forcées ou au repos, quel arbre, quelle plante ou quelles fleurs il choisirait pour chaque pays, jonglant avec les bons ou mauvais voisinages pressentis entre espèces. La botanique contre les menaces de mort. Une idée fixe pour oublier les conditions de vie inhumaines imposées par des guérilleros prompts à mitrailler des singes ou des oiseaux qui feraient leur repas. Devant un chef » borgne apparu un jour afin de les passer de nouveau à la question, ils avaient dû rédiger deux lettres adressées à leurs parents pour leur réclamer une rançon de 5 millions de dollars. Le raisonnement du chef était que si leurs familles étaient aussi pauvres que ce que le duo soutenait, la banque où travaillait Paul paierait… Plus le temps passait, plus les guérilleros devenaient nerveux et brutaux. Quand l’un de nous deux cédait à l’abattement, l’autre était assez optimiste pour lui remonter le moral une chance », confie Tom. L’enfant de Lullingstone n’eut aucun mal à persuader les guérilleros qu’il était réellement jardinier – un botaniste fou », corrige affectueusement Paul. La jungle se révéla une mine d’or, tant pour les plantes rares que pour les orchidées de toutes sortes. Il en déclinait obstinément les noms latins aux guérilleros. Les saturant volontairement telle la perruche de la jungle environnante, il leur racontait sa grand-mère Mary, celle qui lui avait confié, à 3 ans, un carré de terre avec des semences de carottes, ou leur décrivait la première orchidée qu’il avait trouvée en rentrant de l’école. Assez indifférents, les FARC attendaient de plus en plus impatiemment la rançon. A la faveur d’un changement de gardes, de nouveaux guérilleros se montrèrent si violents que Tom et Paul en vinrent à rédiger leurs dernières volontés. Peu après, alors que leur bivouac s’était approché du côté panaméen de la frontière, les FARC ordonnèrent au duo de déguerpir séance tenante, après leur avoir rendu leurs passeports, leur boussole et même leurs chèques de voyage. Sans rien comprendre à cette soudaine libération – ils ne se l’expliquent toujours pas –, ils sortirent, non sans s’être perdus, de la jungle du Darien, neuf mois après leur enlèvement. Nuits de cauchemar Récupérés par la Croix-Rouge, puis par l’ambassade britannique de Colombie, ils sont rentrés chez eux la veille de Noël. Leurs parents n’avaient jamais reçu leur lettre de rançon. Tour à tour, le père de Paul et la mère de Tom s’étaient rendus au Panama et en Colombie pour tenter de retrouver leur trace et d’entrer en relation avec les FARC. En vain. Chacun des ex-otages mit près de deux ans à sortir d’innombrables nuits de cauchemar. L’écriture de leur livre, The Cloud Garden – littéralement Le Jardin des nuages », en référence aux cloud forests, les forêts d’altitude dans la jungle – Bantam Press, 2003, non traduit, les y a aidés. Tom entreprit ensuite la construction de son jardin-planisphère sur près d’un hectare de pelouse. Depuis son ouverture au public en 2005, ce jardin du monde » World Garden, qu’il cultive avec quelques bénévoles, continue de s’enrichir. Une serre aux cactus a été inaugurée en 2008, puis une autre consacrée aux plantes tropicales fragiles. L’ensemble – près de 10 000 variétés au total – est devenu assez important pour que le prince Charles et son épouse, Camilla, lui consacrent une longue visite en 2014. Le prix d’entrée 7 livres, soit près de 10 euros et les festivités payantes ont permis de sauver en partie le domaine, dont Thomas Hart Dyke, aujourd’hui âgé de 39 ans, héritera en tant que fils aîné. Pour faire face aux frais d’entretien, son grand-père avait dû vendre des parcelles du domaine, ainsi que des parties habitables du château et de son corps de garde. Guy, le père de Tom, ancien ingénieur en sylviculture du Commonwealth, avait ouvert au public en 1976 les pièces historiques du château, entretenues par son épouse, Sarah. Parmi les joyaux figure la chambre de la reine Anne 1665-1714, la dernière des Stuart ayant été une habituée des lieux. Ou l’église Saint-Botolphe XIVe siècle, où sont enterrés les ancêtres des Hart Dyke. Le jardin-planisphère attire, lui, les innombrables férus de jardinage du Royaume-Uni et d’ailleurs. Après sa libération, Paul Winder n’a pas voulu retourner à la City – il travaille dans un magasin spécialisé dans le matériel d’alpinisme – ni remettre les pieds dans un quelconque pays d’Amérique latine. Au contraire de Tom, qui y est allé cinq fois en quête botanique. Il est aussi retourné pour la première fois en Colombie en 2014, à l’invitation du gouvernement de Bogota. Il y a raconté son histoire comme il le fait souvent au Royaume-Uni, lors de conférences payantes. Des revenus qui devraient contribuer à la construction d’une serre réservée à la culture des orchidées – une passion sans fin », dit-il, en espérant que les plus capricieuses et extraordinaires d’entre elles veuillent bien y fleurir. Un rêve un peu moins fou que les précédents, mais certainement pas le dernier. Martine JacotLullingstone -Royaume-Uni-, envoyée spéciale Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
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le jardin le plus dangereux du monde