Edwardaux mains d'argent Bande-annonce (2) VO . Ma scène préférée N°90 - Mia Wasikowska . Top 5 N°107 - Les romances avec un monstre . Top 5 N°194 - Les griffes de métal . Top 5 N°291 - Top 5 N°291 - Les meilleurs films de 1991 selon les spectateurs . Philippe Manoeuvre Interview : American Trip, L'Amour en quatrième vitesse, Amour frénétique, Les
Edwardaux mains d'argent marque le début d'une longue collaboration entre Tim Burton et Johnny Depp, qui tient le rôle principal dans un grand nombre de ses films. Par ailleurs, c'est également le dernier film de Vincent Price (qui joue le rôle de l'inventeur), acteur mythique du cinéma fantastique, dont Tim Burton est un fervent admirateur, et à qui il a d'ailleurs rendu un
Fortdu succès de Batman (le plus gros dans l'histoire de la Warner), Tim Burton gagne définitivement la confiance des compagnies de production et peut se tourner vers des projets qui lui tiennent vraiment à coeur. C'est pourquoi il s'attaque avec la romancière Caroline Thomson à l'écriture d'un scénario racontant l'histoire d'un personnage
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Edwardest le personnage principal de Edward aux Mains d'Argent de Tim Burton. Il est interprété par Johnny Depp. Edward a la particularité d'avoir des ciseaux à la place des mains, étant donné que l'Inventeur n'a pas eu le temps de le terminer. Il a la peau pâle, le visage couvert de cicatrices, et les cheveux noirs ébouriffés. Il porte une tenue noire. (à développer)
Edwardaux mains d’argent (Edward scissorhands), USA, 1991, 1h40 de Tim Burton, avec Johnny Deep (Edward), Dianne Wiest (Peggy), Winona Ryder (Kim), Vincent Price (l’inventeur) Présentation : - Résumé: Une petite fille demande à sa grand-mère, Pegg, « pourquoi est-ce qu’il neige ? ». Celle-ci lui raconte alors l’histoire d’Edward. Dans une cité résidentielle aux
xKHd. Edward aux mains d’argent, réalisé par Tim Burton en 1990 et mettant en vedette les très jeunes Johnny Depp et Winona Ryder, est, pour beaucoup, le chef-d’œuvre de ce réalisateur. Il possède excellente une bande originale, composée par Danny Elfman, qui depuis fait office de référence en la du film Edward aux mains d’argent attire l’attention dès le générique avec des objets qui rappellent d’autres œuvres de l’auteur, comme Nightmare before Christmas 1993. Les premières images du film montrent un vieux manoir poussiéreux mais aussi magique, nous avertissant par la même que nous pénétrons dans “l’Univers de Tim Burton“.Sous forme de conte, de fable presque, mêlant fantaisie et vie quotidienne, Burton présente un film rempli d’émotions et de sentiments. Il donne vie à une histoire dans laquelle deux messages se détachent l’importance d’accepter les différences et de laisser de côté les préjugés .Edward aux mains d’argent est une histoire très personnelle, hautement autobiographique, bien qu’elle soit présentée de manière fantaisiste. Burton lui-même a souvent parlé des problèmes rencontrés dans son enfance ; en effet, il s’est toujours défini comme solitaire, et même “bizarre”. Même son ex-épouse, Helena Bonham Carter, a reconnu en lui certaines caractéristiques du syndrome d’ aux mains d’argent, une histoire pleine de contrastesBurton présente le film comme l’histoire qu’une vieille femme raconte à sa petite–fille et, à partir de là, nous entrons dans le fantasque. Tout commence dans un quartier coloré rempli de jardins et de maisons individuelles. Nous n’y trouvons aucune voiture, ni porte, ni vêtement qui soit de couleur noire. Parmi toutes ces couleurs, se dresse, au fond et au sommet d’une colline, un vieux manoir, pratiquement en ruines ; gris et noir, dont l’aspect rappelle beaucoup le cinéma expressionniste premier personnage que nous connaissons est Peg, mère de deux enfants, qui travaille pour l’entreprise de cosmétiques Avon. Dans une tentative désespérée pour vendre ses produits, Peg décide d’entrer dans le mystérieux manoir. À son arrivée, elle rencontre des arbres étranges qui ont été sculptés en imitant des formes animales et manoir, qui semblait si sombre de loin, dispose d’un magnifique et coloré jardin totalement inattendu, lequel fait office de préalable à l’extraordinaire monde intérieur de celui qui y réside. La musique joue un rôle fondamental lorsque Peg entre dans le s’attendait assurément à rencontrer quelque chose d’effrayant, de bizarre ; cependant, elle se retrouve dans un environnement magique et merveilleux, avec des sculptures pleines de sensibilité. Le manoir est complètement négligé à l’intérieur, rempli de poussière et de toiles d’araignées ; certaines coupures de presse collées sur un mur sont mises en évidence, coupures sur lesquelles nous pouvons lire des titres comme “enfant né sans yeux lit avec ses mains”. Peu de temps après, nous rencontrons Edward, l’étrange résidant, qui possède une particularité inattendue dans la mesure où, à la place des mains, il possède des contact avec le monde et les relations socialesDès le début, Edward présente une innocence extrême. Il le fait lorsqu’il se réfère à son père en disant qu’il “ne s’est pas réveillé”, faisant ainsi clairement allusion à son ignorance du monde, de la vie et de la mort. Peg, fascinée par les cicatrices causées par les ciseaux, décide d’essayer sur lui ses produits cosmétiques et l’invite chez partir de ce moment, nous observerons toutes les difficultés d’Edward pour vivre en société, pour distinguer le bien du mal, le profond rejet dont il fait l’objet initialement de la part des voisins, et leur fascination lorsqu’ils découvrent qu’ils peuvent tirer profit de ses compétences en tant que jardinier et coiffeur. Les voisines représentent le côté malsain de l’être humain, mettant en scène une pensée collective, et sont le fidèle reflet de la façon dont cette idée change en fonction des circonstances, de sorte que leur opinion sur Edward n’est en rien personnelle, mais nous montre combien il est difficile d’être accepté lorsque nous sommes différents des autres. Edward éveille de la curiosité chez certains, de la peur chez d’autres. Nous pouvons observer comment les voisines se dédient à commenter tout ce qui se passe dans le quartier, à répandre des rumeurs, à critiquer Peg et son étrange s’intègre très bien dans la famille de Peg, établissant une très bonne relation avec son jeune fils et son mari. Cependant, lorsqu’il rencontre Kim, leur fille adolescente, certains sentiments se réveillent chez Edward, mais il n’est pas en mesure de les exprimer. La relation avec Kim est difficile au début à cause des préjugés de cette dernière, mais avec le temps, elle verra en Edward la personne qu’il est réellement et le grand cœur qu’il possède.“-Kim enlace-moi. -Edward Je ne peux pas”Edward commence à susciter l’admiration chez les voisins pour ses qualités de coiffeur et de jardinier, sa popularité augmente, à tel point qu’il lui est proposé de créer un salon de beauté. Edward et Peg assistent en tant qu’invités à une émission de télévision où ils expliquent le cas d’Edward, et le public fait des commentaires et posent des questions. Il est curieux de constater à ce moment que lorsque le différent devient une attraction, il engendre de la fascination. Edward n’est pas différent, il est spécial.“-Public Mais si vous aviez des mains, vous seriez comme n’importe quelle autre personne. -Edward Oui, je suppose. -Présentateur Il aimerait sûrement. -Public Alors personne ne penserait que vous êtes spécial, vous ne passeriez pas à la télévision ni ne seriez populaire. -Peg Quoi qu’il arrive, Edward sera toujours spécial”Ce qui est “différent” effraieLes conflits réapparaissent lorsque Edward accepte d’aider Kim et son petit ami à commettre un acte délictueux à partir de cet instant nous revenons la négation de ce qui est différent. La société commence à le percevoir comme un monstre, comme quelqu’un qui doit être éliminé car dangereux. Les voisines qui admiraient tant son talent ont désormais peur, inventent des histoires et veulent le voir Burton procède à un petit clin d’œil qu’il convient de souligner. Il s’agit d’une scène où Edward est poursuivi par le voisinage, il est seul, tout le monde veut le voir mort … Mais un chien s’assoit à côté de lui, Edward lui coupe alors sa frange afin que l’animal puisse mieux voir et ce dernier lui montre sa reconnaissance. Ce petit instant est vraiment magique. Burton nous montre ici comment les préjugés sont quelque chose d’inconnu des animaux, lesquels peuvent parfois se montrer plus compréhensifs que de nombreuses présente un personnage dépourvu de méchanceté, avec des problèmes sociaux eu égard au fait d’avoir vécu trop longtemps isolé à cause de sa condition particulière. Rares sont ceux qui voient en Edward un homme bon et innocent. Le manoir est un reflet de cette personnalité, avec de grandes, imposantes et sombres grilles qui servent de bouclier afin de protéger ce jardin magique plein de a beaucoup entendu parler de Burton et de son éventuel syndrome d’Asperger, et il est difficile de savoir avec certitude quelle a été l’enfance et la vie du réalisateur. Nous pouvons toutefois apprécier certaines caractéristiques de ce syndrome dans le personnage d’Edward, telles que sa maladresse avec ses mains, ses problèmes d’adaptation et son profond monde intérieur. Indubitablement, Edward aux mains d’argent nous offre une merveilleuse leçon d’acceptation, nous enseigne à ne pas avoir peur des autres sensibilités et à regarder davantage au fond des personnes.“Parfois, je danse encore sous la neige.” -Kim dans Edward aux mains d’argent–
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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 1939 Tim Burton est un réalisateur qui a connu des débuts difficiles censuré par Walt Disney, il finit par atterrir chez la Warner où il réalisera son premier Batman. Mais si ce film est un succès, les dirigeants ne laissent pas encore le champ libre à Burton, dont le style bouscule les recettes établies. Las d’attendre une réponse positive, il s’engage auprès de la Twin century fox pour tourner un projet qui lui tient particulièrement à cœur Edward scissorhands. Succès critique et public, Edward aux mains d’argent est encore considéré à ce jour comme une référence culte et continue de fasciner les amateurs de contes modernes empreints d’une sensibilité différente des productions habituelles. Un succès qui permettra à Burton d’obtenir une liberté artistique totale sur le second Batman et qui achève de présenter Burton comme un réalisateur d’exception. L’histoire Dans un château non loin d’une banlieue type, un inventeur met au point un homme, mais il meurt avant d’avoir achevé ses mains. La créature finit par être découverte, possédant des ciseaux à la place des mains. Découvert lors d’une ressortie ciné quand j’avais 10 ans, Edward aux mains d’argent est tout simplement une parfaite transposition du conte dans le monde réel, et c’est bien là tout l’intérêt de la démarche. Par un usage récurrent du cliché maisons identiques, vie rythmée par le départ des maris au travail et leur retour, papotages et ragots téléphoniques…, Burton installe une vie quotidienne parfaitement réaliste, et dresse un contexte propice à généraliser sa démarche d’insertion du fantastique au milieu de ce monde connu et banalisé. S’affirmant comme une variation plus naïve » de Frankenstein notre héros est ingénu, possédant les bases d’une éducation qu’il n’a jamais pu mettre en pratique, Edward est une sorte d’archétype du freak gothique, possédant un talent fou copieusement étalé dans la découverte du jardin, du château mais dont l’existence solidaire ne l’a en rien préparé à la découverte du monde extérieur. Aussi, l’intégration du public dans la famille d’accueil, découverte par les yeux d’Edward, part sur des bases qui ravissent le public, chacun y mettant du sien pour aider le freak à s’adapter au monde extérieur et à exploiter son talent », clef qui assure sa discrimination, aussi bien positive que négative. Ce n’est pas pour rien qu’il se révèle particulièrement adroit pour les coupes qu’il effectue, mais qu’en contrepartie il dégrade régulièrement les objets alentours et qu’il se blesse souvent. Mais c’est finalement sur le plan moral que le film préfère s’aventurer, en piégeant Edward dans une situation inextricable et assez réaliste en somme, la naïveté d’Edward l’amenant à être manipulé par l’être qu’il affectionne le plus. Sans s’attarder sur les détails qui font régulièrement progresser l’intrigue et qui remettent en question des valeurs assimilées par la conscience commune, mais que peu d’individus respectent le test de la valise de billets, la conclusion du film est claire et sans ambigüité l’autarcie du freak est la seule protection efficace qu’il peut appliquer pour se protéger du monde extérieur quand celui-ci se retourne contre lui. Avec un climax final de belle ampleur enfin Edward utilise les ciseaux de la manière qu’on attendait et l’épilogue doux-amer empli de regrets mais laissant le fantastique à portée de main Edward continue ses œuvres, mais à l’écart du monde extérieur qu’il a totalement décidé d’éviter, Burton fait basculer son conte en drame fantastique particulièrement touchant, s’attardant régulièrement sur les sentiments de ses deux protagonistes principaux Edward et Kim, particulièrement servis par les interprétations de Johnny Depp et de Winoma Ryder, mémorables en couple finalement ensemble pendant un laps de temps très court. Avec des personnages de banlieues qui évitent le manichéisme à part l’intégriste catho et Jim, aucun ne paraît excessif, le film gagne en crédibilité, osant s’aventurer sur des terrains glissants la sexualité de Josh, qui a de quoi surprendre dans un film pour enfants et traitant chaque sujet avec une limpidité qui force le respect, le scénario tournant parfaitement bien. Chef d’œuvre définitif de Tim Burton, le film a bénéficié des talents de Stan Winston pour les trucages des mains ciseaux, et encore aujourd’hui, la bande originale du rouquin Danny Elfman transcende l’aspect conte initiatique, la combinaison avec les images étant tout simplement parfaite. Un moment tout simplement inoubliable. 6/6 1990 de Tim Burton avec Johnny Depp, Winona Ryder Burton, Price et Depp... Published by voracinephile - dans Culte inutile de discuter !
EDWARD SCISSORHANDS Si le fim est un magnifique spectacle poétique et plastiquement extraordinaire, c'est heureusement bien plus que cela. L'histoire d'EDWARD AUX MAINS D'ARGENT est une variation du FRANKENSTEIN de James Whale. Alors que la créature de Frankenstein était plus trouble quant à ses motivations, Edward est aussi gentil et naïf qu'un nouveau-né. Tim Burton est probablement un fan du film de James Whale puisqu'il avait déjà réalisé une sorte de remake canin avec FRANKENWEENIE. Pourtant, il ne s'intéresse pas ici aux questions morales de la création de Edward. Ce n'est pas le propos. Il s'attarde plutôt à nous dépeindre un portrait peu flatteur des êtres humains. Leurs bons côtés mais surtout leurs mauvais. En cela, EDWARD AUX MAINS D'ARGENT devient une véritable fable ou un conte moderne sur la tolérance et l'humanité. Face aux humains bien pensants, Edward n'est qu'une vilaine curiosité. Pourtant, contrairement à ceux qui l'exploitent, il est une véritable personne sensible avec un coeur gros comme ça. Johnny Depp a su prendre des risques payants dans ses choix de carrière. Après la série télévisée 21 JUMP STREET, plutôt que de continuer à capitaliser sur sa jolie bouille de jeune play-boy, il embraye avec EDWARD AUX MAINS D'ARGENT. Maquillé et limite méconnaissable, avec une grande sobriété et dans ce rôle presque muet, il devient l'enfant mécanique aux bras prolongés de ciseaux en guise de mains. Toute l'entreprise repose alors en grande partie sur ses épaules. L'acteur est devenu par la suite une sorte d'acteur fétiche pour Tim Burton. Le reste du casting est au diapason. Winona Ryder, Dianne Wiest ou Alan Arkin sont parfait ! Quoi de plus poignant que la mort de l'inventeur. Dernier rôle à l'écran de Vincent Price avant qu'il ne décède. Un acteur assez peu connu du grand public et adoré des fans de cinéma fantastique. Des adaptations d'Edgar Allan Poe de Roger Corman jusqu'à L'ABOMINABLE DR. PHIBES, il était une figure incontournable de l'épouvante. Quoi de plus normal alors que Tim Burton lui ait consacré un court-métrage où l'acteur prêtait sa voix à ce petit monument d'animation qu'est VINCENT. N'était-il pas non plus la voix-off du clip THRILLER de Michael Jackson. A l'instar des Boris Karloff, Peter Cushing, Christopher Lee, Lon Chaney et son fils ou Bela Lugosi, il fut l'un des plus grands noms du genre. Assez peu présent à l'écran dans EDWARD AUX MAINS D'ARGENT, il nous démontre une fois de plus tout son talent. Lorsqu'il meurt à l'écran, ses yeux se vident, ses traits se relâchent... Une des plus poignantes scènes que j'aie eu l'occasion de voir, comme je vous l'ai déjà dit surtout lorsque l'on sait qu'il s'agit de son dernier film. La musique joue une grande part dans la réussite de EDWARD AUX MAINS D'ARGENT. Depuis PEE WEE, Tim Burton ne fait plus un film sans Danny Elfman. Et pour cause, le compositeur est capable de créer des parties musicales envoutantes et entrainantes qui s'associent à merveille aux images. Il parle d'ailleurs de son travail sur la piste musicale isolée entre chaque morceau. EDWARD AUX MAINS D'ARGENT est le plus beau film de Tim Burton. Vous pouvez oublier tout le reste. Il a signé son chef-d'oeuvre et n'a toujours pas, à ce jour, retrouvé la magie qui l'animait lors de cette création. Le DVD propose un superbe habillage dans l'esprit du film. Les menus sont sous la neige et les transitions sont amenées par une promenade au milieu d'un paysage fait de décors qui semblent tout droit sortis d'un livre animé. Les deux commentaires audio sont sous-titrés, ce qui facilitera grandement la compréhension. Mais bizarrement, le petit Making Of, lui, ne l'est pas du tout ! D'ailleurs, il s'agit de ce que l'on appelle une Featurette. Une sorte de documentaire à vocation commerciale. Sans être réellement informatif, il nous permet tout de même de voir quelques rapides extraits du tournage entrecoupés de passages du film et d'interviews. On trouve d'autres interviews dans le menu des suppléments mais elles aussi sont proposées sans aucun sous-titrage. Côté film, l'image est excellente et l'on ne chipotera pas sur de minimes problèmes de compression. Néanmoins, à partir du chapitre 16, il nous a été impossible de continuer à regarder le film avec notre lecteur DXR6 pour PC. Nous n'avons pas rencontré ce problème avec un lecteur de salon Pioneer. Ancien journaliste professionnel dans le domaine de la presse spécialisée où il a oeuvré durant plus de 15 ans sous le pseudonyme "Arioch", il est cofondateur de DeVilDead, site d'information monté en l’an 2000. Faute de temps, en 2014, il a été obligé de s'éloigner du site pour n'y collaborer, à présent, que de manière très sporadique. Et, incognito, il a signé de nombreuses chroniques sous le pseudonyme de Antoine Rigaud ici-même. 53 ans 10192 news 565 critiques Film & Vidéo 4 critiques Livres On n'aime pas Pas de sous-titres sur le Making Of et les interviews Au chapitre 16, des soucis de lecture sur PC avec un lecteur DXR6 Mon compte Se connecter S'inscrire Notes des lecteurs Votez pour ce film Vous n'êtes pas connecté ! 8,00 16 votes Ma note - Autres critiques L'édition vidéo Editeur Support DVD Double couche Audio English Dolby Digital Francais Dolby Digital Stéréo Surround Sous-titrage Néerlandais Anglais Supplements Commentaires audio sous-titré Tim Burton Danny Elfman sur piste musicale isolée Piste musicale isolée Making Of Featurette Interviews Johnny Depp Winona Ryder Dianne Wiest Alan Arkin Vincent Price Tim Burton Danny Elfman Caroline Thompson Bandes-annonces 2 Spots TV espagnol 3 Galerie de dessins de production Menus Autres éditions vidéo
Accueil TV & Son TV & Vidéoprojecteurs Lecteur Blu-ray Testé le 16/12/09 Edward aux mains d'argent Blu-ray au meilleur prix Résumé du test Edward aux mains d'argent Blu-ray Historique de la notation Note précédente Note de la rédaction Extrait du testUn film tel que Edward aux mains d'argent méritait mieux que le peu de soin apporté à son édition Blu-ray master non retapé pour l'occasion, des bonus peu recherchés, un VF en DTS mi débit, aucune interactivité particulière, et surtout, désormais, l'attente d'une véritable réédition HD avec restauration totale ! Fiche technique / caractéristiques Disponibilité DVD/Blu-ray Disc Oui / Oui Genre Fantastique Réalisateur Tim Burton BeetleJuice, Les noces funèbres Acteurs Johnny Deep, Winona Ryder Format Pistes audio VF en DTS mi-débit, 768 KbpsVO en DTS-HD Master Audio en Date de sortie 1991-04-10 Date de mise en vente 2008-01-04 3D Non Meilleurs prix Produits alternatifs Publications qui peuvent vous intéresser
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