Puremedias 8 septembre 2017, 8:06 AM. Bande-annonce : Tarek Boudali se marie avec Philippe Lacheau dans Epouse-moi mon pote. La Bande à Fifi n'a pas fini de faire son cinéma. Alors que Reem Kherici et Philippe Lacheau ont fait leurs preuves ces derniÚres années, c'est au tour de Tarek Boudali de passer à la réalisation.
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Lescinémas Pathé LingostiÚre et Pathé Masséna, situé à Nice, diffuseront en avant-premiÚre le film Epouse-moi mon pote avec la présence exceptionnelle de Tarek Boudali et Philippe
EPOUSEMOI MON POTEen VOD. Tarek Boudali. 2017. 88 mn. DerriÚre la pochade quasi burlesque se cache aussi un message sur l'évolution des moeurs confrontée à la nouvelle réalité sociale Yassine, étudiant marocain en architecture, ne peut rester à Paris qu'à la condition de passer un examen pour prouver qu'il mÚne bien des études en
LAMUSIQUE DE FILM, COMPOSITEURS ET RĂALISATEURS AU TRAVAIL (Benoit Basirico, HĂ©misphĂšres Editions) âą Calendrier des sorties B.O Nos coups de coeur B.O B.O en Ă©coute intĂ©grale. IrrĂ©ductible (2022) âą Film de JĂ©rĂŽme Commandeur âą âą Au cinĂ©ma le 29-06-2022 âą âą Musique originale composĂ©e par Maxime Desprez, MichaĂ«l Tordjman . Maxime Desprez; Voir
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Alors quâil pense que tout est rĂ©glĂ©, un inspecteur tenace se met sur leur dos pour vĂ©rifier quâil ne sâagit pas dâun mariage blancâŠĂpouse-moi mon pote 1080p HD Film complet avec sous-titres français prĂȘt Ă ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ© Or Regarder En Ăpouse-moi mon pote Films complets Gratuit Streaming En ligne avec sous-titres français prĂ©parĂ© Ă tĂ©lĂ©charger sur NitroFlare, Rapidgator, AlfaFile, 1Fichier, Uploaded, Openload De 720p, 1080p, Brrip, Dvdrip, Camrip, Telesyc, Blueray WEBDL Haute qualitĂ©, Pas de buff, Films Box Office, avait beaucoup plus Ă aimer que le mĂ©pris. Rien de tout cela dans cette publicitĂ© nette. Dans le meilleur des cas, les fans seront les plus nombreux au monde. Regarder en streaming Ăpouse-moi mon pote 2018-07-26 Full Films En ligne y compris les remorques de sĂ©rie et les clips de sĂ©rie, Vous pouvez regarder via TheVideo, Openload, Estream, Vidto, Playedto, Vodlocker, Hulu et une autre source. 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Le Deal du moment -35% KRUPS Essential â Machine Ă cafĂ© ... Voir le deal 299 ⏠NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Fiches AbandonnĂ©esPartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2029 FEAT. DAVE FRANCOMarcus Tybalt Sirius Anderson 23 ans â NĂ© Ă New York City le 16/06/1989 â MannequincĂ©libataire â hĂ©tĂ©rosexuel â membre des who am i ?â
Quelles sont tes caractĂ©ristiques?â il a une santĂ© Ă©pouvantable â il est cardiaque, mais personne ne le sait vraiment, Ă part son pĂšre â il a plusieurs cicatrices un peu partout, et seule Ondine est la seule Ă toute les connaĂźtre â il a du mal Ă conduire une voiture depuis leur accident, c'est psychosomatique â sa drogue est le mocha glacĂ© de chez Starbucks â il est sobre depuis dix mois â il ne supporte plus l'odeur de la cigarette, le comble pour un ex-gros fumeur â il n'aime pas les films romantiques â quand il voit le nom/l'affiche/les acteurs de The Notebook, il est pris d'un fou-rire, peu importe les circonstances â il lui arrive parfois d'Ă©clater de rire sans grande raison â il porte toujours sa montre au poignet droit â il Ă©tait un vĂ©ritable casse-cou quand il Ă©tait petit â jadis trĂšs sportif, il lui arrive parfois de dĂ©sobĂ©ir volontairement Ă son mĂ©decin pour faire ce qu'il veut â il a une faiblesse aux muscles des jambes depuis son accident de voiture avec Ondine â il ne s'entend pas avec sa famille â il n'a plus aucun contact avec les siens â depuis sa sĂ©paration avec Ondine, il s'est noyĂ© dans le travail â il a toujours le prĂ©nom d'Ondine tatouĂ© sur le bas du dos, et ne l'a toujours pas fait retirer malgrĂ© les supplications des photographes et maquilleuses â il ne sait pas trop pourquoi â c'est un ex-gigolo, ex-strip-teaseur, ex-droguĂ© et ex-alcoolique â il est aquaphobe â il adore les animaux â â
Quel est le caractĂšre de ton personnage?â Il y a plusieurs choses Ă savoir sur le comportement de Marcus dâune maniĂšre gĂ©nĂ©rale. La premiĂšre, câest quâil change radicalement de comportement suivant les personnes qui lâentourent. On pourrait facilement le dĂ©crire comme quelquâun de trĂšs influençable. Tout va bien lorsquâil est en contact avec ce quâon peut appeler de bonnes personnes » ; mais sâil a le malheur de sâentourer de personnes assez peu frĂ©quentables, son attitude sâen ressent. Ses dĂ©boires avec lâalcool et la drogue ont tout de mĂȘme constituĂ© un vĂ©cu qui lui sert de dĂ©tecteur de sales types. Une autre chose Ă savoir, câest quâil semble avoir un problĂšme irrĂ©mĂ©diable avec tout type de relations familiales ; il dĂ©teste son pĂšre et sa femme, ainsi que sa demi-sĆur. Mais le comble du comble, câest sa mĂšre, qui le tient pour personnellement responsable de la mort de son petit frĂšre. Cette haine de sa propre famille a jouĂ© un grand rĂŽle dans sa vie privĂ©e, et a engendrĂ© chez lui une peur de lâengagement quâil lâa conduit plusieurs fois Ă commettre des bourdes dans son couple. Marcus est Ă©galement totalement aquaphobe ; son petit frĂšre sâest noyĂ© Ă neuf ans et il a lui-mĂȘme faillis ne pas reposer le pied sur la terre ferme en voulant le sauver. Il peut se promener sur la plage sans pouvoir surmonter sa peur de poser ne serait-ce quâun pied dans les vagues. Il dĂ©teste parler de ça, car il a lâimpression que ça le rend vulnĂ©rable face aux autres. my little secretâ
Ton prĂ©nom ou ton pseudo & ton age â PINGUS., Camille, 16 ans.â
Comment es-tu arrivĂ©e ici ? â ben en fait, y'avait ce mec bizarre dans la rue, il a tentĂ© de tuer la vieille devant moi. Ce qui est trĂšs amusant parce qu'en fait, si je n'Ă©tais pas passĂ©e par lĂ , et ben... Ouais, non. Par partenariats je crois. â
Ce personnage est-il un double compte ? â Non.â
PrĂ©sence sur le forum â 5j/7â
Personnage inventĂ© ou scĂ©nario ? â InventĂ©.â
CrĂ©dit images â Bazzart Mon exemple de RolePlay Le code rĂšglementDerniĂšre Ă©dition par Marcus T. Anderson le Dim 3 Mar - 1955, Ă©ditĂ© 8 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2029 Well... It's my story...CâĂ©tait la premiĂšre fois oĂč maman nous emmenait, lui et moi, en vacances avec notre nouveau beau-pĂšre. Un impressionnant yacht dâun luxe dĂ©raisonnable nous fit faire le tour de la mĂ©diterranĂ©e. CâĂ©tait fantastique. Lâeau Ă©tait bleue, il faisait un temps superbe. Les vacances se dĂ©roulaient Ă merveille. Un soir, il vint me trouver dans ma cabine, excitĂ© comme une puce. Marcus ! Marcus ! Viens on va nager ! Maman et son fiancĂ© sont occupĂ©s. Viens jâte dis ! » Je jetai un Ćil Ă la baie vitrĂ©e, derriĂšre laquelle la nuit tombait sur une mer quelque peu agitĂ©e. Je ne pense pas que se soit une bonne idĂ©e. De toutes façons, je te parie ce que tu veux que tu vas vouloir rentrer dans dix secondes parce que tu auras trop peur pour nager.» Ses yeux sâagrandirent de colĂšre. Il tourna les talons. Je soupirai et posai le bouquin que je lisais. Reviens Alo, câĂ©tait une blague » Dix minutes plus tard, je le regardais se laissait glisser dans les vagues. Je plongeai Ă mon tour, mais une vague me projeta contre le bateau, tandis que je laissais Ă©chapper une plainte Ă©touffĂ©e. Je me cramponnai Ă lâĂ©chelle, effrayĂ© par les rouleaux qui venaient sâĂ©craser contre la coque du yacht. Al ! Al ! Viens on rentre ! Al ! », hurlai-je pour couvrir le bruit des vagues. Un cri de dĂ©tresse me parvint et je distinguai dans les vagues la silhouette dâAloĂŻs, ballotĂ©e plus loin par la mer agitĂ©e. AloĂŻs ! » Je quittai mon refuge pour tenter de nager jusquâĂ lui. Peine perdue, plus je nageais, plus je mâĂ©loignais. Je luttai en vain contre les Ă©lĂ©ments. Les vagues me fouettaient le visage. Marcus ! », hurla-t-il plus loin. Je me souviens dâavoir refermĂ© mes doigts sur son poignet. Je me souviens aussi dâavoir Ă©tĂ© happĂ© par une vague plus forte que les autres. SonnĂ©, je nâeus pas le temps de reprendre mes esprits quâune autre me projeta encore plus loin, et dâautres encore mâĂ©loignĂšrent de lui. Ma tĂȘte heurta la coque du bateau, puis ce fut le noir complet. Câest ta faute. Tu devais le surveiller. » Les paroles Ă©corchent mes oreilles, et le venin cruel suintant entre ces mots se rĂ©pand lentement dans mon ĂȘtre dĂ©jĂ Ă©prouvĂ©. Jâai mal. Tellement mal. Je voudrais pouvoir revenir en arriĂšre. Pendant les brefs instants silencieux qui viennent de sâĂ©couler, la langueur Ă©treignant mon esprit avait paru se dissiper. Oui pendant ces quelques instants, jâai eu la sensation quâil Ă©tait lĂ , que rien nâĂ©tait arrivĂ©, et surtout pas le pire. Pendant ces brefs instants, ma vie Ă©tait normale. Jâaurais voulu crier Ă la terre entiĂšre que je nâavais pas voulu ça. Que ce nâĂ©tait pas ma faute. Mais rien ne franchissait mes lĂšvres. Je me taisais, me contentant de rester lĂ , pĂąle, abattu, prĂȘt Ă hurler Ă la Grande Faucheuse si je la dĂ©couvrais au dĂ©tour dâun couloir Attendez ! Vous mâavez oublié⊠Emmenez-moi donc puisque plus rien ne me retient ici⊠» Mais ces quelques mots, jetĂ©s de façon si cruelle, avait brisĂ© lâillusoire apathie. Les sons me paraissaient plus forts, comme si mes oreilles recouvraient soudain lâusage de lâaudition aprĂšs de longs mois de surditĂ© feutrĂ©e. Comment peux-tu rester dans cet Ă©tat ? Tu devrais te rĂ©jouir dâĂȘtre encore en vie, et voilĂ ce que tu en fais ! Tu nâes quâun inconscient et un Ă©goĂŻste ! », hurle la femme devant moi. Je lĂšve les yeux lentement. Des jambes fines et minces ; une jupe crayon de grand couturier ceinturant des hanches parfaitement taillĂ©es ; une dĂ©licate poitrine couverte par un cardigan en cachemire gris perle ; un fin cou de cygne Ă peine ridĂ© par les annĂ©es, ceint dâun collier de perles fines ; et pour finir un visage. Fin, des lĂšvres amincies par la douleur ; des yeux dâun bleu pervenche, un regard ombrĂ© par la haine et la fureur. Si elle ne me ressemblait pas tant, je nâaurais peut-ĂȘtre jamais cru quâelle Ă©tait ma mĂšre. Cela faisait deux mois. Deux mois que jâĂ©tais plongĂ© dans cet Ă©tat dâhĂ©bĂ©tude. Oui, câest ça, jâĂ©tais hĂ©bĂ©tĂ©. Le sujet nâĂ©tait jamais revenu. On faisait tout pour lâoublier, se reconstruire sur les ruines dâun passĂ© heureux et rĂ©volu. Remplir nos vies du mieux quâon le pouvait en essayant de penser Ă lâavenir. Mes parents avaient dĂ©libĂ©rĂ©ment omis dâaborder lâĂ©pineux souvenir. Ils savaient⊠Ils savaient pourtant que je nâavais plus rien de vivant⊠CâĂ©tait comme si jâĂ©tais parti avec lui. A prĂ©sent, je contemple ma mĂšre. Son visage dĂ©vorĂ© de tristesse, ses yeux furieux, ses lĂšvres serrĂ©es. Des rides sont apparues sur son visage. Jâai tant de choses Ă lui dire. Lui dire que ce nâest pas ma faute. Que je ne voulais pas. Lui dire aussi quâelle me manque. Depuis deux mois, chacun dâentre nous sâest renfermĂ© sur lui-mĂȘme. Tant de choses Ă lui dire⊠Mais je ne parviens pas Ă ouvrir la bouche. Les mots restent bloquĂ©s dans ma gorge. Je ne peux que baisser la tĂȘte devant ses yeux luisants de douleur et de colĂšre mĂȘlĂ©s. Je baisse la tĂȘte, me soustrayant Ă son regard terrible. Je fixe le sol, les yeux dans le vague, perdu Ă lâintĂ©rieur de moi-mĂȘme dans le dĂ©dale de mes souvenirs. Je me rappelle avoir fait ce pari avec lui. Il avait eu lâair si vexĂ©, si blessĂ©. Je revois encore ses yeux noirs luisant de colĂšre. Lente et fourbe, lâĂ©vidence me frappe peu-Ă -peu. Peut-ĂȘtre que ma mĂšre a raison. Tout est ma faute. Mais je ne voulais pas. Jamais je nâai voulu quâil fasse ça. Comment pouvait-on mâen vouloir ? Câest ta faute, rĂ©pĂ©ta ma mĂšre. Pourquoi es-tu lĂ , toi ? Tu ne mĂ©rites mĂȘme pas de vivre » Sa voix se brise au milieu de sa phrase, et ses derniers mots sâĂ©tranglent dans sa gorge. Ses paroles ne sont guĂšre plus quâun murmure, empreint dâune telle souffrance quâils me sont insupportables. Mon cĆur se serre, et jâai lâimpression que cette derniĂšre phrase est un poignard envenimĂ© qui sâintroduit peu-Ă -peu dans ma chair et qui commence Ă sâenfoncer dans mon cĆur. Jâai toujours les yeux baissĂ©s, de telle sorte que je ne peux pas voir son visage. Mais le simple fait de lâimaginer me glace de la tĂȘte aux pieds. Comment peux-tu rester dans cet Ă©tat ? », rĂ©pĂšte-t-elle encore. Jâavais confiance en toi, tu entends ? Je tâai tout pardonnĂ©, tes excentricitĂ©s, tes caprices, tes lubies aussi stupides que passagĂšres⊠Et si un jour tu as la chance que je te pardonne ce que tu as fais, jamais ĂŽ grand jamais je nâexcuserai ton inaction prĂ©sente ! » Mon corps se raidit, mais je ne peux pas relever la tĂȘte. Je ne peux pas voir son visage. EspĂšce dâĂ©goĂŻste ! » La gifle retentit dans le silence de la piĂšce. Ma mĂšre tourne les talons et sort de la piĂšce Ă la vitesse grand V. Les larmes ruissĂšlent sur mes joues et je couvre mon visage de mes mains. Les sanglots me secouent tandis que la brĂ»lure de la gifle marque ma joue. Pourquoi as-tu fais ça ? Pourquoi ? Pourquoi ?! », je murmure pour moi-mĂȘme. Je sais pourtant quâil ne me rĂ©pondra pas. AloĂŻs est mort. AloĂŻs est mort. AloĂŻs est mort. AloĂŻs est mort. AloĂŻs Trojan Anderson est mort. Et tout est ma silence. Lourd, pesant, dĂ©vastateur, uniquement rompu Ă intervalles rĂ©guliĂšres par des bips Ă©lectroniques. Je nâarrivais plus Ă comprendre ce quâil sâĂ©tait passĂ©. Je ne comprenais pas oĂč je me trouvais, quel jour on Ă©tait et, pire que tout, qui jâĂ©tais. Mon esprit Ă©tait comme un trou noir oĂč il nây avait que le nĂ©ant. Je ne sentais plus mon corps, pas mĂȘme le soulĂšvement rĂ©gulier de ma poitrine. Se soulevait-elle encore ? Ou Ă©tais-je tout simplement mort ? Je me dĂ©battais avec mon propre esprit. Il fallait que je me souvienne. Il le fallait. Quelque chose en moi me hurlait que câĂ©tait important. Quelque chose ou quelquâun me poussait Ă me souvenir. Mais qui Ă©tait ce quelquâun ? Un frĂšre, une sĆur ? Une Ă©pouse, un enfant ? Je ne savais plus rien. Tout Ă©tait tellement oppressant. Je luttais encore et encore, inlassablement pour me souvenir. Mais me souvenir de qui ? de quoi ? JâĂ©tais perdu. Seul. Mes paupiĂšres douloureusement closes refusaient de me mettre sur une piste quelconque. Jâaurais tellement aimĂ© quâon mâaide, quâon me parle. Ou mĂȘme pouvoir ouvrir les yeux, simplement pour tenter de comprendre⊠Une porte sâouvrit, et je perçus ce son comme une dĂ©livrance. Il fallait dire Ă cette personne que jâavais besoin dâelle, quelle quâelle soit. Je doute que le gamin revienne un jour de lĂ oĂč il est », marmonna une voix masculine, presque inaudible. Une autre voix, fĂ©minine, approuva briĂšvement. Puis la porte se referma. Jâavais lâimpression dâavoir reçu un coup de poing qui mâaurait coupĂ© le souffle. De lĂ oĂč il est ». Mais OU Ă©tais-je ?! Jâavais envie de hurler. Hurler⊠Un hurlement. CâĂ©tait ça. Un hurlement aigu, Ă glacer le sang. Ondine. Ma petite amie⊠Tout revenait en flashs consĂ©cutifs. Nous deux dans une voiture, en train de nous engueuler⊠lâautre voiture, fonçant droit sur nous⊠Ondine poussant un hurlement dĂ©chirant⊠et la douleur explosant dans mon corps. Lancinante, dĂ©vastatrice. Je revoyais le pare-brise explosĂ©, les profondes entailles sur mes jambes, le sang souillant mon jean dĂ©chirĂ©. Et puis le nĂ©ant. Ondine⊠Ma petite brune⊠La porte sâouvrit mais la personne nâeut pas le temps de faire un pas dans la piĂšce quâune voix fĂ©minine lâinterpella. Monsieur, vous nâavez pas le droit dâentrer dans cette chambre. Il est encore en soins intensifs » , sâaffola lâinfirmiĂšre. Je⊠Je voulais lui parler⊠» , marmonna une voix masculine. La porte se referma et ils durent poursuivre la conversation Ă lâextĂ©rieur. Je me dĂ©battais intĂ©rieurement, rendu fou par lâattente. Qui Ă©tait-ce ? Du plus loin que je me souvenais, mon pĂšre nâavait pas cette voix-lĂ . Et cet homme savait obligatoirement qui jâĂ©tais, car il avait dit clairement quâil voulait me parler ». Qui Ă©tait-ce ? Cette question mâobsĂ©dait. Elle mâobsĂ©dait au point que je la rĂ©pĂ©tais des dizaines de fois. Si cette personne me connaissait, elle devait forcĂ©ment dĂ©tenir des informations sur lâĂ©tat de santĂ© dâOndine⊠Je brĂ»lais soudain de voir cette personne revenir, espĂ©rant comme jamais quâelle brave lâinterdit. En cet instant, je me forçai Ă espĂ©rer pouvoir remuer ne serait-ce quâun cil, afin de prouver au monde entier que jâĂ©tais vivant. Et savoir, enfin, ce quâil Ă©tait advenu de celle que jâaimais. La solitude. Encore. Toujours. Jâattendais, en vain. Je dressais lâoreille dans lâespoir dâentendre la porte sâouvrir doucement. Mais rien. Nada. Que dalle. Nib. ZĂ©ro. Rien dâautre que ces foutues machines et leur bip incessant. Et si le mĂ©decin avait raison ? Si jamais je ne revenais pas de⊠de lĂ oĂč jâĂ©tais ? Si jamais quelquâun dĂ©cidait de me dĂ©brancher ? Je ne pourrais rien y faire. MĂȘme pas bouger. MĂȘme pas hurler. Ecouter quelquâun me tuer et qui ne pourrait mĂȘme pas savoir que jâĂ©tais toujours lĂ , quelque part. Iker avait aussi dit quâil avait tĂ©lĂ©phonĂ© Ă mes parents. JâĂ©tais amer. Avec un peu de chance, personne nâavait rappelĂ©. Ma mĂšre Ă©tait constamment en voyage, elle nâavait probablement jamais reçu lâappel. Il avait dĂ» appeler mon pĂšre, et si HĂ©lĂšne avait rĂ©pondu, elle avait dĂ» dire un truc du genre pour nous il est dĂ©jĂ mort ». Oui, elle avait dĂ» dire un truc du genre. Garce. Elle Ă©tait comme un coucou il fallait pousser hors du nid les Ćufs dâune autre pour pouvoir sây faire une place. Elle avait tellement bien rĂ©ussi quâavec un peu de chance, elle nâavait pas du tout apprĂ©ciĂ© quâil y ait une possibilitĂ© que mon pĂšre vienne me voir. Elle devait avoir trop peur quâon se rĂ©concilie. Je commençais sĂ©rieusement Ă trouver le temps long. Bip. Bip. Bip. Jâen venais presque Ă espĂ©rer mourir juste pour ne plus entendre ces saletĂ©s de machines. Comment rĂ©agirait Ondine si elle apprenait, lĂ maintenant, que jâĂ©tais mort ? A peine avais-je songĂ© Ă cette question quâelle se mua en obsession. Et puis il y eut un bruit. Il me semblait lointain, comme un Ă©cho, alors que jâĂ©tais si profondĂ©ment plongĂ© dans mes pensĂ©es. Des voix, dans le couloir, se rapprochant. Jâallais me murer dans lâindiffĂ©rence lorsque lâune dâelles me fit lâeffet dâun Ă©lectrochoc. C'est ici. » Ce nâĂ©tait pratiquement quâun murmure. Il y avait au moins deux voix. Peut-ĂȘtre trois ou plus ? Une Ă©ternitĂ© sembla sâĂ©couler entre ces deux petits mots et le minuscule grincement de la porte qui sâouvre. Mademoiselle, vous ne pouvez pas ĂȘtre ici. C'est interdit. Si vous voulez le voir c'est derriĂšre la vitre. » , expliqua une infirmiĂšre dâune voix doucereuse mais sans appel. Il y eut un lĂ©ger silence. Mais... Je... » , marmonna une voix balbutiante. S'il vous plaĂźt, je suis sa petite amie. C'est ma faute s'il est ici. J'ai besoin de le voir un peu. » Ondine. Ondine. Elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait lĂ ! A quelques centimĂštres, tout au plus. Et je ne pouvais pas la voir, pas la toucher, pas lui parler. Jâavais besoin de tout ça⊠Jâavais besoin de la voir⊠Peu importait si je devais mourir aprĂšs avoir ouvert les yeux⊠Mais je devais la voir⊠Au moins, je mourrais en paix. Je suis dĂ©solĂ©e mais vous ne pouvez pas entrer. Veuillez sortir je vous pries » , reprit lâinfirmiĂšre, inflexible. Cette saletĂ© Ă©tait un monstre ! Elle ne pouvait pas forcer Ondine Ă partir, pas maintenant ! Elle nâavait pas le droit ! JâĂ©tais furieux, déçu, amer. Il fallait que je leur prouve que je nâĂ©tais pas en train de mourir. Que les gens que jâaimais avaient le droit de venir me voir, plutĂŽt que de rester derriĂšre cette foutue fenĂȘtre ! Je nâentendis pas exactement ce que rĂ©pondit Ondine. Peut-ĂȘtre ne dit-elle rien. JâĂ©tais trop occupĂ© Ă livrer une bataille Ă lâintĂ©rieur de moi-mĂȘme pour retrouver lâusage de mon propre corps. Et soudain, je sentis un fourmillement dans mon corps. Mes lĂšvres sâanimĂšrent mais rien de plus quâun murmure nâen sortit. On⊠» . Ma voix Ă©tait rauque et enrouĂ©e. Les pas se dirigeaient vers la porte, qui sâouvrit en grinçant. âŠdineâŠÂ» . La derniĂšre syllabe fut un peu plus forte, quoique male assurĂ©e. Les pas se figĂšrent. Puis, avec un effort surhumain, jâouvris les paupiĂšres, et la lumiĂšre explosa dans mes yeux. Je suis lĂ Marcus. Je suis lĂ , avec toi. » Les mots dâOndine Ă©taient pour moi comme un baume sur mes blessures. Elle les avait rĂ©pĂ©tĂ©s de nombreuses fois depuis que jâavais ouvert les yeux, et elle semblait avoir besoin de ça pour rĂ©aliser vraiment que je nâĂ©tais pas mort. Jâaurais Ă©tĂ© flattĂ© si je nâĂ©tais pas moi-mĂȘme ahuri de comprendre, minute aprĂšs minute, Ă quoi je venais dâĂ©chapper. Je ne savais pas rĂ©ellement depuis combien de temps jâavais repris conscience ». Pourtant, câĂ©tait fou de faire le compte de toutes les choses que jâavais vĂ©cu en une poignĂ©e de minutes, alors que jâavais passĂ© des heures Ă attendre un simple pas dans le couloir. Maintenant que jâavais pleinement retrouvĂ© la possession de mon propre corps, je faisais le compte de mes blessures. Ondine avait proposĂ© de mâapporter un miroir mais jâavais poliment dĂ©clinĂ© lâoffre. Si jâĂ©tais aussi dĂ©figurĂ©, je nâavais pas franchement envie de me voir maintenant. On mâavait transfĂ©rĂ© dans un autre service, puisque je nâĂ©tais plus en danger de mort, mais jâignorais lequel. A vrai dire, jâavais le sommeil lourd depuis lâaccident le mĂ©decin disait que câĂ©tait tout Ă fait normal, jâavais besoin de rĂ©cupĂ©rer et je ne mâĂ©tais mĂȘme pas rĂ©veillĂ© lors du dĂ©placement. Je mâĂ©tais endormi dans une chambre, rĂ©veillĂ© dans une autre, avec la sensation de ne pas avoir bougĂ©, et encore moins changĂ© de chambre. Les machines avaient disparues et Ondine restait avec moi, ce qui me procurait une joie sans nom. Une fois, câĂ©tait elle qui sâĂ©tait endormie sur mon Ă©paule, main dans la main. Iker et Julia avaient suivi le conseil, Ă savoir de rentrer prendre du repos, puisque ni lâun ni lâautre nâĂ©tions plus en danger de mort. Nous avions droit Ă un vĂ©ritable dĂ©filĂ© du personnel, mais le mĂ©decin prĂ©fĂ©rait faire des examens complĂ©mentaires afin de se prononcer sur une date de sortie. La seule chose vraiment dĂ©rangeante Ă©tait cette fichue attelle qui immobilisait complĂštement mon bras et mon Ă©paule. Ondine Ă©tait sortie pendant que je dormais pour faire Dieu savait quoi. CâĂ©tait la premiĂšre fois que jâĂ©tais seul depuis que jâavais ouvert les yeux. Jâobservais la chambre, les murs blancs, sans aucune personnalitĂ©. Et puis je levai les yeux vers le ciel bleu quâon apercevait par la fenĂȘtre. Je ne savais pas si jâavais le droit de me rĂ©jouir de la mort de ce type. Une part de moi me hurler quâil nâavait eu que ce quâil mĂ©ritait. Jâavais quand mĂȘme faillis y passer ! Mais une autre part de moi rĂ©pugnait Ă se rĂ©jouir de la mort de quelquâun. Comment pouvait-on faire ça ? Je nâosais pas en parler Ă Ondine. Peut-ĂȘtre trouverait-elle ça stupide. Moi-mĂȘme je savais que câĂ©tait une connerie. JâĂ©tais reconnaissant Ă Ondine de rester avec moi. Elle Ă©tait mon petit rayon de soleil⊠A la simple pensĂ©e de lâaccident, jâavais envie de vomir. Si jamais je nâavais pas survĂ©cu, jamais je ne me serais rĂ©conciliĂ© avec elle. On serait restĂ©s fĂąchĂ©s pour lâĂ©ternitĂ©. A jamais en conflit. Nous qui ne nous disputions jamais auparavant, çâaurait Ă©tĂ© vraiment pas de chance. Elle pĂ©nĂ©tra dans la chambre mais je lui coupai la parole au moment oĂč elle sâapprĂȘtait Ă parler, une fois assise. Je voudrais que tu saches⊠Je suis dĂ©solĂ© pour tout ce que jâai pu te dire. Je ne mâen souviens pas vraiment, câest trop flou mais⊠» , murmurai-je. La porte sâouvrit. Un homme de taille avec les cheveux gris et des lunettes sans monture entra et me salua. Bon, nous avons enfin les rĂ©sultats dĂ©finitifs des analyses » , dĂ©clara-t-il. Je me mordis la lĂšvre. JâespĂ©rai pouvoir sortir bientĂŽt. Elles sont bonnes ? » , demandai-je, plein dâespoir. Il garda le silence. Ăa dĂ©pend ce que vous appelez bonnes », rĂ©pondit le mĂ©decin. Ondine et moi Ă©changeĂąmes un regard horrifiĂ©. Vous pouvezâŠdĂ©velopper ? » , ajoutai-je, incertain. Le mĂ©decin lorgna ses notes. Jâai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne, câest que vous pourrez sortir dans deux jours » , prĂ©cisa-t-il. MalgrĂ© tout, son ton ne me rassurait pas. CâĂ©tait une bonne nouvelle, bien sĂ»r⊠Mais la mauvaise nouvelle me terrifiait. La mauvaise ? » , le pressai-je. Le mĂ©decin remonta ses lunettes sur son nez et poussa un soupir. Vos jambes ont beaucoup souffert lors du choc. Les Ă©clats de vitres ont dĂ©chirĂ© certains muscles et vos tibias surtout ont subit des plaies trĂšs profondes, qui ne rĂ©sorberont totalement que dans plusieurs mois, peut-ĂȘtre mĂȘme des annĂ©es » . Non⊠Non pitiĂ©, faites que ça ne soit pas ce Ă quoi je pensais⊠Je lançai un regard Ă Ondine qui semblait ĂȘtre en choc Ă©motionnel et fixait le mĂ©decin avec effroi. Vos jambes sont trĂšs, trĂšs faibles. Vous pourrez remarcher, bien sĂ»r, sâempressa dâassurer le mĂ©decin en voyant nos mines terrorisĂ©es. Mais pas avant deux mois minimum. Si ce nâest plus. Vous devrez rester en fauteuil pendant ce temps » . JâĂ©tais tĂ©tanisĂ©. Plus marcher pendant deux mois ? Moi, le sportif ? Jâavais lâimpression dâavoir reçu un coup de pied dans le ventre. Le souffle court, jâavais du mal Ă respirer. Mais quand est-ce que je pourrais reprendre mon boulot ? » , demandai-je, une pointe de terreur dans la voix. Le mĂ©decin me regarda intensĂ©ment. Vous ne le pourrez pas. Je suis dĂ©solĂ©, Monsieur Anderson. Mais vous ne pourrez pas reprendre le sport, quel quâil soit. ConsidĂ©rez bien que câest dĂ©jĂ une chance pour vous de retrouver lâusage de vos jambes, mĂȘme si ça ne sera que dans quelques mois. Je suis dĂ©solĂ© » , acheva-t-il. Marcus, tu veux bien te concentrer un peu mon pote ? » Je clignai des yeux en tournant la tĂȘte. Ouais ouais je vous Ă©coute » , je rĂ©ponds immĂ©diatement. Pur mensonge. JâĂ©tais tellement plongĂ© dans mes pensĂ©es que je nâavais pas remarquĂ© quâon parlait de moi depuis une demi-heure et que la tablĂ©e entiĂšre avait le regard rivĂ© sur moi. Je saisis ma cannette de coca et me mis Ă la tripoter. Marcus, on se demandait sâil nâĂ©tait pas temps dâattaquer les contrats en Europe maintenant que tu commences Ă ĂȘtre connu aux USA. Il est hors de question que tu prennes pour acquis ta cĂ©lĂ©britĂ© ici » , lança James en me regardant droit dans les yeux. Je haussai les Ă©paules. Bah Ă©coute, câest toi le chef » , rĂ©pliquai-je. Je nâavais pas la tĂȘte Ă Ă©couter parler des gens de contrats, nouveaux marchĂ©s, et dollars. Du bureau en bord de mer Ă Los Angeles, je pouvais apercevoir lâhorizon qui se confondait avec le ciel bleu. Ce nâĂ©tait pas quelque chose que jâaffectionnais particuliĂšrement, la mer. Lâeau de maniĂšre gĂ©nĂ©rale. Il y avait des choses qui vaccinaient contre. Genre une noyade. Marcus. Nous sommes Ă carrefour dĂ©cisif. Tu te sens dâattaque pour entamer des campagnes en Europe ? Jâai eu des Ă©chos de Barcelone » , poursuivit James. Barcelone. Jâeu une lĂ©gĂšre grimace mentale. Ca mâĂ©voquait tellement de souvenirs. Ondine dâabord. Ca faisait plusieurs mois que nous avions rompus. CoupĂ©s tous contacts. Je ne savais pas ce quâelle faisait Ă prĂ©sent. Peut-ĂȘtre sâĂ©tait-elle consolĂ©e avec Jack. Peu importait de toute façon. Peu importait, pas vrai ? Nous nâavions plus rien en commun Ă part des souvenirs. Des putains de souvenirs qui aujourdâhui mâempĂȘchaient de continuer ma vie comme je lâaurais pu. ⊠lâidĂ©al serait Milan » , approuvait une fille au bout de la table. Jâavais lĂąchĂ© la conversation au moment oĂč tout le monde sâĂ©tait mis Ă bavarder dans un brouhaha de cour dâĂ©cole. Je rabattis le couvercle de ma valise et entrepris de la zipper avec la fermeture Ă©clair. Je tirais la lourde valise de sur le lit pour la rapatrier avec les autres dans le salon lorsque mon tĂ©lĂ©phone se mit Ă carillonner. Tu dĂ©colles Ă quelle heure ? » , demanda James directement dĂšs que je dĂ©crochai. Dans une heure », rĂ©pondis-je. Je lâentendis soupirer longuement. [b][ color=teal] JâespĂšre que tu sais ce que tu fais mon pote. Si tu te foires, je te lĂąche » , rĂ©pliqua-t-il. Je me mis Ă rire. Du calme Jamie. On va y arriver. Tu mâas pas dit que jâĂ©tais populaire aux USA ? Et ben je vais tâapprendre une nouvelle New York câest aux USA » . Tu te fous de ma gueule en plus, bougonna James. Câest pas pour une nana jâespĂšre au moins ? » dit-il, pince sans rire. Je haussai les Ă©paules mĂȘme si je savais quâil ne voyait pas. Non. Câest pas pour une nana. Câest pour moi. Los Angeles, câest pas moi » , rĂ©pondis-je. On se revoit lĂ -bas » , soupire finalement mon agent. Si tâas deux minutes de retard Ă notre prochain rendez-vous, je tâarrache les yeux » , marmonna-t-il. A plus Jamie » , dis-je avant de raccrocher. Je contemplais pendant une seconde mon tĂ©lĂ©phone puis le rangeai dans la poche de mon jean. Je baissai le regard sur les trois valises puis en empoignai une avec une certaine excitation que je ne pouvais contenir. DerniĂšre Ă©dition par Marcus T. Anderson le Lun 25 FĂ©v - 2346, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2032 OMG Marcus le retour & avec un avatar beaucoup plus canon Mais traumatise pas ma Ondine Bref, re-bienvenue Bon courage pour ta fiche InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2034 Candice A. Eubanks a Ă©crit OMG Marcus le retour & avec un avatar beaucoup plus canon Mais traumatise pas ma Ondine Bref, re-bienvenue Bon courage pour ta fiche J'ai pas rĂ©sistĂ© C'est Mo. qui m'a convaincue pour Dave JurĂ© je la traumatiserai presque plus InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2035 Le titre quoi Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2036 GNEEEEEEEEEEEEELe retour Re-bienvenue a la casa On va tout rockser encore une fois hun InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2037 Marcus T. Anderson a Ă©crit Candice A. Eubanks a Ă©crit OMG Marcus le retour & avec un avatar beaucoup plus canon Mais traumatise pas ma Ondine Bref, re-bienvenue Bon courage pour ta fiche J'ai pas rĂ©sistĂ© C'est Mo. qui m'a convaincue pour Dave JurĂ© je la traumatiserai presque plus Mais c'est bien de craquer ouais, ouais, je te surveille fait gaffe InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2037 bienvenue & bon courage pour la fiche! InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2038 Ton pseudo + le perso me disent quelque chose. Dave Franco. Gosh, il est seksy. Re-bienvenue et bonne chance pour ta fiche. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2039 Ethan Blackson a Ă©crit Le titre quoi Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! Merci beaucoup Ondine L. Casanueva a Ă©crit GNEEEEEEEEEEEEELe retour Re-bienvenue a la casa On va tout rockser encore une fois hun Ouiii, le retour j'ai hĂ©sitĂ© Ă intituler la fiche "the retunr of the king" mais bon Marine forever, c'bien connu Ăden Whitfield a Ă©crit bienvenue & bon courage pour la fiche! Thanks Candice A. Eubanks a Ă©crit Marcus T. Anderson a Ă©crit Candice A. Eubanks a Ă©crit OMG Marcus le retour & avec un avatar beaucoup plus canon Mais traumatise pas ma Ondine Bref, re-bienvenue Bon courage pour ta fiche J'ai pas rĂ©sistĂ© C'est Mo. qui m'a convaincue pour Dave JurĂ© je la traumatiserai presque plus Mais c'est bien de craquer ouais, ouais, je te surveille fait gaffe J'en doute pas une seconde Le contraire m'Ă©tonnerait Hope A. Roseberry a Ă©crit Ton pseudo + le perso me disent quelque chose. Dave Franco. Gosh, il est seksy. Re-bienvenue et bonne chance pour ta fiche. Merci Ouais, il est parti y'a pas si longtemps InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2041 Re-bienvenue sur le forum si j'ai bien compris!Courage pour ta fiche InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2042 Je rĂȘve? Mon Marcus est de retour! Rien qu'en voyant le titre je savais que c'Ă©tait toi Rebienvenue InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2046 Re-bienvenuuue InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2048 Hey, bon retour parmi nous Marcus! Tulisa A. Errington Empire State of Mindâ once, twice, three times a lady âINSCRIT LE 09/01/2013 âMESSAGES 11668 âAGE DU PERSO 27 âADRESSE 1556 Ocean Parkway 402, Brooklyn avec baby RaphaĂ«l <3 âCĂLĂBRITĂ Sophia Anna Bush âSMALL IDENTITY PHOTO Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2130 Hello beautiful Bienvenue InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2136 OH PUREEEEEE DAVE REBIENVENUE DerniĂšre Ă©dition par Iron K. Brightside le Lun 25 FĂ©v - 2150, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2150 bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hĂ©site surtout pas, & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres baby franco excellent choix InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Lun 25 FĂ©v - 2159 Welcome back Ton avatar est canoooonnnn! brigitte InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 004 OH CAMILLE Ici la fondatrice de ASB qui te parle parmi nous et bon choix d'avatar InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 012 Marcus Marcus Marcus J'ai le plaisir de te prĂ©-valider Une admin passera t'ajouter Ă ton groupe InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 018 re-bienvenue parmis nous InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 028 bienvenue et bon choix d'ava InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 034 Ouuuuuuuh Marcus is baaack ça va envoyer du lourd Rebienvenue Ă la maison InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re MARCUS â As if you never said goodbye Mar 26 FĂ©v - 037 ValidĂ© !Un systĂšme d'intĂ©gration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intĂ©gration, mĂ©langeant anciens et nouveaux membres, n'hĂ©site pas Ă t'y inscrire ! 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Descriere film Ăpouse-moi mon pote 2017 online subtitrat To avoid deportation, Yassine asks his best friend Fred to marry him.
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,0 6405 notes dont 573 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Yassine, jeune Ă©tudiant marocain vient Ă Paris faire ses Ă©tudes dâarchitecture avec un visa Ă©tudiant. Suite Ă un Ă©vĂ©nement malencontreux, il rate son examen, perd son visa et se retrouve en France en situation irrĂ©guliĂšre. Pour y remĂ©dier, il se marie avec son meilleur ami. Alors quâil pense que tout est rĂ©glĂ©, un inspecteur tenace se met sur leur dos pour vĂ©rifier quâil ne sâagit pas dâun mariage blanc⊠Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD Canal VOD Location dĂšs 2,99 ⏠Filmo Location dĂšs 2,99 ⏠HD PremiereMax Location dĂšs 2,99 ⏠HD Orange Location dĂšs 2,99 ⏠Voir toutes les offres VODService proposĂ© par Ăpouse-moi mon pote Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 039 129 Interview, making-of et extrait 336 DerniĂšres news 20 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et Ă©quipe technique Critiques Presse CNews Closer Public L'Express Le DauphinĂ© LibĂ©rĂ© TĂ©lĂ©rama Le Parisien Ecran Large L'Obs La Voix du Nord Le Monde Ouest France Chaque magazine ou journal ayant son propre systĂšme de notation, toutes les notes attribuĂ©es sont remises au barĂȘme de AlloCinĂ©, de 1 Ă 5 Ă©toiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 14 articles de presse Critiques Spectateurs Je me doutais bien en arrivant dans la salle que je n'allais pas assister au chef d'oeuvre de l'annĂ©e, et ce n'Ă©tait pas mon but. Simplement, passer un bon moment, attirĂ© par la bande annonce qui m'avait fait rire avec ce chien aspirĂ© par des balais de camion nettoyeur. Et puis, les clichĂ©s Ă©videmment homophobes, je m'en fous la comĂ©die appelle la caricature, et la caricature implique l'exagĂ©ration, alors allons-y, le cinĂ©ma est un ... Lire plus Ăpouse-moi mon pote »... Que dire Ă propos de cette comĂ©die de Tarek Boudali ? Jâai beau avoir de la sympathie pour la fameuse bande Ă Fifi et avoir assez apprĂ©ciĂ© le premier Babysitting » et », il faut reconnaĂźtre que lĂ franchement câest la surdose lourde de tristes clichĂ©s, quâon empile sans aucune imagination, jusquâĂ nous donner la nausĂ©e ! Ce nâest pas la base de cet humour potache, ... Lire plus Je crois que c'est la 2Ăšme fois que je note aussi bas vive les Visiteurs 3!!. GROSSE DAUBE. C'est laid, homophobe, crĂ©tin, vulgaire "j'aime sucer des bites" et autres poĂšmes dĂ©clamĂ©s tout du long ! et cela, gratuitement! N'en j'tez plus! Honte tout au long du film avec mes 2 enfants prĂšs de moi. La salle Ă©tait consternĂ©e Ă©galement, aucun rire ou gĂȘnĂ©s le plus souvent. C'est d'une bĂȘtise sans nom avec des ... Lire plus Mon dieu...un ramassis de clichĂ©s sur lâhomosexualitĂ©, de lâhumour bas de gamme, prĂ©visible, totalement dĂ©nuĂ© dâoriginalitĂ©, sans aucune crĂ©ativitĂ©. Les acteurs se dĂ©brouillent mais câest plus digne dâun tĂ©lĂ©film. Une rĂ©elle dĂ©ception, câest mauvais 573 Critiques Spectateurs Photos Secrets de tournage Naissance du projet Tarek Boudali a eu l'idĂ©e du film Ă lâĂ©poque oĂč la loi sur le mariage pour tous Ă©tait en train de passer. Le rĂ©alisateur s'est alors dit que pour ceux qui voulaient faire un mariage blanc, ça leur offrait plus de possibilitĂ©s. Il se rappelle "Partant de lĂ , je me suis dit que, si jâĂ©tais sans papier, jâaurais demandĂ© Ă mon meilleur pote. Et câest comme ça que jâai pensĂ© que je pouvais en tirer une comĂ©die. Jâai exposĂ© lâidĂ©e aux copains po Lire plus RĂŽles inversĂ©s AprĂšs les deux volets de Babysitting et Tarek Boudali et Philippe Lacheau se retrouvent pour Epouse-moi mon pote. Mais cette fois-ci les rĂŽles sont inversĂ©s puisque c'est Tarek Boudali qui met en scĂšne. "Jâai toujours eu lâenvie de rĂ©aliser, mais pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne me voyais pas le faire si tĂŽt. Je me disais que je devais attendre dâavoir plus dâexpĂ©rience, et surtout dâavoir la bonne idĂ©e. Il fallait que ça se fas Lire plus Yassine selon Tarek Boudali "Yassine est un gentil qui ne veut faire de mal Ă personne. Et pour ça il se retrouve Ă mentir Ă sa propre famille et il quitte sa copine. Câest quelquâun qui prĂ©fĂšre fuir plutĂŽt que dâaffronter ses Ă©checs. Comme on vit dans une Ă©poque oĂč on est dans le paraĂźtre, plutĂŽt que dâavouer quâil a tout ratĂ©, il prĂ©fĂšre dire Ă sa famille jâai eu mon diplĂŽme et jâai eu mes papiers ! Tout part de lĂ âŠ" 8 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ© France Distributeur StudioCanal RĂ©compense 1 nomination AnnĂ©e de production 2017 Date de sortie DVD 06/03/2018 Date de sortie Blu-ray 06/03/2018 Date de sortie VOD 27/02/2018 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 8 anecdotes Box Office France 2 471 761 entrĂ©es Budget - Langues Français Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 140221 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
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